Les Omega 3 à la rescousse pour lutter contre le cancer

Cela fait trois ans et demi qu’Emeline Dierge, chercheuse Télévie FNRS travaille sur le sujet pour sa thèse de doctorat, qu’elle achèvera avant la fin de cette année. Au centre de ses recherches, le DHA, un oméga-3 bien connu, que l’on trouve notamment dans les poissons gras comme le saumon ou les sardines. Cet acide gras qui peut prévenir différents types de cancers peut donc aussi jouer un rôle central pour ralentir la propagation des tumeurs malignes. « Quand les tumeurs grandissent, elles s’acidifient, explique la jeune chercheuse.  Pour survivre à cet environnement, elles vont modifier leur métabolisme et préférer les acides gras aux sucres. On a découvert que les acides gras à longue chaîne, de type omega-3 (comme le DHA) et omega-6 étaient toxiques pour les cellules cancéreuses présentes dans les zones acides de ces tumeurs. Or ce sont ces cellules-là qui migrent dans l’organisme pour former des métastases. Grâce aux acides gras en question, on peut donc les éliminer et ralentir ainsi le développement du cancer de plusieurs mois, voire sans doute de plusieurs années ».

Des essais cliniques concluants

Dans le cadre de sa thèse, Emeline Dierge a réalisé avec succès des essais cliniques sur des souris. Conclusion : en présence d’une quantité trop importante de DHA, la cellule tumorale de la souris n’arrive plus à stocker cet acide gras qui s’oxyde alors, entrainant la mort par implosion de la cellule cancéreuse. Une molécule utilisée dans des études cliniques contre l’obésité permet même d’augmenter les effets toxiques du DHA pour les cellules cancéreuses. L’action du DHA se montre efficace sur des tumeurs de type solide, où on détecte une masse tumorale importante, comme dans les cancers du sein ou du côlon. Des essais cliniques doivent encore être menés pour valider son efficacité sur tous les types de tumeurs solides. Une mini-étude clinique est à présent en cours sur des êtres humains.

Plus de DHA dans l’alimentation

Alors faut-il consommer davantage de DHA ?  « Notre consommation journalière devrait être de 250 mg. Elle n’est que de 50 à 100 mg », précise le professeur Yvan Larondelle, bio-ingénieur à l’UCLouvain, qui œuvre actuellement à la création d’une spin-off proposant des aliments riches en DHA, produits à base de quinoa cultivé en Wallonie. « Il faut en consommer plus, mais pas à n’importe quel prix, précise Emeline Dierge : « de nombreux poissons gras sont contaminés par la pollution. Il faut bien contrôler leur origine ».

Outre les poissons gras, on trouve aussi le DHA dans les crustacés, l’huile de lin et les aliments enrichis en omega-3, comme les œufs Columbus, ou certaines margarines enrichies. Mais on le trouve aussi en vente en gélules dans les pharmacies. Faut-il dès lors le prescrire dans le traitement des cancers ? « D’une manière générale, les aspects nutritionnels peuvent être davantage pris en compte dans la prise en charge des patients, estime Emeline Dierge. Les oncologues pourraient donc prescrire davantage de gélules d’omega-3, déjà utilisées pour réduire les effets secondaires des chimiothérapies ».

Emeline Dierge

La reprise du travail : un moteur puissant, des freins importants

L’ASBL Travail et Cancer a pour mission de sensibiliser l’opinion publique aux questions de retour au travail après un cancer. Aujourd’hui, elle livre les résultats d’un sondage réalisé auprès de plus de 400 patients, principalement des femmes, tous professionnellement actifs et dont la moitié n’est plus en phase de traitement. Outre le fait que le cancer ait fondamentalement bouleversé leur vie, il a aussi profondément transformé leur rapport au travail.

Vie d’après et nouvelles ressources intérieures
90% des patients interrogés ne retrouvent pas leur vie d’avant après les traitements. Paradoxalement, 88% de ceux-ci se sont découvert de nouvelles ressources intérieures jusqu’alors insoupçonnées. « Forcément, un cancer, ça change tout ! Je ne suis plus le même », réagit Marc Giambrone.
Lorsque ce quadra dynamique apprend qu’il est atteint d’un cancer du poumon fin 2017, il vient de signer un contrat avec d’importants enjeux. « Ce projet représentait l’aboutissement d’un travail de plusieurs années auquel j’avais consacré toute mon énergie et mes finances. Quand ils ont su que je souffrais d’un cancer, les investisseurs m’ont lâché et j’ai dû revendre mes parts de l’entreprise. J’ai été littéralement abattu. Pour eux, j’étais déjà mort. Je suis heureux d’avoir pu leur prouver qu’ils avaient tort. Et aujourd’hui, je me sens encore plus fort. Je n’ai plus peur de rien. »

Pour Marc, comme pour 8 patients sur 10, l’expérience de leur cancer les aide au quotidien dans leur vie professionnelle car ils ont acquis une meilleure connaissance d’eux mêmes.
« Dans mon cas, ce cancer m’a permis de relativiser beaucoup de choses. Je me pose moins de questions, je vis l’instant présent et j’agis en conséquence. Pour mon épouse, c’est plus difficile. Non seulement, elle m’a accompagné tout au long du traitement, dans les moments de faiblesse, et elle doit aujourd’hui faire face à mon trop-plein d’énergie, à ma boulimie de projets. »
En effet, au niveau émotionnel, la plupart des patients (88%) réalisent qu’ils ont aujourd’hui des besoins différents. « En tant qu’indépendant, le boulot et le privé se rejoignent immanquablement. Du coup, la famille encaisse sur les deux plans, concède Marc. Je me sens parfois coupable d’infliger cette pression à ma femme et à mes enfants, Inès (18 ans) et Mathis (13 ans). »

Après la maladie, 87% des personnes interrogées expriment leur souhait de changer de job. Marc n’échappe pas à cette règle. « Plus qu’avant, je ressens le besoin de laisser une trace, d’assurer l’avenir de mes enfants et qu’ils soient fiers de moi. Je me suis notamment lancé dans un projet dont le but est de sauver des vies en aidant les enfants à détecter les odeurs dangereuses de certains gaz, ce qui constitue un nouvel objectif que je n’avais pas nécessairement avant de vivre ce cancer. »

Un levier vers une nouvelle vie
« Malgré toutes les difficultés auxquelles ils ont été confrontés à travers la maladie, on remarque que la plupart des patients mettent finalement en avant les enseignements
positifs que cette expérience du cancer leur a appris
», explique Magali Mertens, ancienne patiente elle-même et fondatrice et secrétaire générale de l’ASBL Travail et Cancer. Pour la plupart des personnes interrogées, le travail reste un pilier important pour cette transition vers leur nouvelle vie.

L’enquête révèle également que la plupart des patients (82%) n’étaient pas au courant des effets secondaires, comme la fatigue et les problèmes de mémoire. « Je ne peux pas le nier, j’ai parfois des coups de barre, avoue Marc. Je n’ai absolument pas peur de le dire et mon entourage se montre compréhensif. S’il y a bien une chose que ce cancer m’a apprise, c’est de ne pas me poser trop de questions. Cela rend anxieux et c’est une émotion dont je me passe bien ! »

Un message à transmettre ? « Forcément, quand un cancer vous tombe dessus, vous basculez dans l’univers médical, avec une montagne de données scientifiques à appréhender. Au-delà des informations sur la maladie qui me touchait, j’aurais sans doute apprécié être soutenu davantage, ainsi que ma famille, sur les plans professionnel et émotionnel. En plus du médical, l’entourage et le travail comptent énormément dans le processus de guérison. Il faut aussi en prendre soin»
Une situation difficile à vivre, particulièrement en ces temps de pandémie.
Catherine Frennet

Le Télévie en musique

La musique sera le thème de cette année. Quels que soient nos goûts en matière de musique, cette dernière est dans la vie de tout un chacun. En cas, de souffrance, elle peut être d’un réel soutien jusqu’à devenir une véritable thérapie pour certains malades.
Les comités de bénévoles, les chercheurs du FNRS, les talents mobilisés pour le Télévie, RTL et ses personnalités, tous seront présents pour fêter le succès de cette 33ème édition du Télévie.

Julien Doré sera le parrain de cette 33ème édition du Télévie. Né le 7 juillet 1982, il est auteur-compositeur- interprète, musicien, producteur et acteur. En 2015, le Français remporte la Victoire de l’artiste interprète masculin aux Victoires de la musique.
Depuis, il a sorti pas moins de 5 albums studios dont « Aimée », son dernier datant de 2020. Il nous fait l’immense plaisir d’être le parrain de cette nouvelle édition du Télévie.

Le Télévie en télévision

Cette année, le compteur sera exceptionnellement lancé quelques jours avant la grande soirée de clôture du Télévie.

Tout s’explique
Le jeudi 16 septembre, un Tout s’explique spécial sera consacré à la fertilité et au cancer.
Faisons gagner la vie
A partir du 23 août et jusqu’au 17 septembre, Sophie Pendeville mettra en avant des activités Télévie menées, tout au long de l’année, par de nombreux bénévoles prêts à tout pour récolter un maximum de dons au profit du Télévie.
Des bénévoles qui, vous le verrez, n’ont rien lâché et se sont réinventés durant cette crise du Coronavirus.
Les amis du Télévie
Comme chaque année, les bénévoles remettront leur chèque, fruit des dons faits au Télévie. En raison de la situation sanitaire, toujours d’actualité, ce sont les animateurs qui partiront à leur rencontre, un peu partout à Bruxelles et en Wallonie

La grande soirée de clôture du Télévie
Cette édition 2021 du Télévie se clôturera en direct sur RTL TVI le samedi 18 septembre. Aux côtés des personnalités de la chaîne, des comités bénévoles et de notre parrain Julien Doré, plusieurs témoins partageront avec nous leur vécu de la maladie, un vécu qui incarne toute l’importance de soutenir la recherche contre le cancer et marque un véritable espoir en l’avenir.
Julien Doré, Amir et Sheila sont allés à leur rencontre il y a quelques semaines. Tout comme Daniel Lévi qui a fait la connaissance d’un jeune couple en rémission et qui s’est confié sur son courageux combat.
La musique sera évidemment le fil conducteur de cette soirée. Au programme, des artistes qui ont immédiatement répondu présent ainsi que de belles surprises. Cette année, le covid a sérieusement perturbé les activités de nos bénévoles. Le 18 septembre sera donc le rendezvous incontournable de la générosité, les malades et les chercheurs ont besoin de chacun de nous !
RTL c’est culte, spécial Télévie
Le 21 août, RTL TVI vous proposera une émission RTL, c’est culte consacrée au Télévie. Revivez les moments forts au travers des différents artistes ou témoins qui ont marqué l’histoire du Télévie.
Au
cœur du Télévie

La chanteuse Typh Barrow est partie à la rencontre de quatre personnes issues du corps médical, qui ont chacune été des patients le temps de leur maladie. Sophie, victime d’un Lymphome d’Hodgkin. Laurie, atteinte d’un cancer du sein triple négatif alors qu’elle était enceinte. Jean-Marie, touché par un Lymphome au début de sa carrière. Véronica, qui a dû faire face à un cancer du sein. Cette expérience les a d’une certaine manière réunis : s’être retrouvés du côté des patients atteints d’un cancer a totalement changé leur vision de la maladie. Désormais, ils traitent les choses différemment. Pour exemple, Jean-Marie Nogaret s’est battu pour obtenir un accompagnement psychologique des patients. Leur histoire, Typh Barrow vous la raconte durant ce reportage poignant.

Le Télévie en radio

Cette année encore, Bel RTL répondra présent et couvrira cet évènement tout au long de la journée du 18 septembre.
Dès le matin, vous pourrez suivre la traditionnelle vente des Disques d’Or de Bel RTL qui sera également diffusée en direct sur RTL TVI. À la mi-journée et durant l’après-midi, les coulisses du Wex seront à découvrir en compagnie des animateurs et des invités du jour.
Enfin, le soir venu, Bel RTL vous fera vivre la soirée de clôture du Télévie comme si vous y étiez.

Les enchères

Le marathon de piano

La thématique de cette 33ème édition du Télévie est la musique. À cette occasion, Michaël Miraglia et Jill Vandermeulen, les animateurs de RTL TVI, ont décidé de lancer un défi exceptionnel : un marathon au piano de 30 heures ! Ce défi s’adresse à tout le monde, que vous soyez pianiste confirmé, premier prix de conservatoire, ou membre d’un groupe de pop, de rock ou d’un orchestre philarmonique ou artiste amateur.
Pour réussir le défi, chacun devra, à tour de rôle, interpréter sa mélodie préférée et ce pour une durée totale de 30 heures sans interruption.
« Cette année, je vais lancer le défi « Marathon Piano » avec Michaël Miraglia. Comme j’ai encore beaucoup d’amour pour le chant, je suis heureuse de pouvoir lancer ce défi. Pour moi c’est très important de pouvoir être de la partie cette année encore pour le Télévie, qui est le cœur d’RTL TVI. J’ai moi-même eu dans mes connaissances des gens touchés par le cancer et ce sont des situations extrêmement dures à vivre et pour toutes ces raisons, il faut à tout prix qu’on puisse continuer la recherche contre le cancer. » explique Jill Vandermeulen.

Le coup d’envoi sera donné par Michaël et Jill le vendredi 17 septembre en direct dans le RTL info 19h depuis Bruxelles. Le samedi 18 septembre vers 17h, le défi se déplacera au WEX de Marche-en-Famenne où se déroulera la soirée de clôture. Le plus grand concert jamais organisé au profit du Télévie, un concert en plein air, auquel pourra assister la foule présente à ce moment-là. « Le marathon piano » sera évidemment couvert de façon transversale avec des duplex en télévision et radio et des lives sur les réseaux sociaux.

« Comme pour la recherche, il ne faut pas que ce piano s’arrête. Pas besoin d’être un joueur professionnel, deux trois notes suffisent pour maintenir ce piano en vie. Le Télévie, c’est la vie, la musique en est la célébration. Je suis heureux d’apporter ma touche cette année pour continuer ce combat contre le cancer. » explique Michael Miraglia

En marche pour le wex

Pour ce trek, il s’équipera d’un sac а dos vide. Sur son chemin, il fera la rencontre des comités de bénévoles, de guests avec au rendez-vous quelques belles surprises. Son but ? Remplir son sac au fur et а mesure avec le plus de dons possible et arriver avant minuit а la soirée de clôture du Télévie. On the road again avec Ludo pour le Télévie ! Pour parrainer cette marche et pour avoir les infos du parcours, rendez-vous ICI.

« Ce qui me motive dans ce défi, c’est de le rendre incroyable et de vivre une expérience hors du commun. C’est une première pour moi de parcourir autant de kilomètres en marchant. Par ailleurs, ce défi, je le fais pour ma mère, qui a eu 2 cancers du sein et qui est maintenant totalement guérie. Je touche du bois. Son cancer remonte à 5 ans et aujourd’hui, elle va beaucoup mieux. Un défi que je fais aussi pour mon ami Marc, touché par un cancer du poumon il y a 3 ans et qui, à l’heure où je vous parle, est en rémission. » explique Ludo

Son but ? Ramener le plus de dons possible à destination et arriver avant minuit à la soirée de clôture du Télévie.
On the road again avec Ludo pour le Télévie !
« Je déteste cette maladie. Je le fais pour dire que tout est possible, qu’il faut toujours se battre pour arriver à ses fins et surtout aller au-delà de la maladie. Il faut croire en la science, croire en la force du FNRS et tout ira bien. »

Les cœurs du Télévie + motivation sans bornes

Cette année, il a fallu réinventer la formule du traditionnel parcours du Télévie en fête pour lequel les cyclistes du Télévie se donnaient rendez-vous. Nos « Cyclos du coeur » se verront proposer différents parcours à effectuer.
Différents parcours qu’ils pourront choisir à leur guise, avec cependant une condition, que leur trajet forme un cœur. Ils partageront ensuite leur exploit sur les réseaux sociaux. Les cœurs du Télévie prendront place du 21 au 27 août 2021.
Le 28 août, Jean-Michel Zecca sera aussi de la partie pour un nouveau défi sur son deux-roues. Il partira de Soumagne à Liège pour arriver au Wex de Marche-en Famenne. Un parcours de 160 bornes pour la bonne cause. « Le Galibier étant reporté pour la seconde fois, les Cycles du cœur ont décidé de prouver que leur motivation de soutenir le Télévie est intacte. D’où cette randonnée de 100km en Belgique et intitulée « motivation 100 (sans) bornes ! »

Enormément de projet pour cette nouvelle édition du Télévie et encore plein de surprises.

Rendez vous le 18 septembre

Faisons gagner la vie

CANCER DU PANCREAS : A LA RECHERCHE DE SOLUTIONS

Pour le Professeur Patrick Jacquemin, maître de recherches FNRS, « il n’y a malheureusement pas eu d’avancée majeure en matière de traitement depuis plus de 40 ans dans ce type de cancer ! Le taux de survie à 5 ans n’est passé durant ce laps de temps que de 5 à 9 %, contrairement au cancer du sein ou de la prostate, où on est aujourd’hui au-delà de 85 % de survie à 5 ans ».

Le cancer du pancréas est par ailleurs en augmentation dans les pays occidentaux à tel point que l’on peut craindre qu’il devienne la deuxième cause de mortalité par cancer (après le cancer du poumon) d’ici quelques années dans nos pays. Explication possible : l’espérance de vie en hausse dans ces pays, puisque ce type de cancer apparaît principalement chez les personnes âgées de plus de 60 ans (à parts égales chez les hommes et chez les femmes). Autres facteurs associés : le mode de vie occidental, la sédentarité, une trop grande consommation d’alcool, ou encore une alimentation non équilibrée.

Un ennemi quasi invisible

Contrairement à d’autres cancers, comme le mélanome ou le cancer du sein, celui du pancréas ne se détecte pas facilement. Cela tient à sa localisation au centre du corps humain, derrière l’estomac, et à l’absence de symptômes spécifiques à ce type d’affection.

Quelques signes peuvent toutefois attirer l’attention. « Certains patients, explique le Professeur Jacquemin, se sont réveillés un matin, le teint jaunâtre, avec une douleur dans l’abdomen. Cette jaunisse est due au développement du cancer du pancréas, qui comprime le canal d’évacuation de la bile. Autres symptômes non-spécifiques : des troubles de la digestion sur une longue durée, une perte de poids, ou une douleur persistante au niveau du dos ». Un examen est alors pratiqué. C’est le scanner qui permet de détecter le plus facilement ce type de tumeurs. L’IRM et l’écho-endoscopie peuvent aussi s’avérer utiles. Malheureusement, le plus souvent, lorsque le patient présente des symptômes qui entrainent le diagnostic, le cancer est déjà très avancé localement et produit des métastases.

Quels traitements aujourd’hui ?

Seuls 10 à 20 % des patients atteints d’un cancer du pancréas peuvent bénéficier d’une chirurgie à visée curative. L’ablation de la tumeur n’est possible que si elle est limitée au pancréas, sans métastases. Ce qui reste très rare lors de la découverte du cancer. En cas de chirurgie, l’espérance de survie à 5 ans passe à 36 %.

Les traitements complémentaires ou instaurés d’emblée si la chirurgie n’est pas possible sont la chimiothérapie et la radiothérapie. Ils sont peu efficaces et n’offre qu’une prolongation de la survie pendant une courte période même si quelques progrès ont été constatés au cours des dernières années. L’immunothérapie, qui a montré son utilité dans plusieurs autres types de cancers comme les mélanomes et certains cancers du poumon ou du colon/rectum, n’a pas encore apporté la preuve de son efficacité dans le cancer du pancréas mais reste porteuse d’avenir.

Des espoirs grâce à la recherche 

. Des études sont en cours et on peut espérer dans un délai assez court (3 à 5 ans) avoir des traitements qui vont se développer au bénéfice des patients. Un autre espoir est de combiner des traitements relevant de différents mécanismes d’action. Ainsi perturber l’action du stroma pourrait, en renforçant les défenses immunitaires, améliorer l’efficacité de l’immunothérapie.

 Une bourse Télévie, conclut le Professeur Jacquemin, a démarré à l’automne pour chercher à cibler de façon combinée ce stroma avec l’immunothérapie. D’ici deux à trois ans, on verra si ce traitement combiné sera ou non efficace pour ralentir la progression de la tumeur.

La recherche progresse donc, à pas lent, contre le cancer du pancréas. Une raison de plus de soutenir le Télévie : https://dons.televie.be/opt/~mon-don?_ga=2.180418855.1215918840.1539076926-1010041673.1530273104

Achetez nos produits Télévie en ligne

Comme vous le savez tous, depuis des années, le Télévie propose une large gamme de produits à la fois utiles au quotidien et accessibles avec un seul et unique but : récolter des fonds pour faire avancer la recherche contre le cancer. La vente de ces produits constitue d’ailleurs une partie importante du montant final de l’opération.

En ces temps difficiles, proposer davantage de possibilités d’acheter nos produits est devenu une évidence. La boutique en ligne se révèle être une véritable alternative pour les personnes qui n’ont pas accès à la vente de produits dans leur région afin qu’elles puissent également rejoindre la grande famille du Télévie.

Vous préférez acheter en direct à un de nos bénévoles ?  Pas de soucis, aux quatre coins de la Wallonie et de Bruxelles, tous nos bénévoles sont toujours présents pour vous proposer les produits, n’hésitez pas à les contacter ICI. Ils ne cessent de se mobiliser chaque jour pour nous venir en aide et nous ne les remercierons jamais assez pour leur soutien inestimable.

Vous pouvez également retrouver toute la gamme Télévie 2021 dans vos magasins Cora-Match et Smatch ainsi que dans vos librairies Night & Day près de chez vous.

Pour la boutique en ligne, nous vous donnons rendez-vous ici  ?https://televie.be/agir/acheter-nos-produits/

 Nos produits seront à votre disposition. Vous pourrez également profiter de nos box « découvertes » avantageuses sur de multiples thèmes (pour la cuisine, pour les enfants…), de quoi faire plaisir à tout le monde.

Infos pratiques :

Prix indiqués TVAC

Frais de préparation et de livraison : 5 € ( A partir de 70€, la livraison est offerte)

Délai de livraison : 1 semaine

Paiement : Bancontact / Visa / Mastercard / Belfius application

Nous vous remercions pour votre générosité, n’hésitez pas à faire un tour sur notre boutique en ligne pour faire battre ensemble le cœur de l’opération et vaincre la maladie ❤️

Préservation de la fertilité malgré un cancer: l’expertise de la Belgique

Bien que fréquente l’infertilité après cancer n’est pas systématique et dépend de nombreux facteurs. Pour les hommes à risque, la procédure de préservation est relativement simple : recueillir et congeler le sperme. Pour les femmes, les procédures sont généralement plus lourdes. La technique la plus utilisée pour la préservation chez la gente féminine est la congélation d’ovocytes, mais elle n’est pas toujours réalisable. L’alternative est la cryopréservation des tissus ovariens. Grâce à la transplantation de tissu ovarien congelé, la première grossesse après un cancer a eu lieu en 2004 en Belgique. « On compte aujourd’hui entre 130 et 150 enfants nés suite à une greffe dans le monde », nous raconte Isabelle Demeestere.

Le type de traitement (chimiothérapie, radiothérapie ou chirurgie) et l’âge vont déterminer le risque d’infertilité future. C’est pour cette raison qu’Isabelle Demeestere a décidé de consacrer une partie de ses recherches à la toxicité des traitements. « Une dizaine de personnes étudient les mécanismes qui induisent cette toxicité au sein du laboratoire. L’objectif est d’agir sur les processus qui abîment les ovaires », explique Isabelle Demeestere

Ses recherches se concentrent également sur des plus jeunes patients, les enfants. « Leur prise en charge est particulièrement complexe car il est difficile de proposer des procédures supplémentaires pour préserver la fertilité alors que les enfants subissent déjà des traitements invasifs. Cependant c’est grâce à la préservation du tissu ovarien avant les traitements qu’on pourra les aider en cas d’infertilité à l’âge adulte. De plus, cela nous permet d’envisager l’avenir avec eux et de garder espoir », nous confie la chercheuse.  

Cette étude a pris énormément d’ampleur ces dernières années. « La philosophie a changé. On ne pense plus seulement qu’à la survie, comme avant, mais également à la qualité de vie, qui devient prioritaire en clinique et donc dans nos recherches », nous explique Isabelle Demeestere. Grâce entre autre au soutien du Télévie depuis de nombreuses années, la Belgique a acquis une reconnaissance internationale pour ses travaux sur la préservation de la fertilité.

La préservation de la fertilité chez les jeunes patientes est un sujet étudié à la fois en recherche fondamentale et en recherche clinique. « Au moment de ma thèse, dans les années 90, qui traitait de la préservation de la fertilité, il n’existait pas encore de programme clinique de préservation de la fertilité. C’est formidable de voir que maintenant la Belgique est leader dans ce domaine grâce aux recherches qui ont débuté très tôt avec le soutien du Télévie et les succès  que nous avons obtenu en clinique», conclut Isabelle Demeesterer.  

Isabelle Demeestere, responsable du programme de préservation de la fertilité à l’Hôpital Erasme- ULB

Cancers ORL : mal rampant méconnu

Appelés également cancers « tête et cou », il s’agit de cancers qui rassemblent toutes les tumeurs qui se développent dans les voies aérodigestives supérieures ou ORL (Oto-Rhino- Laryngologie). « Ce que moi j’appelle les cancers ORL, ce sont les cancers qui démarrent au début de la lèvre jusqu’à l’œsophage » nous explique J-P. Machiels. « C’est un groupe de tumeurs assez hétérogènes, car les plus fréquentes, c’est-à-dire 90% des cas, sont des cancers qui sont développés à partir des muqueuses de la cavité orale, du pharynx ou du larynx. » La sphère ORL regroupe différentes séries de cancers, comme les tumeurs des glandes salivaires ou des sinus, mais ce sont des tumeurs plus rares.

« On compte environ 2000 cas de carcinomes épidermoïdes (cancers développés au départ de la muqueuse) en Belgique par an. C’est une tumeur qui se présente souvent par des symptômes locaux. La sphère ORL est au carrefour de ce qu’il faut pour bien parler, bien manger et pour respirer. Ce sont là toutes des fonctions sociales importantes. Les tumeurs dans la bouche ou sur la peau peuvent se voir, il y a donc une notion esthétique importante », rajoute J-P. Machiels. « Quand on a une tumeur située au larynx, pharynx ou à la cavité orale, le taux de guérison est de plus ou moins 60%, si la tumeur est située localement (au-dessus des clavicules) Si les tumeurs sont localement avancées, c’est-à-dire qu’elles font plus de 4 centimètres, qu’elles envahissent les organes adjacents ou qu’il y a des ganglions, nous sommes plutôt à 50%. Pour les patients qui font des métastases, ou qui rechutent après le traitement, ce sont des patients qu’on ne va probablement pas guérir.»

Causes et symptômes

Il existe deux causes principales responsables de ce type de cancers en Belgique : l’alcool et le tabac. « Si vous buvez, vous avez un risque assez important de faire un cancer ORL, mais également si vous fumez. Si vous combinez les deux, alors là, c’est une vraie bombe atomique. Le risque est décuplé, » met en garde le chef du service d’oncologie médicale. « Il existe une autre cause de cancers ORL, qui est principalement située dans l’oropharynx (proche des amygdales et de la base de la langue), et qui peut être due aux virus HPV. Le traitement reste le même, mais le facteur de risque est différent. Il est lié à la fréquence des rapports sexuels, etc. Le pronostic est un petit peu meilleur quand c’est lié à l’HPV. »

Plusieurs symptômes peuvent vous alerter quant à un possible cancer ORL. Cela peut être la douleur, une masse, un saignement, un ulcère qui ne cicatrice pas, une mauvaise odeur dans la bouche ou encore une difficulté pour respirer ou déglutir.

Traitements actuels

En ce qui concerne les traitements pour la cavité orale, le larynx ou le pharynx, deux grands types de traitements peuvent guérir le patient : la chirurgie ou la radiothérapie. « On choisit en fonction du résultat fonctionnel qu’on peut obtenir. Par exemple, si vous avez une tumeur du larynx, et qu’on enlève le pharynx, le patient ne sait plus parler. Il sait vivre, mais pas parler. Par contre, si nous faisons une radiothérapie et qu’on préserve le larynx, le patient saura encore parler après l’opération. On décide donc en fonction de la position de la tumeur, du stade de celle-ci, et de l’expertise des centres, » indique J-P. Machiels. Toutefois, pour les maladies localement avancées, il arrive que les professionnels utilisent les deux modalités. Il arrive par exemple qu’on combine la radiothérapie à la chimiothérapie car celle-ci s’avère alors plus efficace.

Avancées et innovations En juin 2020, une étude australienne a étudié le 1er cas au monde de détection par un test salivaire d’un cancer du pharynx lié au papillomavirus. Les chercheurs ont recherché dans la salive de l’homme de 63 ans de l’ADN viral du HPV de type 16. L’homme s’était porté volontaire et avait accepté de se soumettre à des dosages d’ADN du HPV dans sa salive et ce durant 36 mois au total. « Si les techniques sont bonnes, on peut détecter un bon pourcentage de cas. Attention cependant, dans la salive, si la tumeur est localisée dans l’hypopharynx, le taux de réussite va être beaucoup plus faible, » précise J-P. Machiels.

« Nous étudions différents points de recherche importants. Premièrement, les chercheurs essaient de trouver une solution pour diminuer la toxicité des traitements et comment garder un bon état fonctionnel tout en la diminuant. Nous étudions également la caractérisation moléculaire de la maladie et l’immunothérapie, bien entendu »  ajoute-t-il.

Financement des recherches

« Comme ce n’est pas un cancer du sein, de la prostate ou du colon, cela intéresse moins malheureusement. Le Télévie subventionne mes projets de recherche sur les cancers ORL, » nous explique J-P. Machiels. Son équipe travaille actuellement sur deux projets Télévie. Le premier étudie la médecine personnalisée. « On pratique des biopsies de la tumeur des patients, et en fonction des anomalies génétiques observées, on en déduit le type d’altération fonctionnelle qui rend les cellules cancéreuses et on choisit le médicament qui vise à remédier à cette altération. On choisit donc le traitement en fonction de l’anomalie génétique constatée. » Le deuxième projet, a pour but de caractériser la maladie en fonction de ces biopsies et de mieux comprendre les succès et échecs de l’immunothérapie.

Manque de visibilité

Encore aujourd’hui, les cancers ORL sont mal connus dans la population, et J-P. Machiels déplore ce manque de visibilité : « Selon moi, il y a toute une prévention à faire, notamment vis-à-vis de l’alcool et du tabac. Je crois que la maladie étant mal connue, il y a peu d’intérêt de la part des médecins, et les gens ne consultent pas spontanément. Il faut absolument une meilleure conscientisation sur les méfaits de l’alcool, du tabac et des maladies sexuellement transmissibles. C’est crucial. »

Achetez votre maillot « Cyclos du cœur »

Depuis 13 ans déjà, les cyclistes se mobilisent avec passion pour venir en aide au Télévie. Cette année encore, ils sont toujours présents et plus que jamais déterminés à apporter leur soutien, malgré la situation actuelle, ils ne lâchent rien et ne cessent de se réinventer.

En 2019, Jean-Michel Zecca et 256 cyclistes s’étaient engagés dans l’ascension du Mont Ventoux avec pour objectif de récolter des fonds pour le FNRS. Ce fut vraiment un moment fort pour les cyclos où bon nombre de personnes étaient venues y participer, avec pour la plupart des histoires très touchantes. « Pour certains, cette ascension du Ventoux était vraiment une espèce de pèlerinage durant lequel ils ont pu sortir leurs émotions, il y a eu pas mal de larmes au sommet du Ventoux et cela a été très émouvant. » nous raconte Marc Duthoo, Responsable des partenariats chez RTL Belgium.

D’ailleurs, cet évènement marquant a donné naissance aux Cyclos du Cœur ,«L’idée était de réunir en une communauté unique tous les cyclistes qui se mobilisaient pour une seule et même cause, le Télévie » poursuit Marc.

Cette année encore, ils prouvent leur engagement et investissement sans faille en trouvant des alternatives pour soutenir le Télévie malgré l’interdiction de tous grands rassemblements. Il ne leur a malheureusement pas été possible d’organiser la montée du Galibier qu’ils ont d’ailleurs décidé de reporter à l’année prochaine. Pour les intéressé(e)s, elle aura lieu du 17 au 20 juin 2022 au Club Med de Serre-Chevalier. Notez bien la date dans votre agenda, cet évènement est à ne pas manquer! D’autres initiatives ont été lancées dans le même esprit cyclo, parmi celles-ci, ils ont notamment décidé de mettre en vente 500 maillots exclusifs aux couleurs des Cyclos du Cœur.

En le portant, vous montrerez fièrement que vous faites partie de cette extraordinaire communauté composée actuellement de près de 1000 membres. Bon à savoir, la communauté des Cyclos est informée en priorité des activités organisées via la newsletter des Cyclos du Cœur (ou la page Facebook des Cyclos du Cœur) et bénéficie de certaines réductions sur les différentes organisations des Cyclos du Cœur.

Le prix : 60€

Clôture des commandes, le 19 avril !

Vous êtes intéressé(e) ? Cliquez ICI pour le commander en ligne.

Ce qui fait avant tout la force de ce mouvement, ce sont tous les cyclos qui décident d’y participer. N’hésitez donc pas à rejoindre cette belle communauté de personnes passionnées et engagées au service du Télévie. N’hésitez pas non plus à rejoindre le groupe Facebook des cyclos du Cœur.

Vous souhaitez rouler aux couleurs complètes du Télévie ? Pas de soucis, grâce à BIORACER, notre partenaire, toute une gamme d’accessoires (cuissard, maillot manches longues, casquette, gants, manchons, collant long, etc…. ) sera également bientôt disponible et en plus, la bonne nouvelle…,  BIORACER s’engage à verser 10% du prix de vente au Télévie.. Le lien et plus d’infos un peu plus tard !

Faisons battre nos cœurs contre le cancer

En Belgique, rien que cette année, plus de 68 000 personnes apprendront qu’elles souffrent d’un cancer. Ce sont donc 186 personnes qui voient leur vie basculer chaque jour. 

La pandémie actuelle nous confronte de plus en plus à la solitude et à l’isolement. Or, nous avons tous et, plus que jamais, besoin d’être entourés et certainement ceux qui se battent contre le cancer, soutenus dans leur lutte contre la maladie

Le Télévie lance une façon originale de créer du lien entre nous tout en restant chez soi : envoyez un message à une personne qui vous tient à cœur.

Chaque message créera une pulsation cardiaque qui, associée aux autres, formera le plus long rythme de battements de cœur pour résonner dans l’esprit des personnes qui vous sont chères ou auxquelles vous tenez.

Comment ça marche ?

  •  Connectez-vous sur notre mur de soutien
  •  Envoyez un message réconfortant  à un proche, un ami, un collègue, une connaissance, une personne touchée par le cancer ou un message de soutien à une personne investie dans la lutte contre le cancer,.. en un mot, envoyez un message à une personne qui vous tient tout simplement à cœur. Qu’ils soient longs, courts, simples ou originaux, tous les messages sont les bienvenus !
  • Partagez l’action sur vos réseaux sociaux.

Une manière différente de montrer que tous nos cœurs battent ensemble contre le cancer.

Faites battre le cœur du Télévie pour la recherche contre le cancer.

Illuminons nos fêtes

A l’occasion du lancement de l’émission « Noël à domicile » sur RTL TVI, Le Télévie lance en partenariat avec Luwa une super opération qui réchauffera nos cœurs.

Comment participer ?

  • Prenez vos plus belles illuminations en photo ou en vidéo
  • Partagez-les sur vos réseaux sociaux en taguant le @Télévie
  • Envoyez-les sur l’adresse adomicile@rtl.be

Les illuminations les plus belles seront mises à l’honneur dans l’émission « Noël à domicile » sur RTL TVI la semaine prochaine.

On a besoin de vous pour faire vivre l’esprit de Noël.

Illuminons les fêtes avec le Télévie et son partenaire Luwa,  en charge de la modernisation de l’éclairage (auto)routier en Wallonie ».  Grâce à cette action et au soutien de Luwa, vous contribuez à soutenir la recherche contre le cancer.

https://televie.be/videos/illuminez-nos-fetes/

Les nouveaux produits 2021 sont là !

Acheter ou vendre des produits Télévie, c’est aussi s’impliquer dans la lutte contre le cancer. Découvrez la gamme 2020-2021 et laissez-vous tenter !

Comme c’est le cas depuis quelques années, le Télévie veut aussi s’engager pour la planète : les mots d’ordre sont donc « utile et écoresponsable ». « Écoresponsable » puisque, par exemple, le set composé d’un stylo à bille et d’un porte-mine est fabriqué avec des bouteilles en plastique recyclées et son emballage est, lui aussi, en carton recyclé. « Utile » grâce à des objets qui vous servent au quotidien comme le sac shopping.

Nos nouveautés

Cuisinez de bons petits plats grâce à notre set contenant une cuillère et une spatule en bois

Les chiffons en microfibre attraperont toutes vos poussières

Profitez d’un petit moment de douceur grâce à une boîte de 12 chocolats Leonidas (lait, noir, blanc, lait feuilletine et noir 72%)

Si ce virus ne nous facilite pas la vie, protégeons-nous grâce au savon de Marseille aux huiles végétales naturelles et au parfum de miel ainsi qu’au masque avec filtre, lavable et réutilisable, fabriqué en Europe

Enfin, pour vous aider lors de vos courses, le sac shopping en coton naturel.


Nos incontournables

Le DVD de la pièce de théâtre “Le fusible” jouée en 2020 par la troupe RTL

Les bonbons goût pêche

Le pin’s Télévie 2021

Le set composé d’un stylo à bille et d’un porte-mine

Tous ces produits sont disponibles auprès de nos bénévoles, dans les magasins Cora, Match et Smatch et ICI

Découvrez-les, achetez-les, ou vendez- les ! Grâce à vous, le compteur 2021 est enclenché… On compte sur vous !

Le 18 septembre 2021 : la date de la soirée de clôture du Télévie

Pourquoi cette décision ? Philippe Jaumain, Coordinateur Général du Télévie explique :

« Vu les évolutions de la pandémie et ses effets collatéraux sur les événements dont les bénéfices sont destinés au Télévie, cette date constitue la meilleure option pour laisser le temps aux 450 comités de bénévoles d’organiser leurs événements dans les meilleures conditions possibles. Pour la deuxième année consécutive, le Télévie aura donc lieu mi-septembre, précédant de quelques semaines Cap 48 avec qui la cohabitation s’est très bien déroulée cette année et avec qui nous entretenons des contacts étroits pour nous soutenir mutuellement.

L’expérience de cette année montre que la générosité des Belges pour le soutien à la recherche contre le cancer et pour les personnes en situation de handicap n’a pas souffert de cette proximité de date. Notre souhait est cependant de revenir le plus vite possible au printemps, période historique du Télévie, qui constitue le meilleur choix pour nous. »

Rendez-vous le samedi 18 septembre 2021 pour la soirée de clôture du Télévie.

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