Le Télévie en musique

La musique sera le thème de cette année. Quels que soient nos goûts en matière de musique, cette dernière est dans la vie de tout un chacun. En cas, de souffrance, elle peut être d’un réel soutien jusqu’à devenir une véritable thérapie pour certains malades.
Les comités de bénévoles, les chercheurs du FNRS, les talents mobilisés pour le Télévie, RTL et ses personnalités, tous seront présents pour fêter le succès de cette 33ème édition du Télévie.

Julien Doré sera le parrain de cette 33ème édition du Télévie. Né le 7 juillet 1982, il est auteur-compositeur- interprète, musicien, producteur et acteur. En 2015, le Français remporte la Victoire de l’artiste interprète masculin aux Victoires de la musique.
Depuis, il a sorti pas moins de 5 albums studios dont « Aimée », son dernier datant de 2020. Il nous fait l’immense plaisir d’être le parrain de cette nouvelle édition du Télévie.

Le Télévie en télévision

Cette année, le compteur sera exceptionnellement lancé quelques jours avant la grande soirée de clôture du Télévie.

Tout s’explique
Le jeudi 16 septembre, un Tout s’explique spécial sera consacré à la fertilité et au cancer.
Faisons gagner la vie
A partir du 23 août et jusqu’au 17 septembre, Sophie Pendeville mettra en avant des activités Télévie menées, tout au long de l’année, par de nombreux bénévoles prêts à tout pour récolter un maximum de dons au profit du Télévie.
Des bénévoles qui, vous le verrez, n’ont rien lâché et se sont réinventés durant cette crise du Coronavirus.
Les amis du Télévie
Comme chaque année, les bénévoles remettront leur chèque, fruit des dons faits au Télévie. En raison de la situation sanitaire, toujours d’actualité, ce sont les animateurs qui partiront à leur rencontre, un peu partout à Bruxelles et en Wallonie

La grande soirée de clôture du Télévie
Cette édition 2021 du Télévie se clôturera en direct sur RTL TVI le samedi 18 septembre. Aux côtés des personnalités de la chaîne, des comités bénévoles et de notre parrain Julien Doré, plusieurs témoins partageront avec nous leur vécu de la maladie, un vécu qui incarne toute l’importance de soutenir la recherche contre le cancer et marque un véritable espoir en l’avenir.
Julien Doré, Amir et Sheila sont allés à leur rencontre il y a quelques semaines. Tout comme Daniel Lévi qui a fait la connaissance d’un jeune couple en rémission et qui s’est confié sur son courageux combat.
La musique sera évidemment le fil conducteur de cette soirée. Au programme, des artistes qui ont immédiatement répondu présent ainsi que de belles surprises. Cette année, le covid a sérieusement perturbé les activités de nos bénévoles. Le 18 septembre sera donc le rendezvous incontournable de la générosité, les malades et les chercheurs ont besoin de chacun de nous !
RTL c’est culte, spécial Télévie
Le 21 août, RTL TVI vous proposera une émission RTL, c’est culte consacrée au Télévie. Revivez les moments forts au travers des différents artistes ou témoins qui ont marqué l’histoire du Télévie.
Au
cœur du Télévie

La chanteuse Typh Barrow est partie à la rencontre de quatre personnes issues du corps médical, qui ont chacune été des patients le temps de leur maladie. Sophie, victime d’un Lymphome d’Hodgkin. Laurie, atteinte d’un cancer du sein triple négatif alors qu’elle était enceinte. Jean-Marie, touché par un Lymphome au début de sa carrière. Véronica, qui a dû faire face à un cancer du sein. Cette expérience les a d’une certaine manière réunis : s’être retrouvés du côté des patients atteints d’un cancer a totalement changé leur vision de la maladie. Désormais, ils traitent les choses différemment. Pour exemple, Jean-Marie Nogaret s’est battu pour obtenir un accompagnement psychologique des patients. Leur histoire, Typh Barrow vous la raconte durant ce reportage poignant.

Le Télévie en radio

Cette année encore, Bel RTL répondra présent et couvrira cet évènement tout au long de la journée du 18 septembre.
Dès le matin, vous pourrez suivre la traditionnelle vente des Disques d’Or de Bel RTL qui sera également diffusée en direct sur RTL TVI. À la mi-journée et durant l’après-midi, les coulisses du Wex seront à découvrir en compagnie des animateurs et des invités du jour.
Enfin, le soir venu, Bel RTL vous fera vivre la soirée de clôture du Télévie comme si vous y étiez.

Les enchères

Le marathon de piano

La thématique de cette 33ème édition du Télévie est la musique. À cette occasion, Michaël Miraglia et Jill Vandermeulen, les animateurs de RTL TVI, ont décidé de lancer un défi exceptionnel : un marathon au piano de 30 heures ! Ce défi s’adresse à tout le monde, que vous soyez pianiste confirmé, premier prix de conservatoire, ou membre d’un groupe de pop, de rock ou d’un orchestre philarmonique ou artiste amateur.
Pour réussir le défi, chacun devra, à tour de rôle, interpréter sa mélodie préférée et ce pour une durée totale de 30 heures sans interruption.
« Cette année, je vais lancer le défi « Marathon Piano » avec Michaël Miraglia. Comme j’ai encore beaucoup d’amour pour le chant, je suis heureuse de pouvoir lancer ce défi. Pour moi c’est très important de pouvoir être de la partie cette année encore pour le Télévie, qui est le cœur d’RTL TVI. J’ai moi-même eu dans mes connaissances des gens touchés par le cancer et ce sont des situations extrêmement dures à vivre et pour toutes ces raisons, il faut à tout prix qu’on puisse continuer la recherche contre le cancer. » explique Jill Vandermeulen.

Le coup d’envoi sera donné par Michaël et Jill le vendredi 17 septembre en direct dans le RTL info 19h depuis Bruxelles. Le samedi 18 septembre vers 17h, le défi se déplacera au WEX de Marche-en-Famenne où se déroulera la soirée de clôture. Le plus grand concert jamais organisé au profit du Télévie, un concert en plein air, auquel pourra assister la foule présente à ce moment-là. « Le marathon piano » sera évidemment couvert de façon transversale avec des duplex en télévision et radio et des lives sur les réseaux sociaux.

« Comme pour la recherche, il ne faut pas que ce piano s’arrête. Pas besoin d’être un joueur professionnel, deux trois notes suffisent pour maintenir ce piano en vie. Le Télévie, c’est la vie, la musique en est la célébration. Je suis heureux d’apporter ma touche cette année pour continuer ce combat contre le cancer. » explique Michael Miraglia

En marche pour le wex

Pour ce trek, il s’équipera d’un sac а dos vide. Sur son chemin, il fera la rencontre des comités de bénévoles, de guests avec au rendez-vous quelques belles surprises. Son but ? Remplir son sac au fur et а mesure avec le plus de dons possible et arriver avant minuit а la soirée de clôture du Télévie. On the road again avec Ludo pour le Télévie ! Pour parrainer cette marche et pour avoir les infos du parcours, rendez-vous ICI.

« Ce qui me motive dans ce défi, c’est de le rendre incroyable et de vivre une expérience hors du commun. C’est une première pour moi de parcourir autant de kilomètres en marchant. Par ailleurs, ce défi, je le fais pour ma mère, qui a eu 2 cancers du sein et qui est maintenant totalement guérie. Je touche du bois. Son cancer remonte à 5 ans et aujourd’hui, elle va beaucoup mieux. Un défi que je fais aussi pour mon ami Marc, touché par un cancer du poumon il y a 3 ans et qui, à l’heure où je vous parle, est en rémission. » explique Ludo

Son but ? Ramener le plus de dons possible à destination et arriver avant minuit à la soirée de clôture du Télévie.
On the road again avec Ludo pour le Télévie !
« Je déteste cette maladie. Je le fais pour dire que tout est possible, qu’il faut toujours se battre pour arriver à ses fins et surtout aller au-delà de la maladie. Il faut croire en la science, croire en la force du FNRS et tout ira bien. »

Les cœurs du Télévie + motivation sans bornes

Cette année, il a fallu réinventer la formule du traditionnel parcours du Télévie en fête pour lequel les cyclistes du Télévie se donnaient rendez-vous. Nos « Cyclos du coeur » se verront proposer différents parcours à effectuer.
Différents parcours qu’ils pourront choisir à leur guise, avec cependant une condition, que leur trajet forme un cœur. Ils partageront ensuite leur exploit sur les réseaux sociaux. Les cœurs du Télévie prendront place du 21 au 27 août 2021.
Le 28 août, Jean-Michel Zecca sera aussi de la partie pour un nouveau défi sur son deux-roues. Il partira de Soumagne à Liège pour arriver au Wex de Marche-en Famenne. Un parcours de 160 bornes pour la bonne cause. « Le Galibier étant reporté pour la seconde fois, les Cycles du cœur ont décidé de prouver que leur motivation de soutenir le Télévie est intacte. D’où cette randonnée de 100km en Belgique et intitulée « motivation 100 (sans) bornes ! »

Enormément de projet pour cette nouvelle édition du Télévie et encore plein de surprises.

Rendez vous le 18 septembre

Faisons gagner la vie

Achetez nos produits Télévie en ligne

Comme vous le savez tous, depuis des années, le Télévie propose une large gamme de produits à la fois utiles au quotidien et accessibles avec un seul et unique but : récolter des fonds pour faire avancer la recherche contre le cancer. La vente de ces produits constitue d’ailleurs une partie importante du montant final de l’opération.

En ces temps difficiles, proposer davantage de possibilités d’acheter nos produits est devenu une évidence. La boutique en ligne se révèle être une véritable alternative pour les personnes qui n’ont pas accès à la vente de produits dans leur région afin qu’elles puissent également rejoindre la grande famille du Télévie.

Vous préférez acheter en direct à un de nos bénévoles ?  Pas de soucis, aux quatre coins de la Wallonie et de Bruxelles, tous nos bénévoles sont toujours présents pour vous proposer les produits, n’hésitez pas à les contacter ICI. Ils ne cessent de se mobiliser chaque jour pour nous venir en aide et nous ne les remercierons jamais assez pour leur soutien inestimable.

Vous pouvez également retrouver toute la gamme Télévie 2021 dans vos magasins Cora-Match et Smatch ainsi que dans vos librairies Night & Day près de chez vous.

Pour la boutique en ligne, nous vous donnons rendez-vous ici  ?https://televie.be/agir/acheter-nos-produits/

 Nos produits seront à votre disposition. Vous pourrez également profiter de nos box « découvertes » avantageuses sur de multiples thèmes (pour la cuisine, pour les enfants…), de quoi faire plaisir à tout le monde.

Infos pratiques :

Prix indiqués TVAC

Frais de préparation et de livraison : 5 € ( A partir de 70€, la livraison est offerte)

Délai de livraison : 1 semaine

Paiement : Bancontact / Visa / Mastercard / Belfius application

Nous vous remercions pour votre générosité, n’hésitez pas à faire un tour sur notre boutique en ligne pour faire battre ensemble le cœur de l’opération et vaincre la maladie ❤️

L’opération Pièces Rouges bientôt près de chez vous !

Bérénice : « Le cancer ne s’est jamais confiné. La recherche ne peut pas se mettre en quarantaine. Notre slogan n’aura jamais été aussi proche de la réalité : Alors on s’bouge pour l’Opération Pièces Rouges ! »   

Dès le samedi 8 mai, Bérénice et Léon vous proposent une émission en direct sur Bel RTL à chaque déplacement du « Camion Tirelire ». Léon : « Malgré la situation actuelle, nous avons toujours à cœur de faire avancer la recherche contre le cancer. Je ne peux que vous encourager une nouvelle fois à embrasser cette cause en nous rejoignant « en direct » durant le mois de mai. »

Rendez-vous sur Bel RTL les samedis de 13h00 à 15h30 et les jours fériés de 12h30 à 15h30. Le « Camion Tirelire » s’installe près de chez vous chaque samedi de 10h00 à 18h00 : 

-Samedi 8 mai 2021 au Shopping Grands Prés à Mons
-Jeudi 13 mai 2021 à Namur (Boulevard Frère Orban 9)
-Samedi 15 mai 2021au Shopping Belle Ile en Liège
Samedi 22 mai 2021 Shopping L’Esplanade à Louvain-la-Neuve
-Lundi 24 mai 2021à Marbehan chez Julien Lapraille
-Samedi 29 mai 2021 au Cora d’Anderlecht
-Samedi 5 juin au Shopping Rive Gauche à Charleroi  

En 2 ans, grâce à votre générosité, cette opération a permis de récolter 865.360,19 € au profit de la recherche contre le cancer. Aujourd’hui, il reste 2 milliards 170 millions de pièces rouges en Belgique !

Grâce à l’Opération Pièces Rouges et à votre générosité, donnez-leur une nouvelle vie au profit de la recherche. Leurs grandes sœurs (les pièces jaunes) et leurs grands frères (les billets) sont bien évidemment les bienvenus.

Retrouvez toutes les informations sur le site : ICI

Toutes vos récoltes peuvent aussi être déposées dans l’agence Crélan la plus proche de chez vous : « Où déposer vos pièces rouges »).

Les écoles sont invitées à se mobiliser et à être créatives : « Les écoles ».   

L’Opération Pièces Rouges se terminera le 18 septembre 2021 lors de la journée de clôture du Télévie.  

Allez, on se bouge pour l’Opération Pièces Rouges !      

Opération Fête des Mères : ils nous rejoignent et soutiennent le Télévie

À l’occasion de la Fête des Mères et des pères, Di et Planet Parfum vous proposent du 27 avril au 12 juin d’arrondir votre ticket de caisse au profit du Télévie. N’hésitez pas à faire un tour dans un de leurs 208 points de vente, ils n’attendent plus que vous. Ils seront ravis de vous conseiller pour que vous trouviez la perle rare pour votre maman.

En l’honneur de toutes les mamans, Trafic lance également une action spéciale Fête des Mères du 3 au 9 mai : à l’achat d’une bougie achetée, Trafic reversera 1 € au Télévie. Action valable sur toutes les bougies disponibles dans leurs magasins en Wallonie. Ne ratez pas cette occasion d’offrir un superbe cadeau à votre maman tout en soutenant le Télévie.

Parce que c’est en restant tous solidaires que nous ferons avancer la recherche, faisons gagner la vie 

GRAND SUCCES POUR LE TELEVIE 2021 AU LUXEMBOURG

1.242.004 € :  à l’heure d’arrêter le compteur, le sourire était de mise samedi soir, parmi les responsables luxembourgeois de l’opération. Pour Diane Wunsch, coordinatrice du Télévie, le succès est au rendez-vous : «il ne faut pas oublier que la précédente édition avait eu lieu septembre 2020, il y a à peine six mois et demi, et qu’on avait alors récolté un peu moins d’1 million d’€. J’ai donc vraiment été très surprise d’obtenir un chiffre pareil cette année ! ». 

9.000 gâteaux sablés

Une fois encore les Luxembourgeois se sont mobilisés en nombre pour faire grimper le compteur à travers, au total, près de 300 actions de solidarité. Avec la crise du Covid, il a fallu se réinventer. Finis les soupers caritatifs : place cette année aux repas livrés à domicile !

Sans compter ces petits biscuits sablés fourrés avec de la crème pralinée, et marqués d’un cœur du Télévie : créés cette année (à la demande de Diane Wunsch) par une boulangerie luxembourgeoise, ils se sont vendus à plus de 9.000 exemplaires. « Un véritable carton », estime son initiatrice.  

Les actions dans les grandes surfaces, les balades à vélo et à moto, mais aussi en tracteur ont connu un joli succès. Même chose pour toutes les manifestations organisées dans les quatre centres de promesses, situés aux quatre coins du Grand-Duché, sans parler du centre de promesse permanent établi à Rodange, et fidèle depuis le début à l’opération.  

Un marathon au bout du fil

Pour mieux récolter les promesses de dons cette année, les organisateurs du Télévie ont décidé d’ouvrir le standard téléphonique dès le lundi matin précédant la soirée de clôture ! Durant six jours, de 7h30 à 21 h, les habitants du Grand-Duché ont ainsi pu faire part de leur dons aux standardistes à l’autre bout du fil. «Cela nous a permis de toucher d’autres personnes que le seul samedi soir, lors de la soirée de clôture », précise encore la coordinatrice du Télévie. Et les sommes pouvaient atteindre jusqu’à 10.000 €, plus encore que les autres années. Les gens ont fait preuve d’une énorme générosité ».  

Une soirée de clôture plus calme 

Témoignages émouvants, directs depuis les centres de promesses, interviews de scientifiques : diffusée comme chaque année sur les antennes de RTL Luxembourg, la soirée de clôture, Covid oblige, n’aura pas vu défiler d’artistes le 24 avril dernier. Pour les mêmes raisons sanitaires, la famille Grand-Ducale n’était pour une fois pas présente en studioparmi les standardistes. Mais la marraine du Télévie, la Princesse Alexandra, fille des Grands-Ducs, a enregistré un message appelant aux dons, diffusé dans tous les médias. 

En 20 ans d’existence au Grand-Duché, le Télévie a rapporté 25.439.261 €. « Et chaque euro compte, rappelle Diane Wunsch. Comme en Belgique, l’argent récolté est reversé intégralement à la recherche. Il finance des projets développés au Luxembourg, qui sont désignés chaque année par la commission scientifique du FNRS à Bruxelles ». 

L’an prochain, le Télévie Luxembourg aura de nouveau lieu au mois d’avril. Le rendez-vous de la générosité est d’ores et déjà en marche : « samedi soir après l’arrêt du compteur, nous avons encore eu de généreux dons. Ils sont déjà versés au compte du Télévie 2022 !», conclut en souriant sa coordinatrice.  

Trek’in Gazelles : un projet Télévie 100% féminin

Le concept

Le Trek’in Gazelles se déroule sur 6 jours avec 4 étapes à parcourir. Contrairement à un trek classique, les équipes, composées de 3 personnes, déterminent elles-mêmes leur parcours. Chaque jour, elles devront rallier différentes balises en parcourant la plus courte distance possible. Tous les matins, les participantes recevront un roadbook pour découvrir leurs balises du jour. En fonction de cela, il leur faudra analyser la carte, appréhender les difficultés du terrain et choisir le parcours le plus court possible.

L’objectif ? Pointer un maximum de balises en faisant un minimum de kilomètres. À la fin, le classement est établi en additionnant ces kilomètres parcourus et les éventuelles pénalités de chaque team.

Anne Laurent, membre du trio des Mamz’elles explique : « En 2019, nous sommes parties en duo sur un raid en Laponie. Nous y avons rencontré une journaliste, qui est notre amie aujourd’hui, qui était ambassadrice du Trek’in Gazelles. C’est elle qui nous a proposé de refaire ce trek. Nous avions envie de repartir vers une dimension aussi bien sportive que caritative,  avec l’organisation bienfaisante. »

L’équipe

La Team Mam’zelles est composée de 3 mamans : Anne, gynécologue obstétricienne; Michèle, spécialiste dans la protection de la jeunesse; et Valérie, dernière arrivée du trio, logopède.

Toutes trois souhaitaient prendre part à un évènement regroupant des équipes entièrement féminines, composées de femmes engagées, déterminées et partageant les mêmes valeurs.

« Nous suivons un programme hebdomadaire assez strict pour nous préparer. Une personne nous coache avec des exercices appropriés. C’est un évènement qu’il faut absolument préparer en amont », rajoute Anne Laurent.

La cause soutenue

Les trekkeuses marcheront pour une cause qui leur est chère : le TELEVIE.

« Le Télévie est une cause qui nous parle à toutes les trois. Je suis gynécologue, j’ai donc travaillé au niveau scientifique. De plus, je connais de nombreuses personnes qui travaillent au FNRS. Mes deux collègues, Michèle et Valérie, évoluent elles aussi dans le domaine. Nous avons été énormément touchées par tout ce qu’il s’est passé Post-COVID, par rapport à l’état, au mal-être des autres. Au niveau des cancers, de nombreuses personnes ont notamment été détectées trop tard. Ce projet centralise toutes nos attentes et aspirations, ainsi que notre rôle de mamans », précise A. Laurent.  

Elles espèrent sensibiliser un maximum de personnes sur les réseaux sociaux afin de récolter des fonds qui seront versés au FNRS et qui feront ainsi avancer la recherche scientifique.

Comment soutenir le projet ?

Vous pouvez suivre l’aventure des Mamz’elles sur :

 Pour faire un don :

https://parrainage.televie.be/projects/team-mam-zelles-trek-in-des-gazelles

Le Séminaire Télévie : une journée très attendue par les chercheurs

Un moment d’échange et de partage

Le Séminaire Télévie représente une occasion inestimable pour les chercheurs qui y ont la possibilité de faire part de leurs dernières avancées dans la lutte contre le cancer. Ils prennent connaissance du travail réalisé par leurs confrères. C’est également, une opportunité pour eux d’établir certaines collaborations pouvant s’avérer utiles dans l’avancée de leur projet.

Une expérience bénéfique pour les jeunes scientifiques

Cette année, des workshops répartis sur base de 3 thématiques différentes leur ont été consacrés. En effet, certains d’entre eux ont eu l’opportunité de présenter leurs projets de recherche aux autres scientifiques durant ces ateliers, de quoi apporter une expérience gratifiante pour ces jeunes scientifiques.

« Cela nous permet d’amener de nouvelles idées auxquelles nous n’aurions peut-être pas pensé. De plus, cela nous permet de connaître les sujets des autres chercheurs et de comprendre sur quoi ils travaillent. On se crée un réseau en discutant avec d’autres scientifiques, j’ai découvert que certains travaillent sur les mêmes molécules que moi » explique Charlotte Pilard, doctorante en 4e année ayant eu la chance de faire part de son projet de recherche sur l’immunothérapie dans le cancer du sein triple négatif.

Une recherche fondamentale indispensable

Les chercheurs financés par le Télévie travaillent sur des recherches dites fondamentales, mais également translationnelles, qui s’avèrent primordiales pour mieux comprendre le cancer et son fonctionnement. « La recherche fondamentale, c’est la compréhension du cancer qui permet de transposer par la suite vers les applications utilisées pour le cancer. Cette phase de compréhension est essentielle afin d’apporter de nouveaux diagnostics et des traitements innovants » estime François Fuks,professeur à l’ULB et promoteur Télévie. Cette année, 3 thématiques principales ont été abordées : la génomique et les biomarqueurs, le microenvironnement de la tumeur et le métabolisme, de quoi constituer des pistes prometteuses dans la lutte contre le cancer.

Une persévérance à toute épreuve pour la bonne cause

À travers ce séminaire et par les différentes avancées exposées, on a pu voir que les chercheurs travaillent toujours aussi dur malgré la crise sanitaire. «Le Télévie, c’est 40 % du financement de la recherche contre le cancer en communauté française de Belgique. C’est pourquoi la générosité des gens est absolument indispensable pour poursuivre au mieux nos recherches sur le cancer. » explique François Fuks.

C’est grâce aux chercheurs que de nouvelles découvertes peuvent voir le jour, alors n’hésitez pas à les soutenir en faisant un don au profit du Télévie pour faire avancer la recherche et combattre ensemble la maladie

Les legs en faveur d’une bonne cause

Pourquoi faire un testament ?

L’établissement d’un testament permet de choisir la manière dont ses biens seront répartis entre ses proches après son décès et de déroger à certaines dévolutions légales. Il permet également d’optimiser fiscalement ce qui reviendra aux héritiers.

Comment rédiger son testament ?

Il existe deux façons principales de faire un testament :

– le testament notarié : il se fait via un notaire et coûte une centaine d’euros. Ce type de testament est toujours plus conseillé, il constitue une plus-value, car les testamentaires peuvent bénéficier d’un accompagnement professionnel.

– le testament olographe : il s’agit de rédiger soi-même son testament sans faire appel à un notaire. Le document est valable à partir du moment où il est signé et daté. Les seuls frais à payer sont les coûts de dépôt au registre central des testaments, qui constitue une étape primordiale afin qu’il soit bien conservé.

Comment inclure une bonne cause dans son testament ?

La désignation de l’entreprise doit s’y retrouver, de manière claire, non discutable et non contestable. Le meilleur outil est d’utiliser le numéro d’entreprise de la bonne cause qui peut être trouvé sur son site ou sur la Banque-Carrefour des Entreprises.


Pour plus d’informations, n’hésitez pas à prendre contact avec un des membres de testament.be. La plateforme a à sa disposition 2 experts juridiques qui pourront vous fournir un accompagnement personnalisé et vous aider dans vos démarches.

Qu’est-ce qu’un legs ?

Un legs est le fait de transmettre via un testament ses avoirs mobiliers et/ou immobiliers à un bénéficiaire. Toute personne, peu importe son âge, peut faire un legs tant qu’elle est majeure, saine d’esprit et capable juridiquement parlant. Si besoin est, il peut même être revu et modifié à tout moment.

Il existe 3 types de legs :

– le legs universel : on lègue tous ses avoirs à une ou plusieurs personnes ;

– le legs à titre universel : on lègue une partie de ses avoirs à une ou plusieurs personnes ;

– le legs particulier : on lègue un avoir bien précis tel qu’une voiture, un meuble, etc.


Y a-t-il une différence entre un legs et une donation ?

Oui, contrairement à un legs, une donation se transmet de son vivant via un acte. Celle-ci ne peut être revue, nous ne pouvons pas revenir en arrière après avoir entamé une telle démarche. Quand l’acte de donation est établi, le bien appartient au bénéficiaire. A ne pas confondre avec le don qui est le fait de remettre directement au bénéficiaire un bien sans passer par certaines formalités.

Qu’est-ce que le legs en duo ?

Le legs en duo consiste à léguer une partie de sa succession à un de ses proches et une autre à une bonne cause. Ce premier ne devra payer aucun droit de succession, tout est pris en charge par l’association choisie. Cette technique est très intéressante fiscalement, particulièrement pour les personnes qui n’ont pas d’héritiers en ligne directe et qui souhaitent tout de même léguer une partie de leur succession à des parents plus éloignés ou à des amis.

Plus d’informations ICI


Le cancer colorectal : mieux le dépister pour mieux le vaincre

Le cancer colorectal se développe sur la muqueuse interne de notre intestin et/ou de notre rectum, sous forme de polypes d’abord bénins (adénomes) qui se transforment ensuite très lentement (souvent au bout d’une dizaine d’années) en cancers. Dans la plupart des cas, c’est la partie terminale du côlon qui est touchée, d’où le nom colorectal On dénombre peu de symptômes particuliers aux premiers stades de la maladie, d’où l’importance d’un dépistage : on fera néanmoins attention à d’éventuelles traces de sang dans les selles, à un changement persistant de leur rythme, à un amaigrissement inexpliqué ou encore à des maux de ventre persistants. 

Les progrès de la recherche

Ce type de cancer est-il causé par notre alimentation (trop de viandes rouges, trop de graisses animales, pas assez de fibres) ? Pour le Professeur Marc Van den Eynde, chef de clinique associé aux Cliniques universitaires Saint-Luc, à Woluwé, et dont les travaux de recherche sont soutenus par le Télévie  « ce n’est pas prouvé ! On parlera plutôt dans ce cas de facteur associé au cancer colorectal. Ce n’est pas comme pour le tabac et le cancer du poumon, où le facteur risque est clairement établi.

Les deux vrais éléments à tenir en compte sont l’âge (plus de 50 ans) et l’hérédité. Dans 25 % des cas, ce cancer trouve ses origines dans notre historique familial. Si l’un de vos proches (parents, frère ou soeur) a souffert de polypes ou d’un cancer colorectal et que vous n’avez pas 50 ans, vous avez tout intérêt à vous faire dépister dès l’âge de 40 ans ». 

L’analyse des gènes des tumeurs colorectales permet de prédire leur évolution ou leur réponse à certains traitements. Les progrès de la recherche ont ainsi permis ces dernières années de mieux stratifier les cancers colorectaux. « Quatre ou cinq sous-groupes de ces adénocarcinomes du côlon ont pu être établis, grâce à l’analyse génétique des tumeurs. Cela permet de mieux personnaliser chaque traitement (chimiothérapie, immunothérapie, thérapie ciblée) en fonction du type de cancer colorectal dont souffre le patient, explique encore le Professeur Marc Van den Eynde. Il y a dix ou quinze ans, on soignait encore tous les cancers colorectaux de la même manière ! L’immunothérapie peut s’appliquer contre un marqueur tumoral connu HER2 (stimulateur de la croissance tumorale)  ou inconnu (On libère les freins des cellules immunitaires et on facilite leur entrée dans le milieu tumoral).

Les promesses de la recherche sont énormes !

En revanche, l’arsenal thérapeutique chimiothérapique a peu évolué par rapport à il y a 15 ans. Les médicaments restent les mêmes dans 90 % des cas. Mais on adapte mieux ces molécules aux sous-groupes définis plus récemment. Donc, les résultats sont quand-même meilleurs ». 

Un impact visible

Grâce aux progrès de la médecine, le nombre de cancers du côlon diminue d’année en année ! De 9715 cas en Belgique en 2014, on est passé à 7860 en 2018. 55% des cas sont constatés chez les hommes. « Tous stades confondus, les chances de survie relative à 5 ans sont aujourd’hui de 72 %, mais de 20% seulement au stade IV, d’où l’importance d’une détection précoce », précise Julie Francart, directrice au Registre du Cancer. « Si par contre, explique Marc Van den Eynde, le cancer est détecté à un  stade précoce, les chances de guérison à 5 ans sont de 90 % ». D’où l’importance du dépistage.

Or, on est encore loin du taux de dépistage souhaité au sein des 50-74 ans. Le test n’est pratiqué que par 11% de la population bruxelloise, et 18 % de la population wallonne, contre plus de 50 % en Flandre. Ce pourcentage devrait idéalement avoisiner les 60 % !

Comment procéder ?

Si vous avez entre 50 et 74 ans, vous êtes censé(e) avoir reçu au moins une fois chez vous un courrier vous invitant à vous procurer un kit de dépistage. Votre médecin généraliste vous le fournira gratuitement lors d’une consultation.

Ce test consiste à prélever vos selles et à les envoyer par la poste dans un laboratoire qui les analysera. Très fiable, ce test immunologique permet de détecter des traces de sang dans vos selles. Dans 97 % des cas, il s’avère négatif. Dans le cas contraire, une colonoscopie est alors pratiquée. Elle permet de trouver d’éventuelles lésions ou polypes qu’il vaut mieux ôter. Si un cancer est diagnostiqué, sa prise en charge sera ainsi plus rapide, et ses chances de guérison accrues. Ce test de dépistage doit être répété tous les deux ans, étant donné la lente évolution du cancer du côlon.

Comment réduire le risque de ce type de cancer ?

Une seule consigne pour le Professeur Marc Van den Eynde : « faites le dépistage tous les deux ans ! C’est le meilleur moyen de réduire le risque. Et ce même si vous ne ressentez rien. Le cancer du côlon est un tueur silencieux. Si vous avez des symptômes, c’est déjà tard ! ».

Et si vous voulez mettre tous les atouts de votre côté, précise le Docteur Anne Boucquiau, directrice médicale de la Fondation contre le Cancer, veillez à adopter une alimentation saine :  augmentez votre consommation de fibres (légumes verts, légumes secs, céréales peu transformées), consommez davantage de laitages.

Evitez le plus possible l’alcool et le tabac. L’association des deux multiplie par 8,6 le risque de cancer colorectal ! Limitez au maximum votre excédent de poids. Enfin, augmentez votre activité physique : c’est prouvé : elle diminue de 18 à 29 % les risques de cancer du côlon.  

Achetez votre maillot « Cyclos du cœur »

Depuis 13 ans déjà, les cyclistes se mobilisent avec passion pour venir en aide au Télévie. Cette année encore, ils sont toujours présents et plus que jamais déterminés à apporter leur soutien, malgré la situation actuelle, ils ne lâchent rien et ne cessent de se réinventer.

En 2019, Jean-Michel Zecca et 256 cyclistes s’étaient engagés dans l’ascension du Mont Ventoux avec pour objectif de récolter des fonds pour le FNRS. Ce fut vraiment un moment fort pour les cyclos où bon nombre de personnes étaient venues y participer, avec pour la plupart des histoires très touchantes. « Pour certains, cette ascension du Ventoux était vraiment une espèce de pèlerinage durant lequel ils ont pu sortir leurs émotions, il y a eu pas mal de larmes au sommet du Ventoux et cela a été très émouvant. » nous raconte Marc Duthoo, Responsable des partenariats chez RTL Belgium.

D’ailleurs, cet évènement marquant a donné naissance aux Cyclos du Cœur ,«L’idée était de réunir en une communauté unique tous les cyclistes qui se mobilisaient pour une seule et même cause, le Télévie » poursuit Marc.

Cette année encore, ils prouvent leur engagement et investissement sans faille en trouvant des alternatives pour soutenir le Télévie malgré l’interdiction de tous grands rassemblements. Il ne leur a malheureusement pas été possible d’organiser la montée du Galibier qu’ils ont d’ailleurs décidé de reporter à l’année prochaine. Pour les intéressé(e)s, elle aura lieu du 17 au 20 juin 2022 au Club Med de Serre-Chevalier. Notez bien la date dans votre agenda, cet évènement est à ne pas manquer! D’autres initiatives ont été lancées dans le même esprit cyclo, parmi celles-ci, ils ont notamment décidé de mettre en vente 500 maillots exclusifs aux couleurs des Cyclos du Cœur.

En le portant, vous montrerez fièrement que vous faites partie de cette extraordinaire communauté composée actuellement de près de 1000 membres. Bon à savoir, la communauté des Cyclos est informée en priorité des activités organisées via la newsletter des Cyclos du Cœur (ou la page Facebook des Cyclos du Cœur) et bénéficie de certaines réductions sur les différentes organisations des Cyclos du Cœur.

Le prix : 60€

Clôture des commandes, le 19 avril !

Vous êtes intéressé(e) ? Cliquez ICI pour le commander en ligne.

Ce qui fait avant tout la force de ce mouvement, ce sont tous les cyclos qui décident d’y participer. N’hésitez donc pas à rejoindre cette belle communauté de personnes passionnées et engagées au service du Télévie. N’hésitez pas non plus à rejoindre le groupe Facebook des cyclos du Cœur.

Vous souhaitez rouler aux couleurs complètes du Télévie ? Pas de soucis, grâce à BIORACER, notre partenaire, toute une gamme d’accessoires (cuissard, maillot manches longues, casquette, gants, manchons, collant long, etc…. ) sera également bientôt disponible et en plus, la bonne nouvelle…,  BIORACER s’engage à verser 10% du prix de vente au Télévie.. Le lien et plus d’infos un peu plus tard !

25 ans d’écart

Alice a 30 ans. Elle est influenceuse. Sur Instagram, une communauté de 2.300 followers, patients ou non, suivent les péripéties de cette « Cancer survivor ». C’est dire si la maladie fait partie intégrante de son identité.
« Pour surmonter cette épreuve, à 28 ans, j’ai eu besoin de créer du lien », explique Alice, « de parler avec des personnes qui vivaient la même chose que moi et de véhiculer une image positive de la “fille qui a un cancer”. J’ai parlé de toutes les étapes de la vie avec ”Crabby“, même des aspects compliqués à gérer : l’aplasie, les allers-retours aux urgences, etc. ». C’est là une des principales différences avec Sarah, 45 ans. Son cancer, quand elle avait 19 ans, elle voulait absolument « qu’il ne se voie pas ». « Je me maquillais pour cacher mon teint pâle : il était fondamental pour moi de camoufler la maladie afin qu’on ne me prenne pas en pitié. »

Concrètement, là où l’une tient farouchement à contrer la perte de ses cheveux (« je portais un casque de glace pendant chaque séance de chimiothérapie, c’était affreusement douloureux mais la seule façon, me disait-on, de garder ce qui restait de ma féminité », détaille Sarah), l’autre devance les effets secondaires, se rase la tête et exhibe fièrement son crâne chauve. « Je préférais assumer complètement le fait d’être malade, je ne voulais pas faire semblant que tout allait bien », raconte Alice.


Soigner la maladie, pas la personne
C’est une question d’époque : Sarah n’avait pas Internet pour s’informer, pas de réseaux sociaux pour échanger, pas de conseillère en image pour la coacher, pas de psy pour la soutenir, pas de thérapies alternatives pour la renforcer. « Il s’agissait alors de soigner la maladie, pas la personne », résume-t-elle. « Aucune attention n’était encore portée au bien-être du patient. On se retrouvait donc seul avec ce diagnostic qui sonnait comme une sentence de mort. Car pour moi, un cancer, c’était la fin, et le médecin ne me contredisait pas. Il m’a annoncé le protocole, sans vraiment l’expliquer. Quand il m’a parlé de chimiothérapie, je me suis imaginée enfermée dans une grande machine. Je ne savais pas du tout qu’il s’agissait d’un traitement administré par voie intraveineuse. Mais ce qui m’a véritablement brisée, c’est l’annonce que la chimio allait me rendre stérile. Un ”effet secondaire“ inévitable… », confie Sarah, qui, cinq ans plus tard, a pourtant donné naissance à sa première petite fille. « Comme quoi, il ne faut jamais perdre espoir… »
Alice, elle, savait presque tout avant de commencer son parcours de soins. Elle avait fouillé le net et pris des avis partout. Elle n’avait pas peur. « J’ai pu poser toutes les questions au médecin, qui m’a d’emblée annoncé un taux de guérison de 95%. Il m’a expliqué chaque étape du protocole. J’ai également eu le choix entre deux traitements, dont un qui préservait ma fertilité, avec la possibilité de faire prélever mes ovocytes. » Alice a pu parler, être entendue et trouver du renfort près de l’homéopathie, la méditation et le reiki.


Briser le tabou
Les options thérapeutiques ont donc évolué et, parallèlement, le regard posé sur la maladie s’est transformé au cours des deux dernières décennies. Le Télévie n’y est pas pour rien, assurent les deux anciennes patientes. « Des opérations comme celles-ci ont le mérite de briser le tabou du cancer, d’aider les gens à assumer et donc à vivre plus facilement ces périodes douloureuses », analyse Sarah.
« À mon époque, on n’en parlait même pas à la maison, ni avec mes parents, ni avec mes frères ». Le cancer était alors aussi effrayant que mal connu. « Un jour, en classe, j’ai demandé à une autre étudiante si je pouvais boire dans sa cannette », se souvient Sarah. « Elle a refusé, craignant que mon cancer soit contagieux. »
Aujourd’hui, le public, les patients et leurs proches sont mieux informés et mieux encadrés. « La diffusion d’images a permis que le physique des malades soit accepté. Un crâne chauve ne choque plus », relève Sarah.
Mais il faut continuer à briser les mythes et les tabous. Au-delà de leurs différences, Alice et Sarah se découvrent ici un point commun : elles se sentent investies d’une mission d’entraide et de communication. « Ça ne nous est pas tombé dessus par hasard »,affirment-elles ensemble, « à nous de diffuser une belle énergie et d’encourager les personnes qui débutent leur traitement ». Mission accomplie avec la vidéo de leur témoignage : allez la voir sur les réseaux sociaux et le site du Télévie.
Céline Rase

Se réinventer pour le Télévie

Depuis maintenant bientôt un an, nos bénévoles ne cessent de nous impressionner en usant de leur imagination pour organiser des activités en toute sécurité. Vous avez envie de nous aider à votre tour, mais peut-être ne savez-vous pas par quoi commencer ? Alors, vous êtes au bon endroit, nous serions ravis de vous donner un petit coup de pouce.


Nos conseils pour une activité réussie

  • N’ayez pas peur de vous lancer. Vous participerez à la lutte contre le cancer tout en sortant de votre zone de confort, que demandez de plus ? Alors, n’hésitez pas et foncez.
  • Partagez votre activité via les réseaux sociaux, c’est un excellent moyen de la faire connaître et de réunir un maximum de personnes.
  • Appliquez les gestes barrières et n’hésitez pas non plus à apporter du gel hydroalcoolique, de manière à assurer la sécurité de tous.
  • Portez le masque pour vous protéger et protéger les autres.
  • Privilégiez le Bancontact ou le paiement en ligne.
  • En organisant une activité, le Télévie pourra vous soutenir en partageant votre activité via sa page Facebook officielle quelques jours avant l’évènement.

Si vous avez des questions pour l’organisation de votre activité, posez-les-nous ICI. Nous serions ravis d’y répondre.

Parce que c’est en restant solidaire et uni que nous ferons avancer la recherche. Faisons gagner la vie !

Nous vous remercions déjà pour votre aide et votre soutien  si précieux.

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