Francis Cabrel et sa fille Aurélie, parrains du Stars Rallye Télévie ce dimanche 20 octobre

Lors de cette journée, des vedettes de tous horizons seront présentes: du show business, du sport ou encore de la cuisine gastronomique. Ces personnalités participeront au rallye, au volant de voitures de prestige mises à leur disposition. Cette année, le dessinateur de BD Dany, la famille Borlée, le DJ Kid Noize, les chefs étoilés Yves Mattagne et Lionel Rigolet, le joueur de hockey Simon Gougnard mais également des animateurs d’RTL se prêtent au jeu.

Le public pourra également assister au rallye en tant que copilote d’une des stars. Ces places de passagers sont mises aux enchères dès ce lundi 7 octobre jusqu’au 14 octobre via ce lien.  Pour les accompagnants, c’est donc l’occasion de passer la journée en compagnie d’une vedette ou de leur voiture préférée.

Le départ s’effectuera devant Autoworld, le musée de l’automobile, sur l’esplanade du Cinquantenaire à Bruxelles à 9h30. Ensuite, il y aura une première étape à l’aérodrome de Namur (Temploux) pour une pause déjeuner entre 11h30 et 15h. Sur place, de nombreuses activités terrestres et aériennes auront lieu: baptêmes en hélicoptère, vol-catapulte en planeur, tests de supercars, foodtrucks, espace enfants, etc. De quoi ravir les participants mais aussi les visiteurs puisque le site sera ouvert au public contre une petite participation. Les célébrités du jour, les stars “pilotes” seront ravis d’aller à la rencontre de chacun. Le tout, dans un esprit plus convivial que jamais. Enfin, pour terminer, les véhicules retourneront au point de départ au musée Autoworld vers 16h30.

Tous les bénéfices de cette opération sont intégralement versés au Télévie. Petits et grands, entre amis ou en famille, il y en a pour tous les goûts. On y sera, et vous ? Venez nombreux, on vous y attend !

Pour toutes les informations, rendez-vous ici 

Vincent Lagaf’ dans le film « Marguerite » au profit du Télévie

Faire un film en 6 mois sans budget dont la majeure partie des bénéfices serait reversée au profit du Télévie. Cette idée complètement folle, Mik Collignon l’a eue et a tout mis en œuvre pour la mener à bien. Entouré d’une équipe sans pareille qui n’a jamais ménagé ses efforts, Mik a carburé à l’énergie du cœur pour boucler son long métrage.

 « Marguerite » conte ainsi l’histoire de Vincent qui, à l’hôpital, fait la rencontre de Nyl, une petite fille atteinte d’une maladie orpheline. Pour « sauver » Nyl, Vincent et ses acolytes vont mettre à exécution un plan insolite qui va les amener à vivre une série d’aventures plus cocasses les unes que les autres.

Pour jouer Vincent, quoi de mieux qu’un… Vincent, Lagaf’ en l’occurrence ? « Quand on m’a demandé de participer au tournage du film « Marguerite », je ne me doutais absolument pas de ce qui m’attendait », explique Vincent Lagaf’. « La seule chose que je savais était que ça se passait en Belgique et que c’était bénévole. C’était pour le Télévie et, comme je vis une histoire d’amour depuis 30 ans avec la Belgique, j’ai dit “oui“. Le défi était immense mais il y avait une véritable envie d’y arriver. Un engouement terrible de chacun. On a tous donné le meilleur de nous-mêmes. Il y avait l’ingrédient principal du Télévie : la solidarité ! »

Amitié, entraide, humour et surpassement de soi, « Marguerite » réunit tous les ingrédients que Mik Collignon et ses acteurs se sont attelés à mêler pour, au final, vous faire passer un bon moment, au profit du Télévie.

 Dans le courant du mois d’octobre, le film sera projeté partout en Wallonie et à Bruxelles au travers d’avant-premières. Pour réserver vos places, c’est ici.

Le vaccin contre le papillomavirus désormais gratuit pour les garçons

La date du 1er septembre 2019 symbolise la rentrée scolaire mais aussi de nouveaux changements. Et du côté de la santé, c’est une nouveauté pour le vaccin contre le virus HPV, plus connu sous le nom de “papillomavirus”: depuis cette date, il est devenu gratuit pour les garçons. Dès lors, tout enfant, qu’il soit fille ou garçon, inscrit en première différenciée, en deuxième secondaire ou âgé de 13 à 14 ans et inscrit dans l’enseignement spécialisé, a droit au vaccin gratuitement. Une gratuité dont les filles bénéficient déjà depuis 2011 dans le cadre du Programme de vaccination de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Cette recommandation est désormais appliquée en Belgique, aussi bien en Flandre que dans le sud du pays.

 Le papillomavirus à la source de cancers qui touchent aussi les hommes

Il existe plus de 100 types de virus du papillome humain. Beaucoup d’entre eux ne posent pas de problème et passent inaperçus. Généralement, selon les chiffres de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS),  environ 90% des infections liées à ce virus disparaissent dans les deux ans qui suivent la date à laquelle elles ont été contractées. Dans d’autres cas, les infections HPV peuvent persister et être à l’origine de certains cancers. Chaque année, dans notre pays, on compte plus de 1000 nouveaux cas de cancers liés au papillomavirus selon les chiffres du KCE, le Centre Fédéral d’Expertise des Soins de Santé. Le plus connu est celui du cancer du col de l’utérus mais également  des cancers plus rares comme ceux du vagin, du pénis, de la gorge, du pharynx ou encore de l’anus qui touchent aussi les hommes. Aujourd’hui, précise l’OMS, “l’augmentation des cancers liés au HPV chez les hommes est une réalité puisqu’un quart des cancers liés au papillomavirus touchent les hommes”.

Ce virus se transmet sexuellement mais aussi par voie cutanée (frottements, caresses). C’est la raison pour laquelle, malheureusement, le préservatif ne protège que partiellement des risques de contaminations. En se faisant vacciner, les garçons sont mieux protégés du cancer et diminuent leur risque d’être porteur du virus mais aussi celui de le transmettre lors de rapports sexuels. “Si le garçon n’est pas porteur, il n’est pas non plus transmetteur. Et donc en évitant qu’il ne porte le virus HPV, grâce à la vaccination, on l’empêche aussi de le transmettre à des femmes. Et il y a un effet de population et de transmission qui n’existe plus”, explique Frédéric Kridelka, chef de service gynéco-obstétrique au CHU de Liège dans le RTL Info diffusé le 1er septembre 2019.

Une réussite déjà prouvée à l’étranger

Si cet élargissement de la vaccination vient d’être mis en place chez nous, il l’était déjà dans d’autres pays comme le Royaume-Uni, l’Australie, ou encore certaines provinces du Canada. Cette démarche a permis de faire ses preuves à l’étranger. En Australie, le pays a presque éradiqué le virus grâce à une couverture vaccinale élevée. Il est l’un des premiers pays à avoir financé publiquement un programme national de vaccination, lancé en 2007. La vaccination des garçons ayant été incluse par la suite en 2013. En dix ans, le taux de femmes âgées de 18 à 24 ans infectées par le papillomavirus est passé de 23% à 1%. Et selon une étude publiée en octobre 2018 dans la revue scientifique The Lancet, l’Australie serait en voie d’éliminer le cancer du col de l’utérus d’ici 2028.

 

Un courrier reçu dans chaque école

En Belgique, aussi bien en Flandre qu’en Fédération Wallonie-Bruxelles, les parents et enfants ont été informés de cette option à l’aide d’un courrier explicatif reçu à l’école et leur demandant leur accord. Tout y est détaillé: le virus, la vaccin, les réactions qu’il peut engendrer ou encore où se rendre pour se faire vacciner. L’enfant peut être vacciné par son médecin traitant, en centre de planning familial ou via les services en charge de la santé à l’école (PSE). “Le plus simple (pour les parents) est de réagir positivement au courrier qu’ils reçoivent de l’école, demandant s’ils autorisent la vaccination. À ce moment-là, leur enfant recevra deux doses de vaccin. S’ils veulent le faire hors contexte scolaire, ils peuvent le faire. Ça leur coûtera 11 euros par vaccination. Dans le cadre scolaire, c’est gratuit”, précise également Frédéric Kridelka dans le RTL Info du 1er septembre 2019.

 

Si cette vaccination n’est pas obligatoire, elle est vivement recommandée par le Conseil Supérieur de la Santé. Plus nombreux seront les personnes vaccinées, filles et garçons, plus les chances de voir le virus disparaître augmentera. Elle permettra, c’est certain, de réduire le risque de cancer.

Pour plus plus d’informations, rendez-vous ici:

> https://www.vaccination-info.be

Les boissons sucrées associées à un risque accru de cancer

Un risque de cancer accru de 18%

Au cours des dernières décennies, la consommation de boissons sucrées a augmenté dans le monde. Si celles-ci sont déjà connues pour leur impact sur la santé dans les maladies cardiométaboliques comme le diabète ou les maladies cardiovasculaires, leur lien avec les cancers a été moins étudié.

C’est précisément l’objet d’une étude publiée dans le British Medical Journal (BMJ), ce 10 juillet 2019. Les auteurs de ce travail rapportent que la consommation quotidienne de 100 ml, à savoir l’équivalent d’un petit verre ou un tiers de canettes (33cl), de boisson sucrée, augmenterait d’environ 18% les risques de cancer. Un taux qui, pour le cancer du sein, grimpe même jusqu’à 22%.

Et les jus de fruits naturels sans sucre ajouté ne sont pas épargnés. Qu’il s’agisse de purs jus ou de sodas: le risque est similaire !

 

Plus de 100 000 personnes interrogées

Pour mener à bien leur travail, les scientifiques de l’Equipe de Recherche en Epidémiologie Nutritionnelle (EREN/Inserm/Inra/Cnam/Université Paris 13) ont étudié les consommateurs de la cohorte française NutriNet-Santé à l’aide de questionnaires en ligne ouverts à tous. Au total, 101 257 participants dont 78,7% de femmes ont été suivis entre 2009 et 2019. Au cours de l’analyse, 2193 ont développé un cancer à environ 59 ans et pour le cancer du sein, en particulier, 693 cas ont été relevés. Leur consommation alimentaire habituelle a été évaluée grâce à des enregistrements nutritionnels de 24h répétés portant sur plus de 3300 aliments différents dont 109 types de boissons sucrées et édulcorées.

 

Une association, mais pas de lien de causalité démontré

Cette étude étant fondée sur l’observation, il est impossible d’établir un lien de cause à effet. Le développement de la maladie ne peut être directement lié à la consommation unique du sucre. Cependant, les résultats relèvent une association significative qu’il ne faut pas négliger. En effet, tout facteur sociodémographique ou lié au mode de vie (âge, mode de vie, activité physique, tabagisme, antécédents familiaux, etc.) qui aurait pu influer les analyses a été pris en compte.

En revanche, les auteurs notent qu’aucune corrélation n’a été détectée entre la consommation de boissons artificiellement sucrées et l’apparition de cancer. Néanmoins, ils précisent que ces édulcorants ne représentent en aucun cas une alternative et ne sont pas recommandés sur le long terme. La règle est donc: mieux vaut réduire le sucre au maximum !

 

Sources:

British Medical Journal “Sugary drink consumption and risk of cancer: results from NutriNet-Santé prospective cohort”, parution le 10 juillet 2019.

NutriNet-Santé “Consommation de boissons sucrées et risque de cancer”, parution le 11 juillet 2019.

 

C’était il y a un an: Marie-Hélène et Johanna, deux jeunes filles atteintes du cancer, nous quittaient

Deux enfants du Télévie s’envolaient il y a un an

Il y a tout juste un an, le 27 juillet 2018, deux lumineux visages du Télévie s’envolaient après un long combat contre la maladie. (https://televie.be/marie-helene-et-johanna-deux-temoins-cles-du-televie-nous-ont-quittes/.)

Marie-Hélène et Johanna, deux guerrières aux sourires éclatants, étaient des témoins-clés du Télévie, et des exemples d’une force et d’un positivisme inégalables. Avec leurs devises, « Toujours plus haut, toujours plus fort. » pour Marie-Hélène et « Souris à la vie et la vie te sourira. » pour Johanna, elles ont laissé derrière elles une trace pour toujours dans nos cœurs.

Atteinte d’un neuroblastome depuis l’âge de 4 ans, Johanna s’était battue jusqu’à ses 19 ans. 15 ans de maladie et énormément de rechutes: elle était la seule personne au monde à avoir survécu à autant de récidives. C’est en 2014, à l’âge de 8 ans, que Marie-Hélène avait été diagnostiquée d’une forme grave de cancer: une leucémie myéloblastique aiguë.

Des hommages émouvants

Ce samedi, leurs proches leur rendaient hommage. C’est autour de Johanna, là où elle se repose, que se sont rassemblés famille, amis, voisins, pour laisser s’envoler des ballons dans les airs. Des ballons aux couleurs vives, à l’image de la jeune fille. « Du rose car c’était sa couleur préférée, parce qu’elle a toujours été très colorée et du blanc pour représenter la pureté », raconte Véronique, sa maman. En fond sonore, la chanson « Smile » de Michaël Jackson les accompagnait « parce que “smile”, ça signifie “souris” et c’était elle », continue sa maman.

Pour Marie-Hélène, une marche de 5 et 13 km était organisée afin de récolter des fonds pour leur ASBL MHM, créée suite à son décès. Une ASBL qui a pour but d’offrir des jeux et du matériel aux enfants soignés en chambre stérile afin d’aider les parents qui n’ont pas toujours les moyens. « Le fait de marcher, c’était très agréable. On commémorait les bons souvenirs, tout le monde avait le sourire. On s’est sentis entourés, c’était paisible. », raconte Aurélie, la maman de Marie-Hélène.

Pour chacun des parents, il était important de se recueillir, de se rassembler. C’était comme une évidence. « On ne voulait pas rester à la maison, pleurer et s’apitoyer. On voulait faire quelque chose d’autre, quelque chose de constructif. Il y avait l’idée d’organiser quelque chose en souvenir de Marie-Hélène mais aussi l’idée de récolter des fonds car c’était son souhait: elle voulait aider les autres enfants. », raconte Aurélie. Pour Véronique, la maman de Johanna, se réunir tous ensemble au même moment signifiait beaucoup: « Parce que tous ces enfants, comme Johanna, ont combattu des années et je ne veux pas qu’on les oublie. J’espère que là-haut, elle sent notre présence. »

Ces parents, ces super-héros

Après la perte d’un être si cher, il y a le manque, l’absence à gérer pour les proches. Ces proches qui, pourtant, gardent encore aujourd’hui, un moral d’acier comme ils l’ont toujours fait en accompagnant leur enfant tout au long de leur bataille, à travers chaque épreuve. « Il y a “l’avant-maladie”, pendant la maladie mais il y a aussi “l’après-maladie”. Il ne faut pas oublier tous ceux qui restent et qui doivent continuer. », confiait Aurélie dans le magazine “Au coeur du Télévie”  diffusé en avril dernier.

Dans cette émission, les familles de Johanna, Lara, Marie-Hélène et Max se confiaient à Sandrine Dans en retraçant l’histoire de ces 4 jeunes qui se sont battus contre le cancer. En pleine reconstruction, elles ont montré leur force et leur courage sans limite en livrant des témoignages bouleversants, plein d’espoir, de sensibilité et de force. « Ce sont des parents incroyables, ils ont encore du courage pour porter un message aux autres parents dans la même situation en leur disant “Allez, accrochez-vous, on sait ce que vous traversez.” Ils continuent à  porter les autres parce qu’ils ont une force incroyable. Mais aussi parce qu’ils doivent continuer à avoir leur rôle de parents pour le reste de la famille. Ils ne peuvent pas se laisser aller. Ils sont exceptionnels. », nous raconte l’animatrice Sandrine Dans.

Des parents aussi extraordinaires que les messages que portaient Johanna « Moi, au mot cancer, je mets le mot combat, guerrier-guerrière. C’est un combat de tous les jours à mener. » et Marie-Hélène, « Durant les années de maladie, j’ai appris qu’on était plus forts ensemble, qu’il faut mettre nos différends de côté et travailler en équipe. Alors, continuons ensemble à combattre la maladie grâce à vos dons. Et que la force soit avec vous ! ».

Credit Photo : Mustapha MyopicEyes Mezmizi

Une nouvelle piste dans le traitement des cancers pédiatriques

Sera-t-il possible de traiter certains cancers pédiatriques sans avoir recours à la chimiothérapie ? C’est l’espoir que donnent les résultats des recherches menées depuis 4 ans grâce au soutien du Télévie par la Professeure Anabelle Decottignies et son équipe de l’Institut de Duve (UCLouvain).

À l’heure actuelle, les thérapies pour soigner les cancers des enfants fonctionnent très bien mais elles présentent peu de spécificités. En effet, les chimiothérapies s’attaquent aux cellules cancéreuses mais également aux cellules saines et aux cellules souches de l’enfant. “Ce sont des thérapies qui sont efficaces car elles éradiquent le cancer. Mais le problème, c’est qu’elles ont des effets secondaires.”, explique la Professeure Anabelle Decottignies. En fonction de l’intensité du traitement, cela provoque souvent des dégâts impactant la vie future des jeunes à court et long terme. “Si on entame déjà sur leur capital de cellules souches, les enfants auront en quelque sorte un vieillissement prématuré de leur organisme. Puisque ces cellules assurent la régénération des tissus pendant toute la vie.”, précise-t-elle. Dès lors, la capacité des tissus à se régénérer diminue, alors que l’enfant qui guérit a encore de nombreuses années devant lui. Dans les cas les plus critiques, des soucis de surdité, de perte de vue, des problèmes cardiaques ou encore de fertilité peuvent survenir.

Vers une thérapie ciblée pour améliorer les traitements

C’est dans ce contexte que la chercheuse et son équipe de l’Institut de Duve viennent de découvrir une piste très encourageante vers un traitement moins toxique. L’objectif de cette équipe ? Trouver une thérapie ciblée détruisant les cellules cancéreuses sans toucher aux cellules saines de l’enfant.

Les télomères au cœur de leur recherche

Pour y parvenir, les scientifiques se sont penchés sur les télomères. Les télomères, ce sont les extrémités de nos chromosomes qui sont responsables du vieillissement des cellules. En temps normal, plus les télomères s’usent, plus nos organes vieillissent. À l’inverse, pour les cellules pathologiques, ils ne raccourcissent pas et continuent à se diviser indéfiniment. C’est ce qu’on appelle l’immortalité cellulaire. En se multipliant éternellement, les cellules cancéreuses s’amassent formant ensuite des tumeurs et des métastases.

Deux mécanismes de prolifération

Petit à petit, l’idée d’essayer de cibler ces télomères pour les obliger à vieillir et, par conséquent, les empêcher de se diviser a germé auprès des chercheurs. Mais comment ? Pour avancer dans cette direction, il a fallu d’abord analyser les mécanismes permettant cette jeunesse éternelle. Il en existe deux:

Le premier concerne 90 % des cas de cancers[1]: les cellules cancéreuses réactivent l’expression d’un gène embryonnaire. Lorsque nos cellules sont au tout premier stade de l’embryon, elles sont éternellement jeunes et ce, grâce à une enzyme, la télomérase, qui parvient à maintenir la taille des télomères. Rapidement après cette phase, les cellules repoussent le gène responsable de cette immortalité et l’horloge biologique est enclenchée. Dans 90 % des cancers, le gène de cette enzyme peut se réactiver, formant par la suite des tumeurs et métastases.

Le second s’applique aux 5 à 10% de cancers restants[2]. Dans ce cas-ci, les cellules malignes mettent en place un système alternatif appelé ALT. ALT pour Alternative Lengthening of Telomeres, ce qui signifie la prolongation alternative des télomères. Ce mécanisme n’est présent dans aucune de nos cellules saines et est propre à certains cancers, en particulier chez l’enfant. On le retrouve notamment dans les cancers pédiatriques tels que les cancers du cerveau (glioblastome ou neuroblastome) ou encore les cancers des os (l’ostéosarcome). Il est également présent dans certains cancers de l’adulte, notamment les sarcomes.

Une héroïne: la protéine TSPYL5

Et c’est ce mécanisme alternatif qui intéresse l’équipe de l’UCLouvain. En effet, “La plupart des tumeurs de l’enfant acquièrent ce caractère de prolifération indéfini qu’on appelle le mécanisme ALT et qui n’est jamais présent dans les cellules normales. Si on arrive à cibler spécifiquement ce mécanisme, on sait qu’on épargnera toutes les cellules souches et les cellules normales.”, explique la Maître de recherches au FNRS. Le 2 juillet dernier, les scientifiques annonçaient avoir trouvé une cible potentielle. Son nom: TSPYL5. “C’est la première fois qu’on a une protéine qui est vraiment spécifiquement importante au mécanisme ALT. Lorsqu’on enlève cette protéine, les cellules cancéreuses meurent.”, développe la Professeure Decottignies.

La suite ?

Les perspectives sont encourageantes mais le travail n’est pas encore terminé. Il faut encore tester ces molécules en culture afin de trouver la bonne molécule pour établir une thérapie ciblée. Cela pourrait encore prendre une dizaine d’années. J’espère qu’on trouvera quelque chose et que cela fonctionnera. Ça ne va pas être un chemin facile mais on va essayer. La cible est vraiment très prometteuse.”, se réjouit la chercheuse.

Chaque année, en Belgique, il y a en moyenne 350 nouveaux cas de cancers chez les enfants pour 70 000 cas chez les adultes[3]. Ces maladies rares représentent moins d’1 % de tous les cancers[4] mais ont tout autant besoin de notre soutien. Grâce à cette précieuse découverte, l’espoir de trouver de meilleures thérapies anti-tumorales pour les enfants s’agrandit. C’est un pas de géant dans la recherche contre les cancers pédiatriques.

Aujourd’hui, plus que jamais, cet avancement est la preuve irréfutable que la recherche ne cesse d’avancer. Et qu’il faut, ensemble, continuer à se mobiliser pour vaincre la maladie !

[1] Source : UCLouvain – « Cancers pédiatriques : un petit pas vers la thérapie ciblée », parution 03 juillet 2019.

[2] Source : UCLouvain – « Cancers pédiatriques : un petit pas vers la thérapie ciblée », parution 03 juillet 2019.

[3] Source : UCLouvain – « Cancers pédiatriques : un petit pas vers la thérapie ciblée », parution 03 juillet 2019.

[4] Source : Belgian Cancer Registry, parution 2016.

Nolwenn rencontre Soprano grâce au Télévie

Lors de la grande soirée du Télévie, ce 27 avril dernier, Nolwenn, une jeune fille de 15 ans atteinte d’un lymphome d’Hodgkin, est venue sur notre plateau raconter son histoire. Un témoignage bouleversant, exemple d’un beau combat !

C’est en septembre 2018 qu’elle découvre des boules présentes dans son cou durant un cours de gymnastique à l’école. Au début, tout porte à croire que c’est le résultat d’une blessure au cours de sport.

Mais les examens médicaux se succèdent et quelques semaines plus tard, le verdict tombe: c’est un lymphome d’Hodgkin, un cancer du système lymphatique. Une nouvelle difficile à comprendre pour cette adolescente.

« Je me suis toujours dit que ça arriverait aux autres, aux personnes plus grandes. Je n’ai jamais vu un enfant de mon âge avoir une telle maladie », a-t-elle confié à l’animateur David Antoine et à Matt Pokora, le parrain du Télévie 2019, lors de leur rencontre dans son école en avril.

Pour revoir les images de cette rencontre ;  https://www.facebook.com/watch/?v=801374813553319

Durant six mois, des traitements, de la chimiothérapie, des opérations se sont succédé et de nombreuses complications sont venues envenimer le quotidien de Nolwenn.

Au milieu de ces difficultés, personne n’a jamais baissé les bras. Aujourd’hui, grâce à sa force et son courage, elle se porte mieux. Elle est d’ailleurs retournée à l’école auprès de ses camarades.

Sur les coulisses d’un tournage, elle nous confiait l’importance de la musique pour s’apaiser. « La musique m’a permis de me relaxer, de réfléchir. », nous expliquait-elle.

Grande fan du rappeur Soprano, les équipes du Télévie lui ont réservé une petite surprise lors de la soirée de clôture, le 27 avril dernier. Soprano lui laissait un message en l’invitant à son prochain concert en Belgique, le 4 mai 2019 au Palais 12.

Nos caméras se sont faufilées dans les coulisses de ce moment unique. Quelques heures avant le grand show, Nolwenn et toute sa famille arrivent au Palais 12. A leur arrivée, c’est l’équipe de Soprano qui les accueille et leur présente chaque personne entourant le chanteur.

Il faudra patienter quelques minutes dans le couloir avant de pouvoir rencontrer la star. En attendant, Nolwenn et sa soeur, s’improvisent journalistes et s’interrogent l’une et l’autre. Nolwenn explique qu’elle s’attend à un grand show et qu’elle aime la musique de Soprano parce qu’il chante différents styles de chansons avec des paroles qui touchent et font réagir. C’est la première fois qu’elle le voit en concert.

Les minutes défilent et c’est parti: le moment tant attendu arrive. Nolwenn, accompagnée de sa famille, rentre dans sa loge.

L’artiste l’accueille en toute simplicité, habillé en sweatshirt. Sur le visage de Nolwenn, assise à sa gauche, un grand sourire se dessine. Elle le regarde un peu timide et impressionnée. Le juré de The Voice détend l’atmosphère dès les premières secondes: « Ah j’aime bien, vous avez le sourire. C’est cool ». D’humeur taquine, il en profite pour embêter le caméraman en train de le filmer: « Hier, on était ici avec lui, ils étaient en train de nous filmer. Et à chaque fois, ils essayaient de me mettre dans des positions. Ils me disaient que la lumière n’était pas bien. Là, pour la première fois, on s’est assis. Tellement tu es lumineuse, il n’a même pas eu besoin de dire quelque chose ».

 

Le caméraman répond: « C’est vrai, c’est exact ». Tout le monde éclate de rire ! Le téléphone en main pour capter le moindre souvenir, le papa regarde Soprano et Nolwenn avec tendresse. « Nous, on fait des photos, parce que c’est émouvant, c’est beau », dit-il.

Il est bientôt l’heure du concert. Le rendez-vous se termine par une photo de famille. En pleine capture, la lumière s’éteint et déclenche un fou rire pour tous. Le chanteur s’en va en leur souhaitant de passer un très bon concert « Vous allez vous régaler j’espère. D’accord ? ».

Il imite quelqu’un marchant avec une canne et plaisante à nouveau: « Vous allez me donner la force parce que je suis fatigué ». Il est temps pour lui de se préparer pour son concert et de régler les derniers détails.

Un dernier bisou échangé, des étoiles plein les yeux pour Nolwenn, il est désormais temps d’aller s’installer dans la salle pour se laisser porter par la mélodie du rappeur français.

 

Challenge réussi pour Jean-Michel Zecca et ses amis : ils atteignent le Mont Ventoux au profit du Télévie.

Repousser ses limites pour la bonne cause

Ils ont entre 18 et 76 ans, ils sont de tous horizons. Ce sont des amis, des collègues, des bénévoles, des sportifs ou moins sportifs, des personnalités comme Laurent Haulotte ou encore un autre Jean-Michel bien connu: Jean-Michel Saive. Ils se sont tous rejoints pour une seule et même raison: se surpasser pour la recherche contre le cancer. Ce dimanche 9 juin, ils étaient 240 cyclistes aux côtés de Jean-Michel Zecca pour réussir le pari fou de grimper jusqu’au sommet du Mont Ventoux, à 1912 mètres d’altitude.

C’est dans le village de Bédoin, situé au pied du célèbre et mythique Géant de Provence, que les sportifs ont démarré leur épopée. Ensemble, ils se sont dépassés pendant 21 kilomètres avec 12% de pente continue. Une ascension d’ailleurs connue pour être l’une des étapes les plus redoutées du Tour de France !

Un entrainement intensif

Pour relever ce défi, la préparation n’a pas été de tout repos. L’animateur s’est entrainé pendant près de 100 jours sous la supervision et les conseils avisés de Jean-Pierre Dubois, ex-coach de l’équipe nationale belge de cyclisme. Un programme chargé qui s’est déroulé progressivement en commençant par des balades dans le Brabant wallon jusqu’à s’exporter chez nos voisins, en France, pour découvrir les cols de montagne dans les Vosges. Néanmoins, rien n’avait été similaire au Mont Ventoux. « Je n’avais rien vu de tel jusqu’à dimanche. C’était extrêmement difficile. Tu as beau être bien préparé, cela reste vraiment une épreuve que chacun appréhende en fonction de son niveau de cyclisme et de son entrainement. », raconte Jean-Michel Zecca.

Une organisation d’ampleur

« Le projet s’est mis en place en août 2018 lorsque Jean-Michel s’est confié à moi sur son défi ultime pour ses 50 ans. Pas de chance, je suis cycliste et organisateur d’événements. Je lui ai dit qu’on allait le faire et il ne m’a pas cru. », confie Marc Duthoo, Head of Operational Communication de RTL Belgium et organisateur du Télévie à Ventoux.

Derrière le challenge sportif, il y a également le challenge organisationnel. « Habituellement, on organise des événements en Belgique. Mais là, on faisait un événement à l’étranger et il a fallu aller sur place faire un repérage, prendre ses repères et découvrir un endroit inconnu pour nous. Nous avons aussi rencontré la mairie de Bédoin pour avoir les autorisations, pour privatiser l’endroit. », explique-t-il. De la réservation des chambres, au traiteur en passant par la sécurité à installer et la création des maillots, les équipes de RTL ont multiplié de nombreuses casquettes pour mettre en place ce week-end.

Une forte dose d’émotion

Durant les 21 kilomètres de dénivelé, au-delà du défi sportif, c’était avant tout une aventure humaine, solidaire et remplie d’émotion qui s’est partagée. « Les gens qui viennent ont tous une histoire. Ils le font soit en mémoire d’un proche disparu, soit parce qu’ils sont eux-mêmes en rémission. C’est vraiment typique des événements Télévie, ça génère beaucoup de sympathie, de bienveillance. Les gens sont tous là avec le sourire, la banane », nous rapporte Marc Duthoo.

Pour Jean-Michel, la motivation était aussi évidente. « À aucun moment, je me suis dit que je pouvais abandonner même si les deux derniers kilomètres ont été absolument épouvantables (…). Quand on a du mal dans l’ascension, on pense beaucoup à tous ceux qui n’ont pas la chance d’être sur un vélo parce qu’ils sont cloués dans un lit à cause du cancer », confie-t-il.

Pour voir cela en image :  https://www.instagram.com/p/ByfXZL4hSxM/

Depuis dimanche, de nombreux messages défilent sur le groupe Facebook du Télévie à Ventoux de la part des participants: « une vraie réussite », « une magnifique aventure humaine », « souffrance, détermination et dépassement de soi », « de merveilleuses rencontres ». Beaucoup de mots empreints d’espoir aux couleurs de la grande famille qu’est le Télévie.

Si l’édition 2019 vient à peine de se terminer, il parait qu’un nouveau challenge est déjà lancé pour 2020…A suivre !

Pour découvrir toutes les images et les coulisses de cette folle expérience, rendez-vous le dimanche 23 Juin, dès 19h45 sur RTL TVI.

La Commission scientifique du FNRS a sélectionné 111 nouveaux chercheurs Télévie

Un seul mot : l’excellence

Autour de la table, ils sont 20. Rien que des experts du cancer, belges et internationaux. Leur objectif est de sélectionner parmi  166 dossiers, ceux qui  méritent le plus de bénéficier de l’argent récolté par le Télévie.

Véronique Halloin, Secrétaire générale du FRNS, explique comment ils sont sélectionnés : « On choisit les projets sur base de l’excellence du projet et des chercheurs. Ce qui est le plus important, c’est de voir dans quelles mesures le projet va permettre d’avancer par rapport à l’état des connaissances scientifiques actuelles. »

Marc Vidal, chercheur à la prestigieuse Université de Harvard et membre de la commission, est agréablement surpris par la qualité des projets : « Les projets que j’ai vus cette année sont bien meilleurs que ceux de l’année passée. Et ceux de l’année passée étaient encore meilleurs que l’année précédente. Je ne sais pas comment ils font, mais je crois que l’opération Télévie c’est quelque chose qui attire énormément et donc on a de plus en plus d’experts de grande qualité qui écrivent des projets. »

Chercheurs au cœur rouge

Les chercheurs concernés sont des scientifiques de niveau doctoral et post-doctoral qui mèneront des travaux de recherche dans les différents labos des universités de la Fédération Wallonie-Bruxelles : leur salaire, de même que celui des techniciens, sera financé par le Télévie durant 2 années en moyenne ;

Les Projets de Recherche (PDR) bénéficieront, grâce au Télévie, du financement des frais de fonctionnement, de personnel et d’équipement : ces projets sont interuniversitaires et impliquent généralement plusieurs disciplines.

Pour cette édition,  109 postes de chercheurs et 2 postes de techniciens ont été sélectionnés ainsi que 7 Projets de Recherche.

Des sélections qui seront officialisées par le C.A. du FNRS en juin prochain.

Le démarrage effectif est prévu dès le 1er octobre, date à laquelle ces 111 nouveaux chercheurs viendront agrandir l’équipe des chercheurs déjà financés par le Télévie.

En 31 ans, le Télévie a récolté près de 200 millions d’euros et permis au F.R.S-FNRS de soutenir au total près de 2.500 chercheurs dans la lutte contre le cancer.

Les disques d’Or sont de retour!

Comme chaque année, Bel RTL a rassemblé les meilleurs disques, qu’ils soient d’or ou de platine. L’opération les Disques d’Or consiste à mettre en vente les derniers succès des chanteurs du moment. Pendant toute une matinée, Christian De Paepe et Sophie Pendeville seront aux commandes de l’émission pour vous faire découvrir les dernières récompenses de cette année. Une dizaine d’animateurs RTL accompagneront nos deux présentateurs pour attribuer les disques aux plus généreux donateurs. L’édition 2019 des Disques d’Or se déroulera donc le 27 avril de 9h à 13h sur Bel RTL en direct de Louvexpo.

Depuis 1993, plus de 3 millions d’euros ont été récoltés grâce à cette opération. L’année dernière, un record a été battu puisque l’ensemble des ventes a rapporté 315.000 euros au Télévie ! Et ce en partie grâce au disque en hommage à Johnny Hallyday parti à 100.000 euros. Nous comptons sur vous pour faire exploser ce montant pour l’édition 2019 !

Au programme :

  • Amir avec « Addictions »

  • Angèle avec « Brol »

  • BigFlo et Oli avec « La vie de rêve »

  • David Antoine avec « David chante Noël »

  • Hooverphonic avec « Looking for the stars »

  • Johnny Hallyday avec « Mon pays c’est l’amour »

  • Kenji Girac avec « Amigo »

  • Maurane avec « Brel »

  • Orelsan avec « La fête est finie »

  • Patrick Bruel avec « Ce soir on sort »

  • Queen avec « Bohemian Rhapsody »

  • Slimane avec « Solune »

  • Typh Barrow avec « Raw »

Retrouvez les Disques d’Or du Télévie le 22 avril de 9h à 13h sur Bel RTL et sur www.belrtl.be. Intéressé par un de nos disques d’or ? Vous pourrez vous inscrire le 27 avril au 070/344.040. Si vous souhaitez plus d’informations, n’hésitez pas à nous contacter via disque@rtl.be.

 

 

Des pots de fleurs personnalisés par des artistes

Cette année, les enchères du Télévie font peau neuve. C’est une véritable œuvre d’art unique créée spécialement pour l’occasion qui vous est présentée !

Pour cette 31ème édition, les fleurs sont mises à l’honneur. Symbole de l’amour et de la vie, nous offrons toujours des fleurs aux personnes que nous aimons. Offrir un bouquet de fleurs, c’est avant tout transmettre un message du cœur. Dans la gamme des produits, nous vendons même des petits pots de graines de lin bleu à faire pousser chez vous. Pour les enchères 2019, c’est un pot de fleurs en terre cuite (24x21cm) customisé que nous vous proposons pour nos enchères.

Plusieurs artistes ont laissé libre cours à leur imagination. Cet objet est un reflet de leur vie ou de leur univers, il est donc unique. L’animatrice Maria Del Rio, l’homme de radio Pascal Vrebos, le chocolatier Pierre Marcolini, les couturiers Edouard Vermeulen et Bernard Depoorter, la modiste Fabienne Delvigne, l’humoriste François Pirette, la chanteuse Alice on the roof, le chanteur le Grand Jojo, le metteur en scène Franco Dragone et les artistes Richard Orlinski, Denis Meyers, Jean-Luc Dossche ont accepté le défi et ont transformé ces pots en terre cuite, en véritables œuvres d’art. Ces pièces seront à acquérir aux enchères au profit du Télévie. Ne manquez pas l’occasion de devenir le chanceux propriétaire de ce pot exceptionnel !

Mais ce n’est pas tout ! Matt Pokora et Agustin Galiana vous offrent la possibilité de posséder un de leurs objets personnels. Notre parrain met aux enchères une veste de la marque Couronne Paris, spécialement customisée pour le Télévie. Alors qu’Agustin Galiana vous propose une de ses guitares, dédicacée.

Vous avez jusqu’au 27 avril pour enchérir, retrouvez l’entièreté des objets mis en vente ici. N’hésitez à faire une offre grâce à notre partenaire Vavabid. Comme chaque année, l’objectif est de récolter un maximum d’argent pour soutenir la recherche contre le cancer.

 

Je participe aux enchères du Télévie!

 

4000 personnes pédaleront pour le Télévie à Liège

Depuis la création des 24 heures vélo au CHU de Liège, l’événement n’a cessé de prendre de l’ampleur ! Si bien, que cette année, pour sa 4ième édition, environ 4.000 personnes se relayeront sur 124 vélos, pour pédaler durant 24 heures. « En 2016, il y avait 24 vélos, 48 vélos en 2017, 72 vélos en 2018. Nous sommes très heureux de progresser chaque fois » se réjouit Louis Maraite, directeur de la communication au CHU de Liège.

L’événement débutera à 17h le 21 mars et se déroulera simultanément sur 6 sites participants. En effet, au-delà du Centre Hospitalier Universitaire de Liège, les quatre centres commerciaux de Liège (galeries Saint-Lambert, Médiacité, Belle-Île en Liège et Shopping Cora Rocourt) ainsi que le collège Saint-Barthélemy ont décidé de se joindre à l’effort. Des vélos seront installés sur chacun de ces sites et chaque engin rapporte minimum 800 € au Télévie.

Parmi les nouveautés 2019, à Belle-Île, trois rameurs s’ajouteront aux vélos spinning et seront utilisés par des personnes pratiquant l’aviron. Au collège Saint-Barthélemy, le pongiste Jean-Michel Saive et l’humoriste Pierre Theunis animeront la dernière heure de transpiration et le professeur Foidart donnera des conférences sur l’évolution du cancer. Par ailleurs, l’enseignement de la province de Liège, via ses sections sportives et paramédicales participe aussi cette année en installant six vélos supplémentaires à la Médiacité.

Ces 24 heures vélo au profit du Télévie se veulent festives puisque des animations sont prévues à chaque endroit (concerts, Dj’s, démonstrations, …). Mais si vous êtes DJ, chanteur, musicien, groupes de danses,… vous pouvez toujours vous faire connaître afin que la nuit passe encore plus vite grâce à votre talent 😉

Il est par ailleurs encore possible de s’inscrire à cet événement, jusqu’au 20 janvier à minuit, via le site internet www.24h-televie.be

 

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