Des pots de fleurs personnalisés par des artistes

Cette année, les enchères du Télévie font peau neuve. C’est une véritable œuvre d’art unique créée spécialement pour l’occasion qui vous est présentée !

Pour cette 31ème édition, les fleurs sont mises à l’honneur. Symbole de l’amour et de la vie, nous offrons toujours des fleurs aux personnes que nous aimons. Offrir un bouquet de fleurs, c’est avant tout transmettre un message du cœur. Dans la gamme des produits, nous vendons même des petits pots de graines de lin bleu à faire pousser chez vous. Pour les enchères 2019, c’est un pot de fleurs en terre cuite (24x21cm) customisé que nous vous proposons pour nos enchères.

Plusieurs artistes ont laissé libre cours à leur imagination. Cet objet est un reflet de leur vie ou de leur univers, il est donc unique. L’animatrice Maria Del Rio, l’homme de radio Pascal Vrebos, le chocolatier Pierre Marcolini, les couturiers Edouard Vermeulen et Bernard Depoorter, la modiste Fabienne Delvigne, l’humoriste François Pirette, la chanteuse Alice on the roof, le chanteur le Grand Jojo, le metteur en scène Franco Dragone et les artistes Richard Orlinski, Denis Meyers, Jean-Luc Dossche ont accepté le défi et ont transformé ces pots en terre cuite, en véritables œuvres d’art. Ces pièces seront à acquérir aux enchères au profit du Télévie. Ne manquez pas l’occasion de devenir le chanceux propriétaire de ce pot exceptionnel !

Mais ce n’est pas tout ! Matt Pokora et Agustin Galiana vous offrent la possibilité de posséder un de leurs objets personnels. Notre parrain met aux enchères une veste de la marque Couronne Paris, spécialement customisée pour le Télévie. Alors qu’Agustin Galiana vous propose une de ses guitares, dédicacée.

Vous avez jusqu’au 27 avril pour enchérir, retrouvez l’entièreté des objets mis en vente ici. N’hésitez à faire une offre grâce à notre partenaire Vavabid. Comme chaque année, l’objectif est de récolter un maximum d’argent pour soutenir la recherche contre le cancer.

 

Je participe aux enchères du Télévie!

 

Jean-Michel Zecca à la conquête du Mont Ventoux

Un évènement sold-out après 15 jours !

240 inscrits en seulement 15 jours, cette première édition est un véritable succès ! Le « Télévie à Ventoux  » permettra à plus de 200 cyclistes de tout âge de se joindre à Jean-Michel Zecca pour escalader le mont Ventoux du 7 au 9 juin 2019. A ses côtés notamment, Denis Masquelier (Directeur Général IP) ou encore Laurent Haulotte (Directeur de l’information).

Afin de réussir ce challenge, Jean-Pierre Dubois, ex-coach de l’équipe nationale belge, accompagnera Jean-Michel Zecca tout au long de son entraînement.

L’intégralité des bénéfices de ce beau projet soutenu par le groupe Gobert, Ladbrokes, Partena ainsi que Bioracer sera versée au FNRS, et donc à la recherche contre le cancer.

Dites-le avec des fleurs ! Tous les secrets du Télévie 2019

Le Télévie en fleurs

Une fleur, c’est un symbole de vie. Un symbole d’amour. On offre un bouquet pour dire je t’aime, pour dire merci, bravo ou pour se faire pardonner…On choisit les plus beaux pétales pour donner du courage et égayer un visage. Sans aucun doute, les fleurs ont un pouvoir immédiat ! Cette année, le Télévie a donc décidé d’utiliser ce super pouvoir…. Ensemble, réalisons un « grand bouquet » pour faire avancer la recherche !

Le principe est simple : prenez-vous en photo avec n’importe quelle fleur (une fleur du jardin, une fleur en papier, un tatouage fleuri, un gâteau, un collier, un dessin,…), postez le cliché sur ses réseaux sociaux et surtout n’oubliez pas de taguer le Télévie. Pour chaque photo fleur, la Loterie Nationale verse 1 euro au Télévie.

Par ailleurs, les enchères du Télévie aussi, seront fleuries ! Nous avons demandé à plusieurs personnalités de customiser des grands pots de fleurs. Le magicien Donovan, l’animatrice Maria Del Rio, le chocolatier Pierre Marcolini, les couturiers Edouard Vermeulen et Bernard Depoorter, la modiste Fabienne Delvigne, ont accepté le défi et ont transformé ces pots en terre cuite, en véritables œuvres d’art. Ces pièces seront à acquérir aux enchères au profit du Télévie. Espérons que la récolte de dons sera belle !

Le Télévie en fête

Si le Télévie est « en fleurs », il est aussi « en fête ». C’est ainsi qu’a été rebaptisée notre traditionnelle journée sportive et familiale qui a lieu une semaine avant le décompte final. L’évènement se déroulera le lundi 22 avril, de 10h à 18h, sur l’esplanade de la Citadelle de Namur. Vous y retrouverez les incontournables activités proposées aux enfants et aux plus grands: animations, food trucks, le bar des animateurs, séances de dédicaces, exposition du FNRS spécialement consacrée à la recherche contre le cancer. Par ailleurs, plusieurs artistes ont confirmé leur présence et se relayeront durant toute l’après-midi pour enflammer le podium de variétés.

Pour les plus sportifs d’entre vous, trois rallyes sont également prévus. Un rallye moto comprenant deux itinéraires (85 et 180 km), un jogging à l’assaut de la Citadelle de Namur et un parcours vélo de 120 km en peloton de 200 cyclistes. Il est encore possible de s’inscrire ICI. Venez nombreux !

Matt Pokora, le parrain

Après Namur, ce 31ième Télévie, vous emmènera aussi cette année à La Louvière. Pour la première fois, toutes les activités de la grande journée de clôture du samedi 27 avril seront en effet, regroupées sur le site de Louvexpo. Vente aux enchères des Disques d’Or en direct du studio Bel RTL, centre de promesse et soirée live sur RTL-Tvi, c’est là que tout se déroulera !

Dès 18h00, retrouvez le magazine « Au cœur du Télévie », présenté cette année, par Sandrine Dans.  Une émission qui retracera les parcours de Marie-Hélène, Lara, Johanna et Max, 4 jeunes guerriers du Télévie qui sont malheureusement décédés l’an passés. Des témoignages émouvants qui soulignent, encore une fois, l’importance de soutenir recherche.

Dès 19h45, place à la grande soirée en direct lors de laquelle, plusieurs témoins nous parlerons de leur combat contre le cancer du sein, du col de l’utérus ou le lymphome de Hodgkin.

Cette année, nous avons la grande chance de pouvoir compter sur le soutien du chanteur Matt Pokora. La star française a accepté d’être le parrain de ce 31ième Télévie. Il se produira sur scène au profit de l’opération, tout comme de nombreux autres artistes tels que Pascal Obispo, David Halliday, Emmanuel Moire, Typh Barrow, Loïc Nottet et les indéboulonnables Salvatore Adamo et Frédéric François !

 

Croquez ce pain, il rapporte des sous au Télévie !

Le slogan est bien connu : « le pain, c’est la vie » ! Or, faire gagner la vie, c’est le combat du Télévie et le pain, c’est la spécialité de la boulangerie artisanale bruxelloise, « La Wetterenoise ». Il y avait donc comme une évidence de se rencontrer… L’idée de créer un « pain Télévie » est née, il y a quelques mois chez La Wetterenoise. « Nous voulions vraiment soutenir une association caritative. Quand nous avons proposé le projet au Télévie, l’enthousiasme a été immédiat » raconte Sébastien Delvaux, Directeur Général de la Wetterenoise.

Pour ce produit inédit, un pain artisanal, entièrement réalisé à Bruxelles, a été sélectionné. « C’est un pain gris traditionnel, cuit sur pierre, sans aucun améliorant, ni conservateur. Il a également un taux de sel très bas, 25% en moins », détaille Sébastien Delvaux. Mais ce qui le distingue surtout des autres pains, c’est son look. Vous ne pouvez pas le rater, ce pain porte le logo du Télévie ! Techniquement, le cœur Télévie a été découpé dans un pochoir. Chaque jour, de la farine est tamisée manuellement sur ce pochoir au-dessus des pains. Ces derniers seront ensuite cuits en magasin, prêts à être dégustés…

Une dégustation d’autant plus savoureuse qu’elle contribue au financement de la recherche contre le cancer. Pour chaque pain vendu, 30 cents sont rétrocédés au Télévie. « Un tiers de la part du producteur, un tiers du distributeur et le dernier du consommateur. C’est aussi pour ça que ce pain est un peu plus cher (2,09 €) », explique le Directeur Général de la Wetterenoise. D’ici la grande soirée de clôture du 27 avril, « on espère en vendre 50.000 ». 😉

Une nouvelle campagne à l’occasion de la Journée Mondiale contre le Cancer

Journée mondiale contre la cancer

En Belgique, rien que cette année, plus de 68.000 personnes apprendront qu’elles souffrent d’un cancer. Cela fait 186 personnes chaque jour. 27.000 personnes en mourront en 2019, dans notre pays, dont 270 enfants et adolescents. A l’échelle du monde, les cancers tueront 9,6 millions de personnes d’ici décembre*. Un jour peut-être, les médecins pourront totalement guérir cette maladie ; c’est ce qu’espère le Télévie notamment grâce à l’importance des dons en faveur de la recherche.

« Et si un jour, le cancer ne faisait plus peur…», « Et si un jour, le cancer ne tuait plus…» et « Et si un jour, le cancer se soignait facilement… ». Ce sont les trois scénarios de spots de sensibilisation que vous retrouverez dès ce lundi sur votre petit écran et à la radio. Certes, aujourd’hui, cela relève de la pure fiction… mais peut-être qu’un jour, grâce à la recherche, cela deviendra réalité !

De ces 3 scénarios découle aussi toute une série de questions sur l’évolution de cette maladie dans quelques années. Des questions auxquelles les experts ne répondent pas souvent. Le Professeur Cédric Blanpain est Docteur en médecine, Professeur à l’ULB, Directeur de recherches Télévie et considéré comme l’un des chercheurs les plus influents au monde. Il a accepté, pour le Télévie, d’y répondre.

1. A l’avenir, devra-t-on toujours passer par la case « hôpital » pour soigner un cancer ?

Pour certains cancers, on ne doit pas nécessairement passer par l’hôpital. Certains cancers de la peau peuvent se soigner au cabinet de votre dermatologue. Il est probable que, dans le futur, plus de cancers pourront être aussi soignés en dehors de l’hôpital, dès lors que l’on peut prendre des pilules et que les effets secondaires ne sont pas importants. En revanche, si la chirurgie se révèle nécessaire, on devra toujours passer par l’hôpital. Les progrès dans ces domaines induiront évidemment que les séjours à l’hôpital seront de plus courte durée, avec moins d’effets secondaires.

2. Tous les cancers seront-ils, un jour, curables et non mortels ?

C’est en théorie possible. Les hommes ont toujours fait preuve d’inventivité et d’adaptation dans la difficulté. Il faudra découvrir précisément la cause de l’ensemble des différents cancers, ce qui est encore loin d’être le cas. Mais il sera aussi nécessaire d’inventer de nouveaux médicaments car aujourd’hui, les armes dont nous disposons ne nous permettent pas de tous les guérir. Beaucoup de recherches devront encore être menées pour atteindre cet objectif ultime.

3. Cela fait des siècles que le cancer existe. Pourquoi est-ce si lent à vaincre ?

Même si le cancer existe sans doute depuis que l’homme existe, cela fait moins de 50 ans que l’on a compris que le cancer était une maladie génétique. Cela fait moins de 5 ans que l’on a découvert les mutations génétiques qui constituent la cause des cancers. Cela fait moins de 30 ans que l’on sait que le système immunitaire permet de contrôler certains cancers. Cela fait encore moins de temps que l’on a compris que certains cancers comme le cancer du col de l’utérus ou de la gorge étaient dus à des virus et que grâce à un vaccin, on pouvait prévenir bon nombre d’entre eux… Je peux continuer comme cela encore longtemps pour dire que finalement, il existe encore énormément de questions sur le cancer qui demeurent aujourd’hui sans réponse et qui empêchent donc le développement futur de nouveaux médicaments contre certains cancers.

4. Est-ce que certains cancers se soignent déjà, aujourd’hui, comme une maladie « banale » ?

Aucun cancer n’est banal, même s’ils sont aujourd’hui très fréquents. Il existe bien sûr des cancers qui se traitent très facilement s’ils sont détectés à temps et dont le taux de guérison est extrêmement élevé, comme certains cancers de la peau.  Pour d’autres cancers au taux de guérison très élevé comme certains cancers de la prostate, on peut également se contenter de prendre seulement des médicaments afin de garder la maladie sous contrôle.

5. Pourquoi tous les cancers ne se traitent pas encore par gélules ?

Il existe déjà, aujourd’hui, dans certains cas, des modes d’administration de traitements différents, tels que les gélules pour le traitement adjuvant de certains cancers du sein. La formulation dépend des propriétés chimiques des médicaments. Lorsqu’on découvre des médicaments ingérables par voie orale qui résistent à l’estomac et au passage dans le foie et qui sont bien absorbés par l’intestin, on privilégiera toujours cette approche ! Néanmoins, quand on trouve une molécule qui est efficace mais pas absorbable par l’intestin, on doit faire appel à des solutions qui s’administrent dans les Baxter ou les piqûres.

Plus il y aura de recherches sur ces questions d’absorption, de résistance aux sucs digestifs, d’absorption par les cellules de l’intestin ou de dégradation par le foie, plus fréquemment nous pourrons découvrir des médicaments à prendre en gélule plutôt qu’en piqûre.

6. Combien de temps cela prend-il pour mettre au point un nouveau médicament ?

La première étape est de déterminer une nouvelle cible. Pour cela, une dizaine d’années de recherche fondamentale est souvent nécessaire.  Ensuite il faut encore compter une dizaine d’années supplémentaires pour mettre au point un médicament et montrer son efficacité sur les patients.  Au total, il faut donc attendre vingt ans pour que le médicament soit commercialisé et que le patient puisse en bénéficier.

7. Pourquoi les chercheurs et les médecins sont-ils parvenus à maîtriser le sida et par encore le cancer ?

Le SIDA constitue un bel exemple d’une maladie inconnue jusque dans les années 1980 et pour laquelle des médicaments ont pu être développés en une quarantaine d’années afin de la faire passer d’une maladie mortelle à une maladie chronique. C’est aussi un bel exemple du fait que, grâce à la recherche, on a pu découvrir tout de A à Z du virus du SIDA : son mode d’entrée, la manière dont il se réplique, comment il se cache, comment il échappe au système immunitaire. Le succès de son traitement émane du fait qu’il est possible de l’attaquer de partout où l’on peut et sur tous les fronts possibles grâce à de nombreux médicaments, qui peuvent parfois être combinés dans une seule pilule. J’espère que cet exemple du SIDA sera suivi par celui du cancer. La différence est que le cancer n’est pas une maladie mais un ensemble de maladies, qui sont très différentes en fonction de l’organe duquel il provient et de la spécificité unique du patient.  La recherche sera donc beaucoup plus compliquée pour identifier toutes les causes et les mécanismes mis en jeu dans la grande diversité des cancers.

8. Quand, selon vous, guérira-ton facilement, rapidement et définitivement les cancers ?

Je n’ai malheureusement pas une boule de cristal. Je suis optimiste. J’aimerais penser que cela sera dans 30 à 50 ans mais il est fort probable que cela prenne encore beaucoup plus de temps avant que l’on ne guérisse la majorité des patients. Plus on investit dans la recherche, plus court sera ce délai.

 

* Sources

Fondation Registre du Cancer – Organisation Mondiale de la Santé

 

Participez à l’opération « Pièces Rouges » de Bel RTL au profit du Télévie !

Pour récolter vos « pièces rouges », des tirelires sont disponibles gratuitement dans les 138 agences de la banque Crélan en Wallonie et à Bruxelles mais aussi lors des représentations de la pièce de Théâtre du Télévie. Par ailleurs, sur Bel RTL, Bérénice en distribuera aussi dans son émission « On pousse le bouchon » dès 8h chaque matin. Léon Lebouchon, quant à lui, ira, comme à son habitude, à la rencontre des gens, avec des tirelires sous le bras. Evidemment, il est aussi possible de collecter vos pièces sans tirelire 😉

Pour cette première édition de #opérationpiècesrouges, l’acteur Christian Clavier nous fait le plaisir d’apporter son soutien. « Ces pièces aideront directement la recherche, qui a déjà énormément progressé. C’est encore plus motivant de voir que les résultats sont là, qu’il n’y a pas une impression de gaspiller ses efforts ou son argent. C’est ça qui va inciter le plus les gens à participer encore », explique Christian Clavier.

Mais d’où est venue cette idée ? « Quand j’ai entendu qu’il était question de supprimer, chez nous, les petites pièces qu’on sème tous un peu partout, je me suis demandé ce qu’ils pourraient bien en faire. Les collecter, comme ils le font en France, pour soutenir le Télévie m’a tout de suite paru la solution idéale ! », explique Bérénice.

Comme la solidarité n’a pas de limite : demandez à vos proches de vous aider… Famille, collègues, copains, commerçants du coin, mobilisons-nous tous pour récolter le plus de pièces rouges possible pour faire avancer encore un peu plus la recherche contre le cancer et la leucémie. Venez vider vos tirelires dans le camion tirelire de l’opération « Pièces Rouges » qui passera prochainement près de chez vous…

Allez, on s’bouge … pour l’opération « Pièces Rouges »

Voici le lien pour les agences participatives!

Les chercheurs Télévie expliquent leur thèse en 180 secondes

Chercheurs

L’exercice est particulièrement compliqué. Surtout pour des scientifiques, précis, rigoureux, souvent exhaustifs, puisque chaque détail a son importance. Pourtant, ces jeunes chercheurs Télévie s’y plient avec un certain plaisir. 24 d’entre eux ont été sélectionnés pour présenter lors du « Séminaire Télévie » les résultats de leur recherche en 180 secondes ! « Ce Séminaire existe depuis plus de 15 ans, mais c’est la première fois que nous organisons ces résumés de 3 minutes », explique Luc Willems, professeur à l’Université de Liège et Directeur de recherches FNRS. « Je pense que c’est essentiel d’arriver à bien synthétiser l’objet et les résultats de ses recherches. Mieux comprendre les mécanismes du cancer ne se limite pas à un travail de laboratoire, cela comprend aussi la communication de son travail ».

Clémence Al Wardi, 28 ans, chercheuse à l’Université Libre de Bruxelles, est l’une des premières à se lancer. Très à l’aise, elle réussit brillamment à résumer sa thèse sur les « modifications chimiques de l’ADN dans le cancer du sein ». « Je m’étais préparée en récitant devant mon chat », chuchote-t-elle pour décompresser, « il était très réceptif ;-)».

Marina Digregorio, 26 ans, recherche, elle, à l’ULiège. Elle essaye de mieux comprendre les rechutes dans le cadre du glioblastome, un cancer du cerveau. « Généralement, je ne suis pas très à l’aise à l’oral. Mais c’est un très bon exercice. Je suis contente de l’avoir fait ». Au pupitre, défile aussi Victor Delprat, 26 ans, de l’UNamur. Lui s’est préparé « devant ses collègues de laboratoire » et s’intéresse « à tout ce qu’il y a autour des cellules cancéreuses, notamment les cellules de vaisseaux sanguins. Et j’essaye de voir comment elles communiquent entre elles ».

In English

Difficulté supplémentaire, toutes ces présentations se font `in English´: « Dans le domaine de la recherche, l’anglais est LA langue véhiculaire. Pouvoir bien s’exprimer dans cette langue fait aussi partie de la formation des chercheurs », explique le professeur Luc Willems.

Par ailleurs, n’oublions pas que même si la majorité des chercheurs Télévie sont francophones, certains viennent de l’étranger, d’Italie, du Liban, et même d’Inde !

« L’anglais, on l’utilise tout le temps en labo, donc pour moi ça allait. Ça ne s’est pas trop mal passé » explique, soulagée, Clémence.

Une approche multidisciplinaire

Aux côtés de ces jeunes chercheurs, des scientifiques confirmés exposent également, au pupitre, leurs recherches. Le grand auditoire bouillonne, et c’est bien l’objectif d’une telle journée. « Permettre la circulation des idées, favoriser l’échange scientifique et stimuler le développement des collaborations entre les chercheurs et entre les universités », confirme Michael Herfs, Chercheur qualifié FNRS et orateur du jour. « On n’est plus à l’époque de Louis Pasteur où les chercheurs étaient seuls dans leur laboratoire ».

Aujourd’hui, la meilleure chance de progresser dans la lutte contre le cancer, c’est en effet d’appliquer une approche multidisciplinaire, c’est-à-dire combiner plusieurs domaines de recherches. Pour que la recherche de chacun profite aux autres.

 

4000 personnes pédaleront pour le Télévie à Liège

Depuis la création des 24 heures vélo au CHU de Liège, l’événement n’a cessé de prendre de l’ampleur ! Si bien, que cette année, pour sa 4ième édition, environ 4.000 personnes se relayeront sur 124 vélos, pour pédaler durant 24 heures. « En 2016, il y avait 24 vélos, 48 vélos en 2017, 72 vélos en 2018. Nous sommes très heureux de progresser chaque fois » se réjouit Louis Maraite, directeur de la communication au CHU de Liège.

L’événement débutera à 17h le 21 mars et se déroulera simultanément sur 6 sites participants. En effet, au-delà du Centre Hospitalier Universitaire de Liège, les quatre centres commerciaux de Liège (galeries Saint-Lambert, Médiacité, Belle-Île en Liège et Shopping Cora Rocourt) ainsi que le collège Saint-Barthélemy ont décidé de se joindre à l’effort. Des vélos seront installés sur chacun de ces sites et chaque engin rapporte minimum 800 € au Télévie.

Parmi les nouveautés 2019, à Belle-Île, trois rameurs s’ajouteront aux vélos spinning et seront utilisés par des personnes pratiquant l’aviron. Au collège Saint-Barthélemy, le pongiste Jean-Michel Saive et l’humoriste Pierre Theunis animeront la dernière heure de transpiration et le professeur Foidart donnera des conférences sur l’évolution du cancer. Par ailleurs, l’enseignement de la province de Liège, via ses sections sportives et paramédicales participe aussi cette année en installant six vélos supplémentaires à la Médiacité.

Ces 24 heures vélo au profit du Télévie se veulent festives puisque des animations sont prévues à chaque endroit (concerts, Dj’s, démonstrations, …). Mais si vous êtes DJ, chanteur, musicien, groupes de danses,… vous pouvez toujours vous faire connaître afin que la nuit passe encore plus vite grâce à votre talent 😉

Il est par ailleurs encore possible de s’inscrire à cet événement, jusqu’au 20 janvier à minuit, via le site internet www.24h-televie.be

 

Première réussie pour la nouvelle pièce du Télévie !

Le pitch de cette pièce d’Eric Assous est le suivant : Francis (Luc Gilson) et Rosalie (Sandrine Corman) devraient être les parents les plus heureux du monde en ce jour du mariage de leur fille (Anne Ruwet). Pourtant, l’ambiance n’est pas à la fête. Rosalie reproche à son mari d’avoir dansé toute la soirée avec une femme que personne ne connaît. Pris la main dans le sac, Francis est bien obligé de reconnaître que cette femme n’est autre que sa maîtresse (Sophie Pendeville). Et Rosalie n’entend pas se laisser faire ! Jacques van den Biggelaar, lui, fera basculer l’histoire. Place aux représailles…

« Les bénévoles se mobilisent toute l’année »

« Génial, comme chaque année. On vient chaque année et chaque année ils se surpassent », résumait une dame à la sortie après 1h30 de spectacle. « C’est une très belle récompense et ça nous prouve aussi qu’on n’est pas les seuls à se mobiliser et qu’on fait partie d’une grande famille », estimait un jeune homme. « J’ai bien aimé la maîtresse… », témoignait un autre spectateur. La dame qui l’accompagnait trouvait elle que « Luc Gilson était vraiment exceptionnel ».

Luc Gilson justement est un habitué des pièces du Télévie et il trouve ça logique d’offrir ce moment aux bénévoles. « C’est normal qu’on leur rende la pareille parce que ce sont des gens qui se mobilisent pendant toute l’année. On s’est consacrés à cette pièce pendant quelques mois, on a préparé, on a répété, mais eux c’est pendant toute l’année qu’ils travaillent pour le Télévie. »

« Un stress de fou »

Pour Anne Ruwet, cette grande première sur les planches fut plutôt stressante. « J’ai des palpitations, je ne m’attendais pas à ça. C’est un stress, une adrénaline de fou. » Idem pour Sophie Pendeville. « Ce n’est que la 2ème année et j’avoue je suis trempée, j’ai un peu chaud, ça a été hyper intense. On était tous à fond dedans. »

Au fur et à mesure des représentations, certains animateurs seront remplacés par des acteurs, dont Natacha Amal, qui reprendra le rôle de l’épouse trompée dès le mois prochain. Et elle a noté des changements : « Ils ont inventé encore de nouvelles choses. Il y a des gags que je n’avais pas encore vus où j’étais morte de rire dans le fond de la salle. »

La pièce se poursuivra jusque début avril et passera par Mons, Ottignies, Couvin, La Louvière, Auderghem, Rochefort, Gilly, Ath, Liège, Tubize, Neufchâteau, Namur et enfin Spa.

Un « Septante et un » spécial Télévie

Jean-Michel Zecca animera un « Septante et un » on ne peut plus particulier à l’occasion de sa 4000ème émission. Pour la première fois, cette émission de divertissement accueillera des chercheurs en blouse blanche du Télévie qui se mesureront à Maria Del Rio. Ensemble, ils vont tenter de rassembler la plus grande cagnotte au profit de la recherche contre le cancer.

Le « Septante et un » est l’une des émissions phares de RTL TVI : ce jeu télévisé réunit chaque jour une moyenne de 257 000 téléspectateurs. Le principe ? Le candidat fait face à un public de 70 personnes qu’il doit éliminer. A lui de choisir les questions qui l’avantageront face à cette masse d’adversaires.

Rendez-vous le mercredi 16 janvier à 18h30 sur RTL TVI.

Natacha Amal rejoint la pièce de théâtre du Télévie 2019

Natacha Amal intègrera la troupe du Télévie pour 17 représentations. Dans la pièce « Représailles » d’Eric Assous, elle partagera le rôle avec Sandrine Corman et jouera donc Rosalie, la mère de Mélissa (Anne Ruwet) et l’épouse trompée de Francis, interprété par Luc Gilson.

Sandrine ayant des interventions quotidiennes en radio, des projets en télévision et le Télévie dans son ensemble, il a été décidé d’alléger son planning pour la pièce. Le choix s’est très vite porté sur Natacha Amal vu sa grande fidélité au Télévie et sa brillante carrière en tant qu’actrice. On la retrouvera sur les planches aux côtés de nos animateurs à Rochefort, Gilly, Ath, Liège, Tubize et Neufchâteau.

« Natacha et RTL, c’est une histoire qui dure depuis très longtemps » déclare Géraldine Gautier, productrice de la pièce de théâtre du Télévie 2019. Natacha Amal est belge, et est en effet fidèle au Télévie depuis de nombreuses années. En 2005, elle rencontrait Thibault sur le plateau de la Grande Soirée. Depuis, se sont tissés des liens extraordinaires et le jeune garçon considère aujourd’hui l’actrice comme sa deuxième maman. Lors de la 30ème cérémonie de clôture du Télévie, Natacha Amal nous a fait le plaisir d’être présente une nouvelle fois.

 

Des chaussettes pour faire avancer la cause

Un pas de plus contre le cancer

Patricia Longree est bruxelloise. Le 21 avril dernier, elle suit en direct sur RTL TVI la Soirée de Clôture du 30ième Télévie. Comme des milliers des belges, elle fait un don. Quelques euros si précieux pour faire progresser la recherche contre le cancer. Mais Patricia se dit qu’elle pourrait en faire davantage ! « Ma sœur est partie d’une leucémie en 3 mois. Devant mon écran, je me suis dit que j’avais, moi aussi, envie de participer à cet élan. Plus on est, plus les choses bougent » raconte Patricia.

« Au départ, j’ai été sur le site du Télévie. Là je me suis rendue compte que c’était du domaine du possible, il existe des centaines d’activités…». Mais Patricia hésite, « je voulais faire autre chose qu’organiser une soirée spaghetti, je ne suis pas très douée pour cela… ». Elle consulte alors la liste des produits vendus au profit du Télévie et là l’idée surgit : « je me suis dit mais pourquoi pas les chaussettes ?! Elles peuvent faire avancer ! ».

Pendant 20 ans, Patricia a en effet travaillé dans le secteur de la chaussette. Elle en garde une expertise et des contacts. « Pour vous dire on m’appelle Madame Chaussette », s’amuse Patricia.

Une paire de qualité

Patricia contacte alors le directeur de « Fab Sox », un fournisseur de chaussettes. Il accepte immédiatement de lui offrir du stock. « Et là, tout a démarré ! » se réjouit Patrica.

« J’ai conçu l’affiche, imaginé les petites mannes pour présenter nos chaussettes et contacté des dizaines de distributeurs potentiels ». Finalement plus de 80 points de vente ont accepté de proposer ces chaussettes Télévie, principalement des pharmacies…. « Une amie elle-même touchée par le cancer m’a aidé pour la distribution ».

Ces chaussettes sont de création belge et fabriqués en Europe avec grand soin. La paire coute 8,50 euros, au profit du Télévie évidemment !

 

 

Voici la liste des endroits où vous pouvez les acheter :

  • 1000 Bruxelles

Pharmacie Anspach (Boulevard Anspach 109)

Pharmacie du midi (Avenue Fonsny 29)

  • 1020 Bruxelles

Pharmacie Kira (Avenue Houba de Strooper 32)

  • 1050 Bruxelles

Pharmacie Tenbosh (Rue Tenbosh 68)

Pharmacie Derache (Avenue Derache 273)

  • 1060 Bruxelles

Pharmacie Schoonjans (Rue de la victoire 169)

  • 1070 Bruxelles

Pharmacie Querton (Rue Claude Debussy 24)

Pharmacie Truyts Daluphar (Rue E. Delcourt 53)

Pharma Shopping Westland (Bd Sylvain Dupuis 539)

Pharmacie Boutelier (Route de Lennik 400)

Pharmacie Du Bon Air (Avenue d’itterbeek)

  • 1080 – 1083 Bruxelles

Pharmacie Goethals (Kasteeldreff 1)

  • 1090 Bruxelles

Pharmacie Boulanger (Rue J. Lahaye 127)

Pharmacie Zombeek (Rue Lepold 1er 316)

Pharmacie Frederic (Place Werrie 17a)

Pharmacie du Miroir (Rue Leon Theodore)

  • 1160 Bruxelles

Pharmacie du Souverain  (Boulevard du Souverain 264)

Pharmacie Pinoy (Avenue G Poels 22)

Auderghem Pharma (Chaussée de Wavre 585)

Pharmacie du rouge cloître (Chaussée de Wavre 1733)

Pharmacie Saint Julien  (Chaussée de Wavre 1303)

  • 1170 Bruxelles

Pharmacie des 3 tilleuls (Avenue Wiener 116)

Pharmaduo (Chaussée de la Hulpe 210)

Vertige (Place Wiener 10)

  • 1180 Bruxelles

Az Bouquains  (Chaussée d’Alsemberg 711)

Bopalux (Rue JB Vanpestraat 39)

Beauty Institut  (Chaussée de Waterloo 982)

Pharmacie Parc Brugman (Avenue Herincks 6)

Pharmacie Shubert  (Rue Vanderkindere 468)

Pharmacie Penels (Rue du domaine 157)

Bandagisterie CEBEAO (Rue Edith Cavell 143)

Maison Médicale (Rue de Stalle 171)

Maison Medicale (Rue Charles Bernaerts 8)

  • 1190 Bruxelles

Pharmacie Gaffa (Avenue Willemans Ceuppens 167)

Pharmacie de Forest National  (Avenue Victor Rousseau 161)

Pharmacie Swalens (Rue Rosendael 102)

Pharmacie Vanhees (Chaussée d’Alsemberg 318)

Pharmacie Van Elewijck (Rue Antoine Bréart)

Pharmacie Van Volxem (Avenue Van Volxem 13)

Pharmacie De ville (Chaussée de Neerstalle 13)

  • 1200 Bruxelles

Pharmacie du Tomberg (229 Tomberg)

Pharmacie Vandervellen (Square Marie José 3)

  • 1300 Wavre 

Pharmacie de la Dyle (Rue Charles Jaumotte 4)

  • 1320 Hamme – Mille

Pharmacie Goes (Chaussée de Louvain 11)

  • 1325 Chaumont Gistoux

Pharmacie Anthoine (Chaussée de Huy 119)

  • 1330 Rixensart

Pharmacie Froidmont (Avenue Royale 33)

  • 1332 Genval 

Pharmacie Deruder (Rue de la station 2)

  • 1350 Orp-Le-Grand

Librairie l’as-tu lu ? (Place du 11 dragon Français)

  • 1380 Ohain 

Pharmacie D’Ohain (Rue Crollé 1)

  • 1400 Nivelles

Pharmacie Meurée (Rue saint Anne 8)

  • 1420 Braine L’Alleud

Fabiflor (Chaussée d’Ophain 12)

Pharmacie de l’alliance (Rue Victor Allard 134)

Librairie Bonaventure (Chaussée d’Ophain  14)

  • 1470 Bousval – Genappe

Pharmacie de Bousval (Place communale 1)

Pharmacie Delvigne (Rue de Bruxelles 47)

  • 4287 Lincent 

Pharmacie de Lincent  (Rue du grand Hallet 24)

 

 

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