Trek’in Gazelles : un projet Télévie 100% féminin

Le concept

Le Trek’in Gazelles se déroule sur 6 jours avec 4 étapes à parcourir. Contrairement à un trek classique, les équipes, composées de 3 personnes, déterminent elles-mêmes leur parcours. Chaque jour, elles devront rallier différentes balises en parcourant la plus courte distance possible. Tous les matins, les participantes recevront un roadbook pour découvrir leurs balises du jour. En fonction de cela, il leur faudra analyser la carte, appréhender les difficultés du terrain et choisir le parcours le plus court possible.

L’objectif ? Pointer un maximum de balises en faisant un minimum de kilomètres. À la fin, le classement est établi en additionnant ces kilomètres parcourus et les éventuelles pénalités de chaque team.

Anne Laurent, membre du trio des Mamz’elles explique : « En 2019, nous sommes parties en duo sur un raid en Laponie. Nous y avons rencontré une journaliste, qui est notre amie aujourd’hui, qui était ambassadrice du Trek’in Gazelles. C’est elle qui nous a proposé de refaire ce trek. Nous avions envie de repartir vers une dimension aussi bien sportive que caritative,  avec l’organisation bienfaisante. »

L’équipe

La Team Mam’zelles est composée de 3 mamans : Anne, gynécologue obstétricienne; Michèle, spécialiste dans la protection de la jeunesse; et Valérie, dernière arrivée du trio, logopède.

Toutes trois souhaitaient prendre part à un évènement regroupant des équipes entièrement féminines, composées de femmes engagées, déterminées et partageant les mêmes valeurs.

« Nous suivons un programme hebdomadaire assez strict pour nous préparer. Une personne nous coache avec des exercices appropriés. C’est un évènement qu’il faut absolument préparer en amont », rajoute Anne Laurent.

La cause soutenue

Les trekkeuses marcheront pour une cause qui leur est chère : le TELEVIE.

« Le Télévie est une cause qui nous parle à toutes les trois. Je suis gynécologue, j’ai donc travaillé au niveau scientifique. De plus, je connais de nombreuses personnes qui travaillent au FNRS. Mes deux collègues, Michèle et Valérie, évoluent elles aussi dans le domaine. Nous avons été énormément touchées par tout ce qu’il s’est passé Post-COVID, par rapport à l’état, au mal-être des autres. Au niveau des cancers, de nombreuses personnes ont notamment été détectées trop tard. Ce projet centralise toutes nos attentes et aspirations, ainsi que notre rôle de mamans », précise A. Laurent.  

Elles espèrent sensibiliser un maximum de personnes sur les réseaux sociaux afin de récolter des fonds qui seront versés au FNRS et qui feront ainsi avancer la recherche scientifique.

Comment soutenir le projet ?

Vous pouvez suivre l’aventure des Mamz’elles sur :

 Pour faire un don :

https://parrainage.televie.be/projects/team-mam-zelles-trek-in-des-gazelles

Le Séminaire Télévie : une journée très attendue par les chercheurs

Un moment d’échange et de partage

Le Séminaire Télévie représente une occasion inestimable pour les chercheurs qui y ont la possibilité de faire part de leurs dernières avancées dans la lutte contre le cancer. Ils prennent connaissance du travail réalisé par leurs confrères. C’est également, une opportunité pour eux d’établir certaines collaborations pouvant s’avérer utiles dans l’avancée de leur projet.

Une expérience bénéfique pour les jeunes scientifiques

Cette année, des workshops répartis sur base de 3 thématiques différentes leur ont été consacrés. En effet, certains d’entre eux ont eu l’opportunité de présenter leurs projets de recherche aux autres scientifiques durant ces ateliers, de quoi apporter une expérience gratifiante pour ces jeunes scientifiques.

« Cela nous permet d’amener de nouvelles idées auxquelles nous n’aurions peut-être pas pensé. De plus, cela nous permet de connaître les sujets des autres chercheurs et de comprendre sur quoi ils travaillent. On se crée un réseau en discutant avec d’autres scientifiques, j’ai découvert que certains travaillent sur les mêmes molécules que moi » explique Charlotte Pilard, doctorante en 4e année ayant eu la chance de faire part de son projet de recherche sur l’immunothérapie dans le cancer du sein triple négatif.

Une recherche fondamentale indispensable

Les chercheurs financés par le Télévie travaillent sur des recherches dites fondamentales, mais également translationnelles, qui s’avèrent primordiales pour mieux comprendre le cancer et son fonctionnement. « La recherche fondamentale, c’est la compréhension du cancer qui permet de transposer par la suite vers les applications utilisées pour le cancer. Cette phase de compréhension est essentielle afin d’apporter de nouveaux diagnostics et des traitements innovants » estime François Fuks,professeur à l’ULB et promoteur Télévie. Cette année, 3 thématiques principales ont été abordées : la génomique et les biomarqueurs, le microenvironnement de la tumeur et le métabolisme, de quoi constituer des pistes prometteuses dans la lutte contre le cancer.

Une persévérance à toute épreuve pour la bonne cause

À travers ce séminaire et par les différentes avancées exposées, on a pu voir que les chercheurs travaillent toujours aussi dur malgré la crise sanitaire. «Le Télévie, c’est 40 % du financement de la recherche contre le cancer en communauté française de Belgique. C’est pourquoi la générosité des gens est absolument indispensable pour poursuivre au mieux nos recherches sur le cancer. » explique François Fuks.

C’est grâce aux chercheurs que de nouvelles découvertes peuvent voir le jour, alors n’hésitez pas à les soutenir en faisant un don au profit du Télévie pour faire avancer la recherche et combattre ensemble la maladie

Les legs en faveur d’une bonne cause

Pourquoi faire un testament ?

L’établissement d’un testament permet de choisir la manière dont ses biens seront répartis entre ses proches après son décès et de déroger à certaines dévolutions légales. Il permet également d’optimiser fiscalement ce qui reviendra aux héritiers.

Comment rédiger son testament ?

Il existe deux façons principales de faire un testament :

– le testament notarié : il se fait via un notaire et coûte une centaine d’euros. Ce type de testament est toujours plus conseillé, il constitue une plus-value, car les testamentaires peuvent bénéficier d’un accompagnement professionnel.

– le testament olographe : il s’agit de rédiger soi-même son testament sans faire appel à un notaire. Le document est valable à partir du moment où il est signé et daté. Les seuls frais à payer sont les coûts de dépôt au registre central des testaments, qui constitue une étape primordiale afin qu’il soit bien conservé.

Comment inclure une bonne cause dans son testament ?

La désignation de l’entreprise doit s’y retrouver, de manière claire, non discutable et non contestable. Le meilleur outil est d’utiliser le numéro d’entreprise de la bonne cause qui peut être trouvé sur son site ou sur la Banque-Carrefour des Entreprises.


Pour plus d’informations, n’hésitez pas à prendre contact avec un des membres de testament.be. La plateforme a à sa disposition 2 experts juridiques qui pourront vous fournir un accompagnement personnalisé et vous aider dans vos démarches.

Qu’est-ce qu’un legs ?

Un legs est le fait de transmettre via un testament ses avoirs mobiliers et/ou immobiliers à un bénéficiaire. Toute personne, peu importe son âge, peut faire un legs tant qu’elle est majeure, saine d’esprit et capable juridiquement parlant. Si besoin est, il peut même être revu et modifié à tout moment.

Il existe 3 types de legs :

– le legs universel : on lègue tous ses avoirs à une ou plusieurs personnes ;

– le legs à titre universel : on lègue une partie de ses avoirs à une ou plusieurs personnes ;

– le legs particulier : on lègue un avoir bien précis tel qu’une voiture, un meuble, etc.


Y a-t-il une différence entre un legs et une donation ?

Oui, contrairement à un legs, une donation se transmet de son vivant via un acte. Celle-ci ne peut être revue, nous ne pouvons pas revenir en arrière après avoir entamé une telle démarche. Quand l’acte de donation est établi, le bien appartient au bénéficiaire. A ne pas confondre avec le don qui est le fait de remettre directement au bénéficiaire un bien sans passer par certaines formalités.

Qu’est-ce que le legs en duo ?

Le legs en duo consiste à léguer une partie de sa succession à un de ses proches et une autre à une bonne cause. Ce premier ne devra payer aucun droit de succession, tout est pris en charge par l’association choisie. Cette technique est très intéressante fiscalement, particulièrement pour les personnes qui n’ont pas d’héritiers en ligne directe et qui souhaitent tout de même léguer une partie de leur succession à des parents plus éloignés ou à des amis.

Plus d’informations ICI


Le cancer colorectal : mieux le dépister pour mieux le vaincre

Le cancer colorectal se développe sur la muqueuse interne de notre intestin et/ou de notre rectum, sous forme de polypes d’abord bénins (adénomes) qui se transforment ensuite très lentement (souvent au bout d’une dizaine d’années) en cancers. Dans la plupart des cas, c’est la partie terminale du côlon qui est touchée, d’où le nom colorectal On dénombre peu de symptômes particuliers aux premiers stades de la maladie, d’où l’importance d’un dépistage : on fera néanmoins attention à d’éventuelles traces de sang dans les selles, à un changement persistant de leur rythme, à un amaigrissement inexpliqué ou encore à des maux de ventre persistants. 

Les progrès de la recherche

Ce type de cancer est-il causé par notre alimentation (trop de viandes rouges, trop de graisses animales, pas assez de fibres) ? Pour le Professeur Marc Van den Eynde, chef de clinique associé aux Cliniques universitaires Saint-Luc, à Woluwé, et dont les travaux de recherche sont soutenus par le Télévie  « ce n’est pas prouvé ! On parlera plutôt dans ce cas de facteur associé au cancer colorectal. Ce n’est pas comme pour le tabac et le cancer du poumon, où le facteur risque est clairement établi.

Les deux vrais éléments à tenir en compte sont l’âge (plus de 50 ans) et l’hérédité. Dans 25 % des cas, ce cancer trouve ses origines dans notre historique familial. Si l’un de vos proches (parents, frère ou soeur) a souffert de polypes ou d’un cancer colorectal et que vous n’avez pas 50 ans, vous avez tout intérêt à vous faire dépister dès l’âge de 40 ans ». 

L’analyse des gènes des tumeurs colorectales permet de prédire leur évolution ou leur réponse à certains traitements. Les progrès de la recherche ont ainsi permis ces dernières années de mieux stratifier les cancers colorectaux. « Quatre ou cinq sous-groupes de ces adénocarcinomes du côlon ont pu être établis, grâce à l’analyse génétique des tumeurs. Cela permet de mieux personnaliser chaque traitement (chimiothérapie, immunothérapie, thérapie ciblée) en fonction du type de cancer colorectal dont souffre le patient, explique encore le Professeur Marc Van den Eynde. Il y a dix ou quinze ans, on soignait encore tous les cancers colorectaux de la même manière ! L’immunothérapie peut s’appliquer contre un marqueur tumoral connu HER2 (stimulateur de la croissance tumorale)  ou inconnu (On libère les freins des cellules immunitaires et on facilite leur entrée dans le milieu tumoral).

Les promesses de la recherche sont énormes !

En revanche, l’arsenal thérapeutique chimiothérapique a peu évolué par rapport à il y a 15 ans. Les médicaments restent les mêmes dans 90 % des cas. Mais on adapte mieux ces molécules aux sous-groupes définis plus récemment. Donc, les résultats sont quand-même meilleurs ». 

Un impact visible

Grâce aux progrès de la médecine, le nombre de cancers du côlon diminue d’année en année ! De 9715 cas en Belgique en 2014, on est passé à 7860 en 2018. 55% des cas sont constatés chez les hommes. « Tous stades confondus, les chances de survie relative à 5 ans sont aujourd’hui de 72 %, mais de 20% seulement au stade IV, d’où l’importance d’une détection précoce », précise Julie Francart, directrice au Registre du Cancer. « Si par contre, explique Marc Van den Eynde, le cancer est détecté à un  stade précoce, les chances de guérison à 5 ans sont de 90 % ». D’où l’importance du dépistage.

Or, on est encore loin du taux de dépistage souhaité au sein des 50-74 ans. Le test n’est pratiqué que par 11% de la population bruxelloise, et 18 % de la population wallonne, contre plus de 50 % en Flandre. Ce pourcentage devrait idéalement avoisiner les 60 % !

Comment procéder ?

Si vous avez entre 50 et 74 ans, vous êtes censé(e) avoir reçu au moins une fois chez vous un courrier vous invitant à vous procurer un kit de dépistage. Votre médecin généraliste vous le fournira gratuitement lors d’une consultation.

Ce test consiste à prélever vos selles et à les envoyer par la poste dans un laboratoire qui les analysera. Très fiable, ce test immunologique permet de détecter des traces de sang dans vos selles. Dans 97 % des cas, il s’avère négatif. Dans le cas contraire, une colonoscopie est alors pratiquée. Elle permet de trouver d’éventuelles lésions ou polypes qu’il vaut mieux ôter. Si un cancer est diagnostiqué, sa prise en charge sera ainsi plus rapide, et ses chances de guérison accrues. Ce test de dépistage doit être répété tous les deux ans, étant donné la lente évolution du cancer du côlon.

Comment réduire le risque de ce type de cancer ?

Une seule consigne pour le Professeur Marc Van den Eynde : « faites le dépistage tous les deux ans ! C’est le meilleur moyen de réduire le risque. Et ce même si vous ne ressentez rien. Le cancer du côlon est un tueur silencieux. Si vous avez des symptômes, c’est déjà tard ! ».

Et si vous voulez mettre tous les atouts de votre côté, précise le Docteur Anne Boucquiau, directrice médicale de la Fondation contre le Cancer, veillez à adopter une alimentation saine :  augmentez votre consommation de fibres (légumes verts, légumes secs, céréales peu transformées), consommez davantage de laitages.

Evitez le plus possible l’alcool et le tabac. L’association des deux multiplie par 8,6 le risque de cancer colorectal ! Limitez au maximum votre excédent de poids. Enfin, augmentez votre activité physique : c’est prouvé : elle diminue de 18 à 29 % les risques de cancer du côlon.  

Achetez votre maillot « Cyclos du cœur »

Depuis 13 ans déjà, les cyclistes se mobilisent avec passion pour venir en aide au Télévie. Cette année encore, ils sont toujours présents et plus que jamais déterminés à apporter leur soutien, malgré la situation actuelle, ils ne lâchent rien et ne cessent de se réinventer.

En 2019, Jean-Michel Zecca et 256 cyclistes s’étaient engagés dans l’ascension du Mont Ventoux avec pour objectif de récolter des fonds pour le FNRS. Ce fut vraiment un moment fort pour les cyclos où bon nombre de personnes étaient venues y participer, avec pour la plupart des histoires très touchantes. « Pour certains, cette ascension du Ventoux était vraiment une espèce de pèlerinage durant lequel ils ont pu sortir leurs émotions, il y a eu pas mal de larmes au sommet du Ventoux et cela a été très émouvant. » nous raconte Marc Duthoo, Responsable des partenariats chez RTL Belgium.

D’ailleurs, cet évènement marquant a donné naissance aux Cyclos du Cœur ,«L’idée était de réunir en une communauté unique tous les cyclistes qui se mobilisaient pour une seule et même cause, le Télévie » poursuit Marc.

Cette année encore, ils prouvent leur engagement et investissement sans faille en trouvant des alternatives pour soutenir le Télévie malgré l’interdiction de tous grands rassemblements. Il ne leur a malheureusement pas été possible d’organiser la montée du Galibier qu’ils ont d’ailleurs décidé de reporter à l’année prochaine. Pour les intéressé(e)s, elle aura lieu du 17 au 20 juin 2022 au Club Med de Serre-Chevalier. Notez bien la date dans votre agenda, cet évènement est à ne pas manquer! D’autres initiatives ont été lancées dans le même esprit cyclo, parmi celles-ci, ils ont notamment décidé de mettre en vente 500 maillots exclusifs aux couleurs des Cyclos du Cœur.

En le portant, vous montrerez fièrement que vous faites partie de cette extraordinaire communauté composée actuellement de près de 1000 membres. Bon à savoir, la communauté des Cyclos est informée en priorité des activités organisées via la newsletter des Cyclos du Cœur (ou la page Facebook des Cyclos du Cœur) et bénéficie de certaines réductions sur les différentes organisations des Cyclos du Cœur.

Le prix : 60€

Clôture des commandes, le 19 avril !

Vous êtes intéressé(e) ? Cliquez ICI pour le commander en ligne.

Ce qui fait avant tout la force de ce mouvement, ce sont tous les cyclos qui décident d’y participer. N’hésitez donc pas à rejoindre cette belle communauté de personnes passionnées et engagées au service du Télévie. N’hésitez pas non plus à rejoindre le groupe Facebook des cyclos du Cœur.

Vous souhaitez rouler aux couleurs complètes du Télévie ? Pas de soucis, grâce à BIORACER, notre partenaire, toute une gamme d’accessoires (cuissard, maillot manches longues, casquette, gants, manchons, collant long, etc…. ) sera également bientôt disponible et en plus, la bonne nouvelle…,  BIORACER s’engage à verser 10% du prix de vente au Télévie.. Le lien et plus d’infos un peu plus tard !

25 ans d’écart

Alice a 30 ans. Elle est influenceuse. Sur Instagram, une communauté de 2.300 followers, patients ou non, suivent les péripéties de cette « Cancer survivor ». C’est dire si la maladie fait partie intégrante de son identité.
« Pour surmonter cette épreuve, à 28 ans, j’ai eu besoin de créer du lien », explique Alice, « de parler avec des personnes qui vivaient la même chose que moi et de véhiculer une image positive de la “fille qui a un cancer”. J’ai parlé de toutes les étapes de la vie avec ”Crabby“, même des aspects compliqués à gérer : l’aplasie, les allers-retours aux urgences, etc. ». C’est là une des principales différences avec Sarah, 45 ans. Son cancer, quand elle avait 19 ans, elle voulait absolument « qu’il ne se voie pas ». « Je me maquillais pour cacher mon teint pâle : il était fondamental pour moi de camoufler la maladie afin qu’on ne me prenne pas en pitié. »

Concrètement, là où l’une tient farouchement à contrer la perte de ses cheveux (« je portais un casque de glace pendant chaque séance de chimiothérapie, c’était affreusement douloureux mais la seule façon, me disait-on, de garder ce qui restait de ma féminité », détaille Sarah), l’autre devance les effets secondaires, se rase la tête et exhibe fièrement son crâne chauve. « Je préférais assumer complètement le fait d’être malade, je ne voulais pas faire semblant que tout allait bien », raconte Alice.


Soigner la maladie, pas la personne
C’est une question d’époque : Sarah n’avait pas Internet pour s’informer, pas de réseaux sociaux pour échanger, pas de conseillère en image pour la coacher, pas de psy pour la soutenir, pas de thérapies alternatives pour la renforcer. « Il s’agissait alors de soigner la maladie, pas la personne », résume-t-elle. « Aucune attention n’était encore portée au bien-être du patient. On se retrouvait donc seul avec ce diagnostic qui sonnait comme une sentence de mort. Car pour moi, un cancer, c’était la fin, et le médecin ne me contredisait pas. Il m’a annoncé le protocole, sans vraiment l’expliquer. Quand il m’a parlé de chimiothérapie, je me suis imaginée enfermée dans une grande machine. Je ne savais pas du tout qu’il s’agissait d’un traitement administré par voie intraveineuse. Mais ce qui m’a véritablement brisée, c’est l’annonce que la chimio allait me rendre stérile. Un ”effet secondaire“ inévitable… », confie Sarah, qui, cinq ans plus tard, a pourtant donné naissance à sa première petite fille. « Comme quoi, il ne faut jamais perdre espoir… »
Alice, elle, savait presque tout avant de commencer son parcours de soins. Elle avait fouillé le net et pris des avis partout. Elle n’avait pas peur. « J’ai pu poser toutes les questions au médecin, qui m’a d’emblée annoncé un taux de guérison de 95%. Il m’a expliqué chaque étape du protocole. J’ai également eu le choix entre deux traitements, dont un qui préservait ma fertilité, avec la possibilité de faire prélever mes ovocytes. » Alice a pu parler, être entendue et trouver du renfort près de l’homéopathie, la méditation et le reiki.


Briser le tabou
Les options thérapeutiques ont donc évolué et, parallèlement, le regard posé sur la maladie s’est transformé au cours des deux dernières décennies. Le Télévie n’y est pas pour rien, assurent les deux anciennes patientes. « Des opérations comme celles-ci ont le mérite de briser le tabou du cancer, d’aider les gens à assumer et donc à vivre plus facilement ces périodes douloureuses », analyse Sarah.
« À mon époque, on n’en parlait même pas à la maison, ni avec mes parents, ni avec mes frères ». Le cancer était alors aussi effrayant que mal connu. « Un jour, en classe, j’ai demandé à une autre étudiante si je pouvais boire dans sa cannette », se souvient Sarah. « Elle a refusé, craignant que mon cancer soit contagieux. »
Aujourd’hui, le public, les patients et leurs proches sont mieux informés et mieux encadrés. « La diffusion d’images a permis que le physique des malades soit accepté. Un crâne chauve ne choque plus », relève Sarah.
Mais il faut continuer à briser les mythes et les tabous. Au-delà de leurs différences, Alice et Sarah se découvrent ici un point commun : elles se sentent investies d’une mission d’entraide et de communication. « Ça ne nous est pas tombé dessus par hasard »,affirment-elles ensemble, « à nous de diffuser une belle énergie et d’encourager les personnes qui débutent leur traitement ». Mission accomplie avec la vidéo de leur témoignage : allez la voir sur les réseaux sociaux et le site du Télévie.
Céline Rase

Se réinventer pour le Télévie

Depuis maintenant bientôt un an, nos bénévoles ne cessent de nous impressionner en usant de leur imagination pour organiser des activités en toute sécurité. Vous avez envie de nous aider à votre tour, mais peut-être ne savez-vous pas par quoi commencer ? Alors, vous êtes au bon endroit, nous serions ravis de vous donner un petit coup de pouce.


Nos conseils pour une activité réussie

  • N’ayez pas peur de vous lancer. Vous participerez à la lutte contre le cancer tout en sortant de votre zone de confort, que demandez de plus ? Alors, n’hésitez pas et foncez.
  • Partagez votre activité via les réseaux sociaux, c’est un excellent moyen de la faire connaître et de réunir un maximum de personnes.
  • Appliquez les gestes barrières et n’hésitez pas non plus à apporter du gel hydroalcoolique, de manière à assurer la sécurité de tous.
  • Portez le masque pour vous protéger et protéger les autres.
  • Privilégiez le Bancontact ou le paiement en ligne.
  • En organisant une activité, le Télévie pourra vous soutenir en partageant votre activité via sa page Facebook officielle quelques jours avant l’évènement.

Si vous avez des questions pour l’organisation de votre activité, posez-les-nous ICI. Nous serions ravis d’y répondre.

Parce que c’est en restant solidaire et uni que nous ferons avancer la recherche. Faisons gagner la vie !

Nous vous remercions déjà pour votre aide et votre soutien  si précieux.

La transe : nouvel outil thérapeutique ?

Les chercheuses issues du CHU de Liège et du Giga-Consciousness ont lancé une étude clinique qui a pour but d’étudier une nouvelle méthode : la transe cognitive. Cette idée de s’interroger sur les effets que pouvait avoir l’apprentissage de cette transe chez les patients en oncologie est née en 2017, suite à la rencontre entre Audrey Vanhaudenhuyse et Corine Sombrun, ethnomusicologue.

« Lors de mes études de psychologie, je me suis très tôt intéressée aux sciences cognitives. J’ai rencontré Corine Sombrun, une Française formée en Mongolie aux pratiques de la transe chamanique et je me suis intéressée à la transe cognitive qui, comme l’hypnose, est un état de conscience modifiée », explique Audrey Vanhaudenhuyse. Olivia Gosseries a quant à elle étudié la neuropsychologie. C’est après un séjour dans un centre de neuro-réadaptation à Montréal qu’elle s’est intéressée au coma et a par la suite rejoint le Coma Science Group.

 « Au départ, on parlait de transe chamanique, mais Corine Sombrun s’est vite rendu compte que l’accès à la transe était un potentiel cognitif et qu’une majorité d’entre nous avait la capacité d’y accéder. Elle a donc préféré changer de nom et parler de ‘transe cognitive’. Ce terme est débattu parce que la transe est basée sur le mouvement, les sons et l’expression corporelle », ajoute OliviaGosseries.

Le projet

Au début de l’année, l’équipe, épaulée également de Charlotte Grégoire, psychologue clinicienne, a donc débuté une étude pour comparer les effets que pouvait avoir l’apprentissage de la transe sur les douleurs, l’anxiété, la fatigue, le sommeil et la dépression à ceux induits par la pratique de l’autohypnose chez des patients ayant eu un cancer.

« L’hypnose donne de très bons résultats chez ces patients et permet d’améliorer la gestion émotionnelle en diminuant l’anxiété et la dépression, elle améliore les troubles du sommeil, diminue la douleur et permet de lutter contre les problèmes de mémoire et de concentration », explique Audrey Vanhaudenhuyse.

« L’objectif est de voir si la transe cognitive peut produire des effets similaires. On va mesurer le vécu subjectif mais aussi l’activité cérébrale », ajoute Olivia Gosseries.

Déroulement de l’étude

L’équipe recherche 120 volontaires ayant eu un cancer, qui ont terminé leurs différents traitements depuis moins d’un an et qui ne souffrent pas de comorbidités psychiatriques importantes.

Dans un premier temps, les participants seront formés à la transe ou à l’hypnose. Les workshops se font durant deux jours, en deux fois, à deux semaines d’intervalle.

 « Corine Sombrun a créé avec l’aide d’un chercheur des boucles de sons sous forme d’objets numériques élaborés pour induire une transe. Elle a mis au point un protocole pour apprendre aux gens à auto-induire une transe : couché, on écoute ces boucles de sons et on se laisse aller. Le but est que chacun puisse le faire chez soi », souligne Olivia Gosseries.

En ce qui concerne l’évaluation des sujets, les données récoltées concernent trois axes : les symptômes liés au cancer et à la qualité de vie, les variables phénoménologiques (vécu du sujet lorsqu’il est sous hypnose/en transe), et neurophysiologiques (fonctionnement du cerveau dans ces états-là).

Cette technique, non médicamenteuse, n’a encore jamais été étudiée de manière clinique. Les recherches ne sont qu’à leurs débuts, et les chercheuses envisagent des projets supplémentaires sur les douleurs aiguës et chroniques.

Le soutien de la Fondation contre le cancer et du Télévie est une preuve qu’il y a une curiosité, et aussi qu’il y a de la confiance dans nos équipes de chercheurs et dans la qualité de leur travail », termine AudreyVanhaudenhuyse.

Pour que la recherche contre le cancer avance, on a besoin de vous <3

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CANCER ET CORONAVIRUS : DES RECHERCHES ETROITEMENT LIEES

La technique de l’ARN messager, commune aux vaccins Moderna et Pfizer BioN Tech, existe depuis plusieurs décennies. Pour faire simple : en créant, puis en injectant un acide ribonucléique (ARN) synthétique adapté, on envoie un message génétique à notre corps. Ce message va le pousser à produire un type bien précis de protéines contre lesquelles, en réaction, notre organisme va stimuler la formation d’anticorps, devenant ainsi sa propre fabrique de vaccin.

Deux chercheurs turcs, Ugur Sahin et son épouse Ozlem Türeci, ont eu l’idée d’appliquer cette technique dans la recherche d’un vaccin contre le cancer, en créant en 2008, en Allemagne, leur propre start-up, BioN Tech. Ces recherches sont toujours en cours aujourd’hui.

Transparence chinoise

En janvier 2020, quelques semaines seulement après l’apparition de la pandémie de SARS-Cov 2, les autorités scientifiques chinoises publient dans le monde entier le séquençage du virus apparu à Wuhan. Ugur Sahin a alors l’idée de se servir de l’ARN de ce virus pour créer un vaccin contre la Covid-19. Il s’associe très vite avec l’Américain Pfizer, et à coups de milliards de dollars et d’essais cliniques de grande envergure, le vaccin à ARN messager peut être mis au point en un temps record.

C’est donc grâce aux progrès dans la connaissance de l’utilisation de l’ARN messager, étudié au départ dans la recherche contre le cancer, qu’on a pu aller aussi vite. Pour Jacques Boniver, membre de la commission scientifique du Télévie, « si la pandémie de coronavirus était apparue dix ans plus tôt, on aurait pris au moins 5 ans pour mettre au point un vaccin ».

A quand un vaccin contre le cancer ?

Mais où en est-on dans la recherche d’un vaccin contre le cancer ? Pour le Professeur Boniver, « il faudra encore attendre 2 à 5 ans, mais la technique de l’ARN messager donne un formidable espoir d’un vaccin thérapeutique adapté à chaque type de cancer». A commencer par le mélanome, le cancer du sein et le cancer du poumon, qui sont parmi les premiers ciblés lors des essais cliniques. L’avantage de cette technique est énorme. Comme le souligne Ugur Sahin, « grâce à l’ARN messager, l’organisme sera en mesure de détruire directement les cellules cancéreuses, contrairement à la chimiothérapie, qui s’attaque aussi aux cellules saines ». Une véritable révolution ! 

Premiers tests encourageants

Chez BioN Tech, plusieurs tests ont déjà eu lieu. La publication de leurs résultats donne des signes encourageants, mais ils sont encore trop peu significatifs. Pour Jacques Boniver, «une chose est sûre : les essais cliniques lancés à grande échelle pour le SARS-COV 2 et les premières vaccinations le prouvent : la technique de l’ARN messager est bien tolérée par l’organisme ». C’est déjà une bonne nouvelle. Les résultats obtenus contre le coronavirus devraient donc permettre à plus long terme de progresser aussi dans la recherche contre le cancer, même si celui-ci reste beaucoup plus complexe qu’un simple virus. « Pour vous donner une comparaison, conclut Jacques Boniver, le virus, c’est une méchante bête qui essaie de pénétrer dans votre corps. Le cancer, c’est tout un troupeau ». La prudence reste donc de mise.


Dominique Henrotte

Faisons battre nos cœurs contre le cancer

En Belgique, rien que cette année, plus de 68 000 personnes apprendront qu’elles souffrent d’un cancer. Ce sont donc 186 personnes qui voient leur vie basculer chaque jour. 

La pandémie actuelle nous confronte de plus en plus à la solitude et à l’isolement. Or, nous avons tous et, plus que jamais, besoin d’être entourés et certainement ceux qui se battent contre le cancer, soutenus dans leur lutte contre la maladie

Le Télévie lance une façon originale de créer du lien entre nous tout en restant chez soi : envoyez un message à une personne qui vous tient à cœur.

Chaque message créera une pulsation cardiaque qui, associée aux autres, formera le plus long rythme de battements de cœur pour résonner dans l’esprit des personnes qui vous sont chères ou auxquelles vous tenez.

Comment ça marche ?

  •  Connectez-vous sur notre mur de soutien
  •  Envoyez un message réconfortant  à un proche, un ami, un collègue, une connaissance, une personne touchée par le cancer ou un message de soutien à une personne investie dans la lutte contre le cancer,.. en un mot, envoyez un message à une personne qui vous tient tout simplement à cœur. Qu’ils soient longs, courts, simples ou originaux, tous les messages sont les bienvenus !
  • Partagez l’action sur vos réseaux sociaux.

Une manière différente de montrer que tous nos cœurs battent ensemble contre le cancer.

Faites battre le cœur du Télévie pour la recherche contre le cancer.

LE CANCER, C’EST HEREDITAIRE, DOCTEUR?

Comme l’explique Daphné t’Kint de Roodenbeke, chef de la clinique d’oncogénétique de l’Institut Jules Bordet, « On n‘hérite pas d’un cancer, on hérite d’un risque augmenté de développer un cancer ». La grande majorité des cancers ne sont heureusement pas liés à l’hérédité. Seuls 5 à 10 % de certains types de cancer font partie de cette catégorie.

Quels types ?

Les cancers les plus à risque en termes d’hérédité sont les suivants :

  •  Le cancer du sein et/ou des ovaires : 5 à 10 % de ces cancers sont dus à l’hérédité familiale. Lorsqu’une personne est porteuse d’une mutation génétique en ce sens, son risque de développer un cancer du sein avant 70 ans est de 40 à 85 %, alors qu’il n’est que de 10 % dans l’ensemble de la population. En outre, ces cancers se déclarent plus tôt (43 ans en moyenne pour le sein, 55 ans pour les ovaires, contre 63 et 65 ans pour les personnes non affectées par l’hérédité).
  • Le cancer colorectal, est dû à l’hérédité dans 3% des cas. Le risque de développer ce type de cancer avant 70 ans est ici estimé entre 40 et 70 %, en cas de prédisposition génétique.
  • Le cancer de la prostate : 10 % de ces cancers, principalement lorsqu’ils sont diagnostiqués au stade métastatique, surviennent à cause de l’hérédité.
  • Le mélanome : une prédisposition familiale est impliquée ici aussi dans 10% des cas déclarés.
  • D’autres anomalies génétiques peuvent expliquer certains autres cancers, comme le rétinoblastome (cancer de la rétine chez l’enfant), ou encore les cancers du rein (tumeur de Wilms), et du pancréas.

Gènes altérés

C’est l’altération de certains gènes (de l’ADN) au sein de nos cellules qui favorise le développement des cancers. Ce sont souvent d’ailleurs souvent des gènes dont la fonction est de protéger l’ADN qui sont touchés. Dans certains cas, ces anomalies se transmettent d’une génération à l’autre. Soit par le père, soit par la mère, soit par les deux à la fois.

Attention ! Cette transmission n’est pas systématique. Le parent porteur d’une anomalie génétique prédisposant au cancer a 50 % de probabilité de la transmettre à son enfant. Et même si son enfant hérite de cette mutation génétique, il ne développera pas forcément un cancer.

Les indices à surveiller 

Comment savoir dès lors si l’on est sujet à un risque de cancer héréditaire ? Ce risque est suspecté quand une tumeur (non pédiatrique) survient à un âge particulièrement précoce (par exemple un cancer du sein diagnostiqué avant l’âge de 35 ans), quand un même type de tumeur est observé chez trois membres au moins d’une même branche de la famille (frères, sœurs, parents, grands-parents, oncles, tantes, cousins germains) et quand au moins l’un d’entre eux survient à un âge précoce (moins de 50 ans par exemple pour le cancer du côlon). Autres indices : quand un membre de la famille a développé plusieurs types de cancer (sein et ovaires, par exemple), ou encore quand le cancer a atteint les deux organes d’une paire (seins, reins, yeux).

Attention : le fait que plusieurs membres d’une même famille soient victimes d’un cancer ne s’explique pas forcément par l’hérédité. Par exemple, dans une famille de gros fumeurs, le cancer du poumon aura davantage de risques de se déclarer.

Quelle marche à suivre ?

Que faire si vous pensez être à risque à cause de votre hérédité ? D’abord en parler à votre médecin traitant. Il peut évaluer avec vous cette menace de développer un cancer. Si ce risque est réel, il peut vous guider vers une consultation chez un médecin oncogénéticien. Celui-ci pourra alors pratiquer un test génétique. Il s’agit d’une simple prise de sang, dont l’ADN sera extrait et analysé.

Cette analyse très complexe de l’ADN prend environ trois mois. Au terme de cette période, lors d’un nouveau rendez-vous, l’oncogénéticien vous indiquera les résultats de ce test et discutera avec vous les meilleures mesures de prévention et de suivi. Le but d’une surveillance active et de la prévention est de garantir au mieux la santé et la qualité de vie de chaque patient porteur d’une prédisposition génétique au cancer, en tenant compte de son contexte personnel et familial.

Une rentrée des chercheurs pas comme les autres

Le scénario de ces vidéos est simple : mandatés par Véronique Halloin, la Secrétaire générale du FNRS, Ludovic Daxhelet (RTL) et Arsène Burny ont été envoyés dans les universités francophones et au Grand-Duché de Luxembourg pour remettre leur blouse blanche aux chercheuses et chercheurs financés par le Télévie 2020. Et discuter avec eux de leurs projets de recherche.

Ludovic nous explique : « Avec la Covid-19, on ne pouvait pas faire les choses comme avant. La Rentrée des chercheurs a été imaginée sous une forme différente cette année. C’est pour cette raison que le FNRS m’a envoyé distribuer les blouses un peu partout en Belgique. Je suis particulièrement touché et honoré que l’on m’ait confié cette mission ! »

Véronique Halloin : « Traditionnellement, cette Rentrée des chercheuses et chercheurs a lieu à l’automne. Cet évènement marque symboliquement l’entrée en fonction des nouveaux chercheurs Télévie. Vu le contexte sanitaire, la cérémonie a dû être été annulée. Néanmoins, nous estimions important de maintenir un évènement et présenter au grand public des projets de recherche financés grâce à l’argent récolté lors de l’opération 2020. C’est pourquoi, nous avons repensé et réinventé cette Rentrée sous forme de capsules vidéos. »

Les chercheurs n’ont évidemment pas attendu aujourd’hui pour commencer à travailler. Les nouveaux chercheurs sont déjà entrés en fonction et les autres ont pu poursuivre sans interruption des projets déjà entamés les années précédentes. La recherche contre le cancer n’a donc pas pris de retard, malgré la pandémie. 

Pour rappel, avec les 10.546.650,71€ récoltés durant le Télévie 2020, ce sont 83 nouveaux chercheurs, 7 nouveaux techniciens qui ont été engagés, et 6 projets multidisciplinaires et inter-universitaires qui ont vu le jour. Au total, quelques 200 chercheurs Télévie sont en fonction cette année grâce à vos dons. 

Ludovic rencontre Véronique Halloin, secrétaire générale du FNRS :

Ludovic va donner les tabliers aux chercheurs de l’université de UMons ;

Ludovic va donner les tabliers aux chercheurs de l’université de ULiège:

Ludovic va donner les tabliers aux chercheurs de l’université de Namur :

Ludovic va donner les tabliers aux chercheurs de l’université LIH Luxembourg :

Ludovic va donner les tabliers aux chercheurs de l’Université libre de Bruxelles (ULB):

Ludovic va donner les tabliers aux chercheurs de l’université UC Louvain:

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