Première réussie pour la nouvelle pièce du Télévie !

Le pitch de cette pièce d’Eric Assous est le suivant : Francis (Luc Gilson) et Rosalie (Sandrine Corman) devraient être les parents les plus heureux du monde en ce jour du mariage de leur fille (Anne Ruwet). Pourtant, l’ambiance n’est pas à la fête. Rosalie reproche à son mari d’avoir dansé toute la soirée avec une femme que personne ne connaît. Pris la main dans le sac, Francis est bien obligé de reconnaître que cette femme n’est autre que sa maîtresse (Sophie Pendeville). Et Rosalie n’entend pas se laisser faire ! Jacques van den Biggelaar, lui, fera basculer l’histoire. Place aux représailles…

« Les bénévoles se mobilisent toute l’année »

« Génial, comme chaque année. On vient chaque année et chaque année ils se surpassent », résumait une dame à la sortie après 1h30 de spectacle. « C’est une très belle récompense et ça nous prouve aussi qu’on n’est pas les seuls à se mobiliser et qu’on fait partie d’une grande famille », estimait un jeune homme. « J’ai bien aimé la maîtresse… », témoignait un autre spectateur. La dame qui l’accompagnait trouvait elle que « Luc Gilson était vraiment exceptionnel ».

Luc Gilson justement est un habitué des pièces du Télévie et il trouve ça logique d’offrir ce moment aux bénévoles. « C’est normal qu’on leur rende la pareille parce que ce sont des gens qui se mobilisent pendant toute l’année. On s’est consacrés à cette pièce pendant quelques mois, on a préparé, on a répété, mais eux c’est pendant toute l’année qu’ils travaillent pour le Télévie. »

« Un stress de fou »

Pour Anne Ruwet, cette grande première sur les planches fut plutôt stressante. « J’ai des palpitations, je ne m’attendais pas à ça. C’est un stress, une adrénaline de fou. » Idem pour Sophie Pendeville. « Ce n’est que la 2ème année et j’avoue je suis trempée, j’ai un peu chaud, ça a été hyper intense. On était tous à fond dedans. »

Au fur et à mesure des représentations, certains animateurs seront remplacés par des acteurs, dont Natacha Amal, qui reprendra le rôle de l’épouse trompée dès le mois prochain. Et elle a noté des changements : « Ils ont inventé encore de nouvelles choses. Il y a des gags que je n’avais pas encore vus où j’étais morte de rire dans le fond de la salle. »

La pièce se poursuivra jusque début avril et passera par Mons, Ottignies, Couvin, La Louvière, Auderghem, Rochefort, Gilly, Ath, Liège, Tubize, Neufchâteau, Namur et enfin Spa.

« Sans le Télévie, impossible de maintenir le niveau de la recherche »

Le professeur Blanpain et son équipe se penchent sur le rôle des cellules souches dans le cancer. Ces cellules souches cancéreuses seraient responsables de la croissance d’une tumeur, mais aussi de sa résistance aux traitements et pourraient expliquer pourquoi un cancer peut récidiver. Cédric Blanpain travaille aujourd’hui pour gommer ce conditionnel. La finalité est simple : mieux prévenir la maladie et améliorer le traitement du patient.

Comprendre l’origine du mal

Axées au départ sur les cellules souches, les recherches de Cédric Blanpain et son équipe s’orientent depuis 12 ans sur le cancer. « Nous cherchons des réponses à plusieurs grandes questions. Par exemple, quel est le rôle des cellules souches dans la maintenance des différents tissus ? La deuxième grande question concerne l’identification des cellules à l’origine du cancer. Nous essayons de comprendre les mécanismes précoces dans ce que l’on appelle l’initiation tumorale, c’est-à-dire quand le tissu est encore normal et s’apprête à devenir cancéreux. Enfin, nous avons dépensé beaucoup d’énergie à essayer de comprendre les mécanismes derrière l’hétérogénéité tumorale. Pourquoi les tumeurs sont-elles différentes d’un cancer à l’autre, ou bien entre patients atteints du même type de cancer, et entre les différentes cellules d’un même cancer ? »

Des résultats probants

Le chercheur publie chaque année dans les meilleures revues scientifiques. Rien qu’en 2018, le Pr Blanpain et son équipe définissent les différents états de transition survenant au cours de la progression du cancer. Une première. Ils identifient les cellules à l’origine du cœur et l’origine des cellules souches du sein. L’équipe fait également une découverte majeure dans le traitement des rechutes dans  les  carcinomes  basocellulaires,  les  cancers  de la  peau  les  plus  fréquents, tout en y proposant une nouvelle stratégie thérapeutique. Une percée qu’a permis, entre autres, le Télévie.

« La recherche contribue à mieux comprendre les cancers certes, mais également à mieux pronostiquer les récidives »

Le supplément d’âme

C’est que le Télévie joue un grand rôle dans la recherche menée par Cédric Blanpain et son équipe. « C’est un complément indispensable pour la recherche en cancérologie en Fédération Wallonie-Bruxelles », admet l’intéressé. « Sans cet argent, toutes les avancées que nos chercheurs font chaque année ne seraient qu’illusions. C’est quelque chose qui me tient tout particulièrement à cœur. Il ne s’agit pas d’un impôt sur la population mais d’une contribution individuelle et volontaire. C’est toujours très touchant. »

Grâce au Télévie, le chercheur de l’ULB est cette année promoteur de cinq projets Télévie, des bourses (appelées grants) accordées à des diplômés universitaires afin de poursuivre des travaux de recherches en vue de l’obtention d’un doctorat ou de se perfectionner après un doctorat. « Ce que j’ai reçu est exceptionnel. Sans le Télévie, je ne pourrais pas maintenir le niveau de la recherche que je mène contre le cancer. Ce serait impossible. Parce que les autres bourses sont très limitées. Nos sources de financement se sont réduites au cours du temps et ont vraiment fondu ces dernières années. Grâce au Télévie, au moins, on diminue l’impact négatif de cette baisse de budget qui touche la Wallonie et Bruxelles. »

À quoi s’attendre demain ?

Pour mieux combattre la maladie, il faut mieux la comprendre. Ce qui n’est pas une mince affaire tant le cancer est une maladie capricieuse. « Tous les ans, nous espérons faire avancer la connaissance. La recherche contribue à mieux comprendre les cancers certes, mais également à mieux pronostiquer les récidives. J’aimerais également un jour découvrir un nouveau médicament qui permettrait aux patients de guérir du cancer. »

Le cancer cache encore nombre de ses secrets aux chercheurs. « Nous aimerions mieux comprendre les cellules à l’origine des métastases, les mécanismes de résistance aux traitements. L’objectif est également de trouver des solutions innovantes pour pallier cette résistance au traitement, mais aussi les rechutes. Il faut pouvoir les identifier de manière plus précoce afin d’adapter le traitement des patients avant que le cancer n’évolue. »

Laurent Zanella

Un « Septante et un » spécial Télévie

Jean-Michel Zecca animera un « Septante et un » on ne peut plus particulier à l’occasion de sa 4000ème émission. Pour la première fois, cette émission de divertissement accueillera des chercheurs en blouse blanche du Télévie qui se mesureront à Maria Del Rio. Ensemble, ils vont tenter de rassembler la plus grande cagnotte au profit de la recherche contre le cancer.

Le « Septante et un » est l’une des émissions phares de RTL TVI : ce jeu télévisé réunit chaque jour une moyenne de 257 000 téléspectateurs. Le principe ? Le candidat fait face à un public de 70 personnes qu’il doit éliminer. A lui de choisir les questions qui l’avantageront face à cette masse d’adversaires.

Rendez-vous le mercredi 16 janvier à 18h30 sur RTL TVI.

Le deuil et l’espoir

« Le progrès, dans la recherche, ce n’est pas de passer de 0 à 100 % de chances, mais de 50 à 51 % », explique le Pr Yves Beguin, hématologue au CHU de Liège et médecin de la jeune Lara, décédée l’été dernier d’une leucémie. Face à la disparition de jeunes gens devenus des incarnations du combat contre le cancer, ce sont pourtant toujours les mêmes questions qui reviennent en boucle : pourquoi cet échec après tant de victoires ? Pourquoi cette issue après mille batailles gagnées ? Trouvera-t-on un jour un moyen de venir à bout de tous les cancers ? Autant d’interrogations dont les réseaux sociaux se font aujourd’hui le relais émotionnel et qui n’appellent jamais de réponse simple.

Pronostic

Car en science, le miracle n’existe pas. Seulement peut-on miser sur le travail, l’intelligence, l’obstination. « La recherche fonctionne selon un processus d’amélioration continue. C’est une somme de petites pièces de puzzle que nous mettons bout à bout et qui finit par faire avancer les choses », rappelle le Yves Beguin, Directeur de recherches honoraire du FNRS. « Lara et Marie-Hélène, atteintes de leucémie, ne seraient pas arrivées là dans leur parcours il y a cinq ou dix ans. Le succès a été temporaire, mais s’il n’y avait pas eu de progrès dans la recherche, l’impasse aurait été là beaucoup plus tôt. » Les familles des jeunes patientes sont d’ailleurs les premières à comprendre et à accepter – malgré la douleur – que la recherche avance à pas lents et qu’il importe de continuer à la soutenir. « Elles ne sont pas du tout en réaction par rapport à ça. Elles savent que même quand l’espoir était là, cet espoir était ténu.»

« UN PRONOSTIC TRÈS MAUVAIS, OÙ IL N’EXISTE QUE 10% DE CHANCES DE S’EN SORTIR, SIGNIFIE TOUT DE MÊME QU’UN PATIENT SUR DIX S’EN SORTIRA. »

 

L’espoir – cette notion tellement présente lorsqu’on lutte contre la maladie – n’est en effet jamais une promesse de guérison. Seulement signifie-t-il qu’il existe une possibilité d’amélioration, dépendante de maints facteurs. «Aujourd’hui, dans la leucémie, nous parvenons à identifier de plus en plus de facteurs pronostiques : l’âge, la quantité de cellules leucémiques, la dissémination ou non de ces cellules dans le cerveau, les caractéristiques génétiques des cellules leucémiques…  Cela nous permet d’orienter les premiers traitements et notamment de savoir très rapidement s’il est indiqué de faire ou non une greffe de moelle. Mais il ne faut jamais oublier que lorsqu’on décrète qu’un patient a 85% de chances de s’en sortir, il reste 15% d’échecs probables. Et qu’à l’inverse, un pronostic très mauvais, où il n’existe que 10% de chances de s’en sortir, signifie tout de même qu’un patient sur dix s’en sortira. »

Volonté et humilité

Lorsque des jeunes patients disparaissent, on entend souvent dire qu’ils ont « perdu le combat ». Mais bien sûr, il ne s’agit jamais d’un échec personnel. Si ces enfants et adolescents se distinguent par la force psychologique qu’ils ont développée face à la maladie, cette force ne peut à elle seule faire pencher la balance. « Il y a sans doute un petit effet réel de la volonté du patient, mais qui, au final, joue probablement assez peu. En revanche, un bon état psychologique va permettre de bien suivre le traitement, ce qui a une influence directe sur l’évolution de la maladie. À l’inverse, un patient qui n’a pas un bon moral risque de ne pas être réceptif, mais aussi de moins bien réagir aux complications. En cela, on peut dire que le psychologique a une influence non négligeable sur l’état de santé », analyse le Pr Yves Beguin.

Enfin, si le patient est loin d’avoir toutes les cartes en main pour « gagner le combat », il en est de même pour le chercheur. « Une recherche ne se mène jamais de manière isolée. Elle se fait toujours en lien avec d’autres recherches que mènent l’industrie pharmaceutique et les universités partout dans le monde. Jamais le Télévie seul ni même les chercheurs belges seuls ne pourront permettre de venir à bout de la leucémie. » Cette humilité, une fois encore, n’est pas synonyme de renoncement : au contraire, elle implique de stimuler les coopérations à l’échelle internationale. Celles-ci sont rendues plus nécessaires encore par les progrès eux-mêmes de la science qui vont dans le sens d’une prise en charge toujours plus ciblée du cancer, notamment en fonction de ses caractéristiques génétiques. « Ce sont des recherches qui coûtent très cher ! Heureusement, aujourd’hui, il y a un réel effort coopératif qui assure que les progrès effectués dans tel laboratoire seront très rapidement communiqués aux autres labos, de manière à pouvoir permettre à tous de faire des progrès plus rapides», conclut le Pr Yves Beguin. Un gigantesque puzzle dans lequel chaque pièce compte.

Julie Luong

Des chercheurs belges identifient 5 sous-types de cancer du pancréas

En Belgique, 1.500 nouveaux cas de cancers du pancréas sont détectés chaque année. Seule l’ablation de la tumeur par la chirurgie offre une chance de guérison au patient mais 15% seulement des malades sont jugés opérables. Dans la plupart des cas, la tumeur est mal positionnée ou métastase trop rapidement vers d’autres organes. Le cancer du pancréas tue donc aujourd’hui la grande majorité des patients concernés.

Éclaircie dans ce sombre constat, des chercheurs belges et français sont parvenus, via l’analyse moléculaire de 309 échantillons de tumeur du pancréas, à différencier 5 sous-types de cancer. Le bénéfice de cette découverte est triple: « Cela permet d’abord de mieux comprendre les mécanismes sous-jacents, qui font qu’une personne développe un cancer du pancréas », explique le professeur Jean-Luc Van Laethem, chef de clinique d’oncologie digestive à Erasme et promoteur de projets Télévie. Les médecins pourront dès lors « mieux aborder le pronostic du patient et ainsi choisir des traitements plus appropriés. Aujourd’hui, l’immunothérapie fonctionne très bien pour certains cancers mais pas du tout pour celui du pancréas. Pourquoi ? », s’interroge le praticien. « Avec cette avancée, on peut espérer répondre à cette question. »

Enfin, cette nouvelle classification tient compte des deux parties qui composent la tumeur: les cellules tumorales et le micro-environnement tumoral, c’est-à-dire les différents tissus qui servent de support à la tumeur. Ces tissus peuvent en effet jouer un rôle important dans le développement de la maladie. « Suite à cette découverte, il conviendra rapidement d’établir un consensus international sur les sous-types de cancer du pancréas, comme cela a été le cas, il y a quelques années, pour le cancer du côlon. Et ce afin d’avancer sur une classification utilisable en routine et en recherche clinique », conclut le Pr Van Laethem.

 

Lien vers l’étude : https://www.gastrojournal.org/article/S0016-5085(18)34919-9/fulltext?referrer=https%3A%2F%2Fwww.ncbi.nlm.nih.gov%2F

 

Natacha Amal rejoint la pièce de théâtre du Télévie 2019

Natacha Amal intègrera la troupe du Télévie pour 17 représentations. Dans la pièce « Représailles » d’Eric Assous, elle partagera le rôle avec Sandrine Corman et jouera donc Rosalie, la mère de Mélissa (Anne Ruwet) et l’épouse trompée de Francis, interprété par Luc Gilson.

Sandrine ayant des interventions quotidiennes en radio, des projets en télévision et le Télévie dans son ensemble, il a été décidé d’alléger son planning pour la pièce. Le choix s’est très vite porté sur Natacha Amal vu sa grande fidélité au Télévie et sa brillante carrière en tant qu’actrice. On la retrouvera sur les planches aux côtés de nos animateurs à Rochefort, Gilly, Ath, Liège, Tubize et Neufchâteau.

« Natacha et RTL, c’est une histoire qui dure depuis très longtemps » déclare Géraldine Gautier, productrice de la pièce de théâtre du Télévie 2019. Natacha Amal est belge, et est en effet fidèle au Télévie depuis de nombreuses années. En 2005, elle rencontrait Thibault sur le plateau de la Grande Soirée. Depuis, se sont tissés des liens extraordinaires et le jeune garçon considère aujourd’hui l’actrice comme sa deuxième maman. Lors de la 30ème cérémonie de clôture du Télévie, Natacha Amal nous a fait le plaisir d’être présente une nouvelle fois.

 

Des chaussettes pour faire avancer la cause

Un pas de plus contre le cancer

Patricia Longree est bruxelloise. Le 21 avril dernier, elle suit en direct sur RTL TVI la Soirée de Clôture du 30ième Télévie. Comme des milliers des belges, elle fait un don. Quelques euros si précieux pour faire progresser la recherche contre le cancer. Mais Patricia se dit qu’elle pourrait en faire davantage ! « Ma sœur est partie d’une leucémie en 3 mois. Devant mon écran, je me suis dit que j’avais, moi aussi, envie de participer à cet élan. Plus on est, plus les choses bougent » raconte Patricia.

« Au départ, j’ai été sur le site du Télévie. Là je me suis rendue compte que c’était du domaine du possible, il existe des centaines d’activités…». Mais Patricia hésite, « je voulais faire autre chose qu’organiser une soirée spaghetti, je ne suis pas très douée pour cela… ». Elle consulte alors la liste des produits vendus au profit du Télévie et là l’idée surgit : « je me suis dit mais pourquoi pas les chaussettes ?! Elles peuvent faire avancer ! ».

Pendant 20 ans, Patricia a en effet travaillé dans le secteur de la chaussette. Elle en garde une expertise et des contacts. « Pour vous dire on m’appelle Madame Chaussette », s’amuse Patricia.

Une paire de qualité

Patricia contacte alors le directeur de « Fab Sox », un fournisseur de chaussettes. Il accepte immédiatement de lui offrir du stock. « Et là, tout a démarré ! » se réjouit Patrica.

« J’ai conçu l’affiche, imaginé les petites mannes pour présenter nos chaussettes et contacté des dizaines de distributeurs potentiels ». Finalement plus de 80 points de vente ont accepté de proposer ces chaussettes Télévie, principalement des pharmacies…. « Une amie elle-même touchée par le cancer m’a aidé pour la distribution ».

Ces chaussettes sont de création belge et fabriqués en Europe avec grand soin. La paire coute 8,50 euros, au profit du Télévie évidemment !

 

 

Voici la liste des endroits où vous pouvez les acheter :

  • 1000 Bruxelles

Pharmacie Anspach (Boulevard Anspach 109)

Pharmacie du midi (Avenue Fonsny 29)

  • 1020 Bruxelles

Pharmacie Kira (Avenue Houba de Strooper 32)

  • 1050 Bruxelles

Pharmacie Tenbosh (Rue Tenbosh 68)

Pharmacie Derache (Avenue Derache 273)

  • 1060 Bruxelles

Pharmacie Schoonjans (Rue de la victoire 169)

  • 1070 Bruxelles

Pharmacie Querton (Rue Claude Debussy 24)

Pharmacie Truyts Daluphar (Rue E. Delcourt 53)

Pharma Shopping Westland (Bd Sylvain Dupuis 539)

Pharmacie Boutelier (Route de Lennik 400)

Pharmacie Du Bon Air (Avenue d’itterbeek)

  • 1080 – 1083 Bruxelles

Pharmacie Goethals (Kasteeldreff 1)

  • 1090 Bruxelles

Pharmacie Boulanger (Rue J. Lahaye 127)

Pharmacie Zombeek (Rue Lepold 1er 316)

Pharmacie Frederic (Place Werrie 17a)

Pharmacie du Miroir (Rue Leon Theodore)

  • 1160 Bruxelles

Pharmacie du Souverain  (Boulevard du Souverain 264)

Pharmacie Pinoy (Avenue G Poels 22)

Auderghem Pharma (Chaussée de Wavre 585)

Pharmacie du rouge cloître (Chaussée de Wavre 1733)

Pharmacie Saint Julien  (Chaussée de Wavre 1303)

  • 1170 Bruxelles

Pharmacie des 3 tilleuls (Avenue Wiener 116)

Pharmaduo (Chaussée de la Hulpe 210)

Vertige (Place Wiener 10)

  • 1180 Bruxelles

Az Bouquains  (Chaussée d’Alsemberg 711)

Bopalux (Rue JB Vanpestraat 39)

Beauty Institut  (Chaussée de Waterloo 982)

Pharmacie Parc Brugman (Avenue Herincks 6)

Pharmacie Shubert  (Rue Vanderkindere 468)

Pharmacie Penels (Rue du domaine 157)

Bandagisterie CEBEAO (Rue Edith Cavell 143)

Maison Médicale (Rue de Stalle 171)

Maison Medicale (Rue Charles Bernaerts 8)

  • 1190 Bruxelles

Pharmacie Gaffa (Avenue Willemans Ceuppens 167)

Pharmacie de Forest National  (Avenue Victor Rousseau 161)

Pharmacie Swalens (Rue Rosendael 102)

Pharmacie Vanhees (Chaussée d’Alsemberg 318)

Pharmacie Van Elewijck (Rue Antoine Bréart)

Pharmacie Van Volxem (Avenue Van Volxem 13)

Pharmacie De ville (Chaussée de Neerstalle 13)

  • 1200 Bruxelles

Pharmacie du Tomberg (229 Tomberg)

Pharmacie Vandervellen (Square Marie José 3)

  • 1300 Wavre 

Pharmacie de la Dyle (Rue Charles Jaumotte 4)

  • 1320 Hamme – Mille

Pharmacie Goes (Chaussée de Louvain 11)

  • 1325 Chaumont Gistoux

Pharmacie Anthoine (Chaussée de Huy 119)

  • 1330 Rixensart

Pharmacie Froidmont (Avenue Royale 33)

  • 1332 Genval 

Pharmacie Deruder (Rue de la station 2)

  • 1350 Orp-Le-Grand

Librairie l’as-tu lu ? (Place du 11 dragon Français)

  • 1380 Ohain 

Pharmacie D’Ohain (Rue Crollé 1)

  • 1400 Nivelles

Pharmacie Meurée (Rue saint Anne 8)

  • 1420 Braine L’Alleud

Fabiflor (Chaussée d’Ophain 12)

Pharmacie de l’alliance (Rue Victor Allard 134)

Librairie Bonaventure (Chaussée d’Ophain  14)

  • 1470 Bousval – Genappe

Pharmacie de Bousval (Place communale 1)

Pharmacie Delvigne (Rue de Bruxelles 47)

  • 4287 Lincent 

Pharmacie de Lincent  (Rue du grand Hallet 24)

 

 

Enfilez un pull de Noël et soutenez le Télévie ! #JPDN18

Cette tradition nous vient des pays anglo-saxons. Lors des dîners de Noël familiaux, on s’offrait des pulls à motifs, tricotés à la main. Tout à fait « premier degré » au départ, cette coutume a traversé l’océan et s’est petit à petit installée chez nous, de façon un peu plus ironique ! Le pull de Noël s’affiche principalement parce qu’il est kitsch et que cela nous fait sourire…

Aujourd’hui, il existe même une journée officielle du pull de Noël et cela fait 3 ans que le Télévie y participe ! Cette année, cette journée aura lieu le vendredi 21 décembre 2018. Pour chaque photo postée ce jour-là, sur vos profils Facebook, Twitter ou Instagram (en mode public) avec un pull de Noël et le hashtag #JPDN18, la marque C&A s’engage à verser 1 euro au Télévie.

Vous pouvez y participer au bureau, à l’école, en famille ou entre amis. N’hésitez pas à inciter vos proches à rejoindre le mouvement. Votre pull peut être rouge, vert, avec un père Noël, des rennes, un pingouin ou un sapin,… Pourquoi pas avec des pompons, des lumières et des guirlandes,… Surtout lâchez-vous ! Le but est de s’amuser, tout en faisant une bonne action.

C’est le moment de fouiller dans vos armoires ou de se mettre au tricot 😉

Joyeux Pull de Noël !

Un site tout neuf !

Chaque jour, en moyenne, ce sont plus d’un millier d’internautes qui surfent sur le site du Télévie, 70.000 même, le jour de la grande soirée de clôture. Pour la plupart, vous êtes de généreux donateurs qui souhaitent se renseigner sur les différentes façons d’agir au profit de l’opération (faire un don, organiser ou participer à une activité, vendre ou acheter nos produits, faire un legs, devenir partenaire, parrainer un défi). D’autres cherchent des précisions sur les évènements à venir (la pièce de théâtre, le Grand défi, les enchères…). Certains veulent aussi lire nos articles sur les dernières découvertes ou actualités à propos du cancer.

Face à un tel engouement, le Télévie a tenu à rénover son site internet pour le rendre plus beau, plus ergonomique, plus intuitif et… le plus complet possible. Désormais, via un méga-menu organisant tout le contenu, vous pouvez facilement retrouver exactement ce que vous cherchez, selon qui « vous êtes », et mieux découvrir qui « nous sommes ».

Plusieurs galerie de photos ont aussi été intégrées et surtout plus de vidéos. Via l’onglet « revoir » vous pourrez consulter à l’envie toutes les séquences relatives au Télévie. Toujours soucieux d’échanger un maximum avec vous, un nouvel espace de « témoignages » vous est aussi dorénavant accessible.

Par ailleurs, des pages « le cancer » et « la recherche » ont été créés afin de vous informer le plus clairement possible sur ces thématiques.  Toutes sortes de documents (brochures, magazines, posters, kits enfants, logo) sont d’ailleurs à télécharger.

Enfin, une page « moments forts » est inaugurée afin de regrouper tous les évènements qui font battre le cœur du Télévie au moment où vous consulterez notre site…

 

Les produits Télévie 2018 – 2019 sont arrivés

Acheter ou vendre des produits Télévie, c’est aussi faire un don à la recherche contre le cancer ! La gamme 2018-2019 est variée et devrait contenter tout le monde.

Nos incontournables

  • Champion incontestable des ventes et symbole de la lutte contre la maladie, le Pin’s Télévie est évidemment présent dans nos rayons. Vous aussi, portez le fièrement !
  • Ecrivez vos lettres et cartes de fin d’années avec notre magnifique stylo 4 couleurs + 1 porte-mine.
  • Retournez en enfance en dégustant nos succulents bonbons. Une recette inchangée qui plait à toutes les générations.

Quelques nouveautés

  • Décorez vos clés de notre magnifique porte-clés pompon.
  • Un carnet bloc-notes vous permettra de ne rater aucun rendez-vous.
  • Cultivez de délicates graines de lin bleu, symbole de résistance et de force avec notre pot de graines.
  • Divertissez et en même temps sensibilisez vos enfants grâce à nos pochettes autocollantes sur le thème du Télévie.
  • Enfin, emportez le tout dans notre sac XL

Moment nostalgie

  • Voyez le verre à moitié plein grâce à nos mugs tout doux.
  • Brulez la chandelle par les deux bouts avec nos bougies d’intérieur.
  • Ayez l’esprit pratique en vous munissant de notre trousse.

Découvrez-les, achetez-les ou vendez-les ! Grâce à vous, le compteur 2019 est enclenché…

Découvrez les ici : Les produits!

Grand succès pour la première de la pièce du Télévie !

Un dernier échauffement et c’est parti ! La troupe du Télévie 2016 monte sur les planches pour le bonheur des grands et des petits ! Au total, six patients aux tocs plus fous les uns que les autres se dévoilent au public :Bob qui veut que tout soit toujours symétrique, Vincent qui compte tout et n’importe quoi, ou encore Lily qui répète tout deux fois… il y en a pour tous les goûts !

Un seul imprévu qui s’est vitre transformé en franche rigolade : la poignée de fenêtre qui s’est retrouvée cassée dans les mains de Bérénice !

Au final, la salle comblée a récompensé les acteurs d’un tonnerre d’applaudissement… de quoi commencer cette tournée sur une note positive !

Hélène, guérie d’un ostéosarcome est maman !

Ostéosarcome ou tumeur osseuse.

« Vous avez un ostéosarcome », voici les mots presqu’incompréhensibles qu’Hélène a entendus à l’âge de 15 ans. Un ostéosarcome est une tumeur cancéreuse (maligne) qui prend forme dans les os. Les ostéosarcomes apparaissent souvent à la période de la croissance. En 2012, sur 128 nouveaux cas enregistrés, 35 étaient des jeunes de moins de 24 ans. Grâce au progrès de la recherche, des traitements efficaces existent. « Mon traitement était simple : chimiothérapie et opération où on enlève l’os pour le remplacer par une prothèse dont la taille dépend de l’ampleur de la tumeur. Dans mon cas, elle va du milieu du fémur, jusqu’au milieu du tibia gauche », explique Hélène.

Être maman après un cancer

Après 18 ans, Hélène commence à se poser des questions sur ses chances d’être maman après un cancer : «  J’ai eu des non, peu de chances, ou oui peut être mais avec beaucoup de fausses couches,… jusqu’au jour où je suis tombée sur un gynécologue qui m’a dit qu’il ne savait pas répondre à ma question pour la simple et bonne raison qu’il n’y avait pas d’étude sur mon cas de maladie. Il m’a dit qu’on allait laisser faire la nature comme tout le monde et que si après un an, il ne se passait rien, on irait plus loin. Après douze mois d’essais… je suis tombée enceinte ».

Aujourd’hui, maman de deux enfants

Hélène vient d’accoucher de son deuxième enfant et tout le monde se porte bien ! « Je sais que dans mon cas, j’ai eu beaucoup de chance, que tout le monde ne peut malheureusement pas avoir la chance de donner la vie après un cancer. Mais je crois en la recherche (la preuve avec mes 15 années de Télévie) et au fait que l’on trouvera le moyen de préserver la fertilité des personnes atteintes d’un cancer », ajoute Hélène.

Félicitation aux jeunes parents pour la naissance de Jade !

Pour soutenir le Télévie aux côté d’Hélène : www.lapromessedhelene.be ou trouvez dans l’agenda Télévie une activité qui se déroule près de chez vous!

Faisons gagner la vie

Vos plus petits dons financent les grandes idées de nos chercheurs

Soutenez le Télévie

les grandes idées de nos chercheurs

Vos plus petits dons financent

Menu