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Le Stars Rallye Télévie revient le 12 octobre prochain. Au programme: une « parade » de véhicules électriques et hybrides haut de gamme, mais aussi la présence de voitures qui font rêver, comme des GT et supercars.

Le Stars Rallye Télévie revient pour une nouvelle édition le 12 octobre prochain et voit les choses en grand avec, au programme, une « parade » des voitures électriques et hybrides haut de gamme mais surtout la présence des voitures qui font rêver: le retour des GT et Supercars.

Parmi les voitures de luxe haut de gamme, il y a des marques comme Lotus, Genesis, Porsche, Lamborghini, Alpine, Mercedes, Jaguar, Audi, Mc Laren, Rolls Royce, Bugatti, Bentley, Ferrari… De quoi ravir les plus grands passionnés d’automobile. Et pour l’occasion, des personnalités belges, à l’instar de Sandrine Dans, Thomas de Bergeyck, Stephan Van Bellinghen, Yves Mattagne ou encore Benny B, prendront le volant de ces véhicules de luxe, accompagnées d’enfants qui luttent contre le cancer.  

Comme chaque année, le but de l’événement est de récolter l’argent nécessaire pour faire avancer les recherches contre les maladies cancéreuses des enfants. Un hommage sera d’ailleurs rendu à Delphine, plus connue sous le nom de Mademoiselle Luna, qui nous a quittés début d’année 2024. 

L’itinéraire

Le cortège prendra le départ à la ferme de Mont-Saint-Jean, à Waterloo. Les personnalités prendront ensuite la direction du domaine du Chant d’Éole à Quévy-le-Grand (région montoise), avant de reprendre la route vers le club automobile DriveCity à Nivelles. Les deux circuits, traversant tous deux la campagne montoise et marquant les mêmes pauses, dureront environ trois heures.  

Les enfants présents seront encadrés par l’ASBL Ohana, dont l’objectif est de « répandre le bonheur parmi les enfants malades ou porteurs d’un handicap en Belgique », en collaboration avec l’Hôpital universitaire des Enfants Reine Fabiola.  

Deux personnalités emblématiques

Outre les personnalités au volant de ces véhicules, les jeunes amateurs de belles voitures auront l’occasion de rencontrer l’animatrice et présentatrice météo Émilie Dupuis, qui endossera le rôle de marraine de cette édition, mais aussi le policier Bertrand Caroy, qui endossera celui de parrain.  

Les inscriptions à la parade sont possibles via le formulaire disponible sur le site internet dédié à l’événement. La somme récoltée sera entièrement reversée à la recherche contre les cancers de l’enfant.

Crédits : RTL Info

44.000 € récoltés en pédalant

Eric Nicaise a perdu sa femme en 2012 à cause d’un cancer. Depuis, chaque année, Eric récolte des fonds pour le Télévie, une cause qui lui tient particulièrement à coeur.

Il organise un voyage à vélo en solitaire, un voyage parrainé par le Télévie. Et depuis le début de son combat, il a déjà récolté 44.000 euros au total. 

Eric vient d’ailleurs tout juste de rentrer d’un voyage d’un mois en solitaire. Mais où trouve-t-il la motivation pour continuer année après année? C’est ce que nous lui avons demandé.

« C’est un voyage qui me dépasse quelque part, puisqu’ayant perdu mon épouse il y a une dizaine d’années, et puis pensant aussi aux personnes souffrantes, ce voyage est non-seulement un voyage de découverte, géographie, nature, rencontre de personnes, mais aussi aller au-delà de soi-même et penser à toutes ces personnes qui souffrent », explique-t-il.

« Et en aidant la recherche de cette façon-là, on finira par y arriver et trouver une solution à cette maladie. C’est ça qui me donne la force de pédaler, de me remettre sur le vélo tous les jours », ajoute Eric. 

Il marche 700 km à pieds nus pour le Télévie

En douze jours, Olivier Simon aura marché 700 km à pieds nus. Un défi qu’il s’est lancé pour récolter des fonds pour Télévie. Son périple a commencé à Bouillon le 17 juillet et finira au même endroit ce dimanche 28 juillet.

Ni chaussure, ni tente, ni nourriture… C’est ce qu’on appelle voyager léger. Olivier Simon a 37 ans. Il est maçon et a décidé de passer des vacances moins reposantes que d’habitude. S’il est si déterminé, c’est parce que la lutte contre le cancer a toujours été centrale dans sa vie. « Mon grand frère est décédé du cancer. Ma mère et mon petit-frère l’ont vaincu. J’ai moi-même eu une tumeur au cerveau. » Sous son chapeau se cache en effet une cicatrice qui lui rappelle pourquoi il se bat. Chaque jour, il veut marcher 70 km, peu importe la difficulté. « Si j’ai mal, c’est que je suis bien vivant« , lance-t-il.

Des difficultés physiques

Après deux jours de marche, Olivier Simon avait déjà des brûlures aux pieds à cause de la chaleur du bitume. Il soigne ses blessures et piqûres grâce aux plantes et des pommades naturelles. En milieu d’aventure, il a aussi dû faire un détour par l’hôpital pour un blocage du genou. Mais le maçon n’est pas du genre à jeter l’éponge si rapidement.

« Tout est dans le mental »

« Quand on pense être à bout de force, on est qu’à 40%, explique Olivier Simon, ce que j’aime faire, c’est aller puiser dans mes réserves. » Un pas après l’autre, il se dépasse et ne dort pas beaucoup : environ trois heures par nuit et quelques siestes en journées.

Un régime particulier

Olivier Simon a une connaissance très pointue des plantes. Il en mange tout au long de son parcours. « Dans chaque plante, il y a un peu de protéines. Elles me procurent l’énergie suffisante« , affirme-t-il. Le marcheur a également trouvé un poisson en bord de Meuse. « Une aubaine pour moi », a-t-il déclaré en vidéo sur sa page Facebook « Sauvage et sans chaussure ».

Qu’y a-t-il dans son sac ?

Lampe de poche, couverture de survie, une pommade, un couteau et des plantes trouvées sur le chemin : c’est à peu près tout ce dont Olivier Simon a besoin. Sans compter son capteur GPS qui permet à ses deux amis de le suivre. Maxime Lallemand a organisé le périple en amont. Il a tracé le parcours en veillant à ce qu’il soit composé de segments de 70 km pour chaque jour. Il a pris des rendez-vous avec les kinésithérapeutes volontaires dans les différentes régions. Finalement, il a également dû organiser certaines arrivées en présence de public, avec la possibilité de boire un verre et de manger un pain saucisse pour soutenir Olivier Simon et Televie. L’arrivée finale aura lieu à Bouillon, à quelques pas du village français d’Olivier, Escombres-et-le-Chesnois.

Cendric Everarts

Crédits : TV Lux

La cantatrice belge Jodie Devos emportée par un cancer à 35 ans

La cantatrice belge Jodie Devos est morte emportée par un cancer dimanche, à l’âge de 35 ans, a annoncé l’agence qui la représentait.

« C’est avec une infinie tristesse que nous vous annonçons le décès de notre artiste Jodie Devos survenu à Paris ce 16 juin 2024 », a écrit sur Facebook l’agence Intermezzo, qui gérait sa carrière depuis 2016.

Cette soprano, « considérée comme l’une des artistes lyriques les plus talentueuses de sa génération », est morte « des suites d’un cancer du sein qui l’avait contrainte à annuler plusieurs engagements », a précisé Intermezzo dans un communiqué.

Elle devait ainsi normalement chanter dans l’opéra « L’Olimpiade » d’Antonio Vivaldi au théâtre des Champs-Elysées à Paris, à partir du 20 juin.

Formée à Namur, à Londres et à l’Académie de l’Opéra-Comique à Paris, elle s’était produite sur de nombreuses scènes en Europe, ainsi qu’à Bombay ou à Québec.

Les Cyclos du Cœur à Joux Plane (Samoëns) : « Le Soir » a pris la roue…

La quatrième édition des Cyclos du Cœur, organisée dans le cadre du Télévie, avait lieu ce vendredi. Au total, 385 cyclistes amateurs ont gravi un col mythique du Tour de France.


Ce vendredi 7 juin a eu lieu la quatrième édition des « Cyclos du Cœur », une manifestation sportive organisée dans le cadre du Télévie (RTL). Le défi était de gravir un col mythique du Tour de France. La première édition fut initiée en 2019 au mont Ventoux par l’animateur de RTL Jean Michel Zecca, toujours debout sur les pédales ce vendredi pour animer le quatrième opus. Le défi de cette année a emmené 385 cyclistes amateurs à 1.700 mètres d’altitude dans un serpentin de virages : « le col de Joux Plane », classé HC catégorie par l’UCI au Tour de France. Le bien nommé est situé en Haute-Savoie. Sur la route des Grandes Alpes, il relie les beaux villages de Morzine et de Samoëns. D’une longueur de 11,6 km, il affiche une pente moyenne monstrueuse de 8,5 %. Ce vendredi, le parcours était long de 40 km pour 1.200 D+.

En Belgique, toutes les heures, huit personnes sont diagnostiquées du cancer. Les fonds récoltés par le Télévie via ce challenge (plus de 100.00 euros en 2023) et déjà 60.000 euros en 2024 sont intégralement versés à la recherche contre le cancer. C’est Marc Duthoo de RTL qui est le chef d’orchestre de cette manifestation qui demande une organisation titanesque. Ici, point de chronomètre à l’arrivée. Seulement de belles émotions parfumées de sueur. Une façon « si possible » de comparer les difficultés ressenties par les personnes atteintes d’un cancer et la difficulté engendrée par l’exercice sportif demandé.

Le parrain de cette année s’appelle Gilles Van de Spek. Atteint d’un cancer incurable, il a 36 ans. Gilles a créé une philosophie qui s’appelle le « Profitivisme ». Un courage et un respect absolu à l’écoute des patients atteints. Pour exemple encore l’artiste Florian Caucheteux atteint de trois cancers (47 ans) a versé 12.000 euros au Télévie via la vente de ses œuvres. Le Soir et ses valeurs humanistes voulaient comme l’année dernière s’associer physiquement à ce défi. C’est fait !

Votre serviteur et 384 autres ont tout donné pour essayer d’atténuer un peu la souffrance des autres et tenter d’éradiquer cette « saloperie » en contribuant financièrement et physiquement. Rien n’est encore gagné alors on continue de pédaler avec le Télévie. Le Soir a pris la roue de l’empathie… Respect à tous et toutes !

Crédits : Le Soir, Dominique Gobert

Ce Pollinois va grimper le col de Joux Plane à vélo pour le Télévie

Florian Caucheteux, de Polleur, se lance un nouveau défi pour la bonne cause. Il participera en juin aux Cyclos du Cœur du Télévie qui se dérouleront à Joux Plane en France.

Opéré de plusieurs tumeurs au cerveau entre 2019 et 2021, Florian Caucheteux, connu aussi sous le nom d’artiste Florkey, a à cœur de soutenir la recherche contre le cancer. En 2022 et 2023, celui-ci avait déjà organisé Résili’art, une expo-vente d’œuvres d’art réalisées par lui-même et d’autres amis artistes qui a permis de récolter quelque 19 400 € pour le Télévie.

Stable depuis 2023, le Pollinois a décidé cette fois de s’investir différemment. De manière plus sportive. “J’ai toujours fait beaucoup de vélo, depuis gamin, raconte Florian Caucheteux. J’ai commencé le VTT il y a 20 ans et il y a une dizaine d’années, je m’étais inscrit au club Spa VTT.” À l’époque, il avait également pris part à des compétitions amateurs telles l’Ardennes Trophy. Pas étonnant donc qu’à chaque fois qu’il va mieux l’une des premières choses qu’il fait est d’enfourcher son deux-roues, électrique désormais. “Au mois de septembre, je suis parti trois jours avec un ami faire le Ride The Track, pour le fun, dans la Drôme. C’était très dur, très technique mais très chouette.”

Le nouvel objectif qu’il s’est fixé n’est pas anodin non plus. Il s’apprête à prendre le départ, le 7 juin prochain, des Cyclos du Cœur, mené par l’animateur de RTL-tvi Jean-Michel Zecca. Cette année, après l’Alpe d’Huez en 2023, l’initiative solidaire prévoit l’ascension du col de Joux Plane, où le Tour de France est déjà passé onze fois. Situé entre Samoëns et Morzine, dans le massif du Chablais, en Haute-Savoie, il s’étire sur 11,6 km et présente 8,5 % de pente moyenne. “Je savais que mon ami Jean-Thomas Coumont, de Theux, dont la fille, Célia, s’est battue contre la leucémie, a participé aux Cyclos du Cœur à plusieurs reprises, explique Florian Caucheteux. Quand j’ai vu qu’il le refaisait, j’ai trouvé que ce serait sympa de le tenter aussi.”

En vue de ce challenge, le Pollinois s’entraîne de façon sérieuse au minimum trois fois par semaine (en alternant avec des moments de récupération). Une rigueur bien nécessaire. D’autant qu’ici, il roulera sur un gravel musculaire, c’est-à-dire sans assistance. “Le col de Joux Plane est quand même mythique. L’idée est que cela se passe bien et que j’éprouve du plaisir”, confie-t-il. C’est tout ce qu’on lui souhaite !

À la recherche de parrainage

Le but de cet exercice sportif est également de récolter des fonds pour la recherche. De ce fait, il est d’ores et déjà possible de parrainer la performance de Florian Caucheteux. « J’ai déjà recueilli 270 €, c’est super », se réjouit-il. Les dons peuvent se faire en ligne et à partir de 1 €. Il espère pouvoir atteindre 1000 €.

Florkey recherche aussi des personnes, propriétaire de VTT ou de gravel, pour venir rouler avec lui en semaine ou le week-end, au départ de Polleur (parcours d’une durée de 2h30 à 3 heures).

Infos : www.florkey.be ou https ://bit.ly/3TWRd45

Crédits : L’avenir

Participez aux 20 km de Bruxelles au profit du Télévie

Coureurs et marcheurs, enfilons nos baskets et soutenons la recherche contre le cancer !

Dès aujourd’hui, les inscriptions sont ouvertes pour participer aux 20 km de Bruxelles, le dimanche 26 mai 2024, sous les couleurs du Télévie.

Au-delà de l’évènement sportif, ce défi des « 20 km de Bruxelles » est plus que jamais le rendez-vous de la solidarité ! Une nouvelle fois, le Télévie prendra le départ de cette course mythique.

Comment s’inscrire ?

Merci de continuer à #toutdonner !

Bénévoles : un vécu différent, mais un même objectif

Le 5 décembre, c’est la Journée mondiale des Bénévoles. L’occasion pour nous de dire « merci » à celles et ceux qui oeuvrent tout au long de l’année pour la réussite du Télévie. L’occasion aussi de les mettre en lumière. Et pour cela, partons à la rencontre de quatre d’entre eux : Georges, Vinciane, Sofiane et Patrick. Certains organisent depuis très longtemps des événements au profit du Télévie. D’autres ont franchi le pas cette année. Mais tous ont la même envie : apporter une contribution significative à la recherche dans la lutte contre le cancer.

Patrick a 60 ans. Il participe au Télévie depuis 26 ans ! Un fameux bail. Tout a commencé à l’issue d’un team building de la police d’Ixelles, dont il fait partie, où l’idée a germé d’organiser une course de karting au profit du Télévie. Le but était de récolter 100.000 francs belges de l’époque (2.500 €). « Au lieu de 100.000 BEF, on a collecté 275.000 BEF. Et comme autour de nous, de plus en plus d’enfants étaient atteints par la leucémie, et que d’année en année, le cancer a fait des ravages au sein de la police et de mon entourage, nous avons continué. Tournois de pétanque, brocantes, marchés de Noël, concerts, théâtres, sans compter la vente des produits : nos activités sont très variées. Nous allons même jusqu’à Enghien et à Anderlecht pour les vendre sur les marchés de Noël. »

Vinciane, 53 ans, habite en province du Luxembourg. Elle a regardé le Télévie avec ses parents depuis les débuts de l’opération. « J’ai perdu mon père, il y a 24 ans, d’un cancer de l’oesophage. J’ai moi-même été atteinte d’une tumeur à la tête et d’une autre au sein. Depuis plusieurs années, je fais partie avec ma fille du call center qui reçoit les appels lors de la soirée de clôture. » Cette année, Vinciane franchit un nouveau cap. Elle a décidé de mettre encore plus son talent d’artiste au profit du Télévie. « Je suis artiste peintre, et je trace chaque année le portrait des artistes qui viennent se produire lors de la soirée clôture. J’ai donc décidé d’organiser une journée, le 9 mars prochain, à Rendeux, pour montrer que les artistes et les artisans ont du coeur. En même temps, je vais réaliser une fresque avec les enfants hospitalisés en oncologie, sur le thème : « Dessine-moi ton plus beau rêve ! ». Cette fresque sera vendue au profit du Télévie et Sophie Pendeville (ndla., animatrice RTL) en sera la marraine. »

Au contraire de Vinciane, Georges fait figure d’ancien parmi les bénévoles. À 60 ans, le président du CPAS de Philippeville participe activement pour la 15ème année consécutive à l’opération. « J’ai perdu mon beau-père d’un cancer foudroyant à l’âge de 60 ans. J’étais révolté parce qu’il n’a pas eu le temps de connaître sa petite-fille alors âgée de 6 mois. Et je me suis dit qu’il fallait faire quelque chose. Mais c’est la mort de ma soeur également d’un cancer, à 56 ans, qui a véritablement servi d’élément déclencheur. Je suis allé louer une salle à Philippeville, j’ai formé un comité, et j’ai organisé un souper, et puis d’année en année toute une série d’autres activités. J’en suis à présent à huit ou neuf par an. »

Enfin, Sofiane a 36 ans. Il est bénévole depuis plus de quinze ans dans une ASBL qui organise des cours d’escrime ludique un peu partout en Belgique. Avec son association, iI a voulu cette année faire profiter une bonne cause, des bénéfices dégagés par les activités que son ASBL met sur pied. Et leur choix s’est porté sur le Télévie, une organisation à la fois belge et fiable. Pour le Télévie, Sofiane et ses amis ont décidé de créer un tournoi d‘escrime ludique. Un tournoi en armures ou en costumes, organisé à Charleroi.

Être bénévole pour le Télévie, ça prend beaucoup de temps ?

Vinciane : « Je me lève Télévie, et je dors Télévie ! Je dois me calmer, je n’arrive pas à dormir parce que je pense à cela tout le temps. Je me dis que c’est la première fois que j’organise quelque chose et qu’après ça ira mieux. On a envie qu’il y ait du monde, que les gens soient heureux ce soir-là, que les enfants soient souriants. »

Georges : « En tant que bénévole, je travaille pratiquement tous les jours pour le Télévie. On ne récolte pas 55.000 € chaque année sans y travailler quotidiennement. Il y a les commandes de produits, les autorisations, le courrier à gérer, il y a plein de choses à faire. Il faut trouver des sponsors qui ont les moyens. Je suis commercial à la base. Je connais beaucoup de monde. J’essaie de m’entourer de gens qui peuvent me faire rapporter de l’argent pour le Télévie. »

Le bon bénévole, c’est qui ?

Sofiane : « C’est quelqu’un de motivé et surtout de fiable ! Le vrai problème c’est qu’il y a beaucoup de gens qui ont de bonnes intentions au début, mais qui ne sont pas fiables, ni sur le moyen ni sur le long terme. Le vrai bénévole se distingue par sa fiabilité. »

Patrick : « Il doit se sentir concerné par la cause. Il faut des gens honnêtes. On joue quand même avec de l’argent, des produits. »

Dès qu’une édition est terminée, on pense à la prochaine ?

Georges : « Parfois, on en a deux à penser en même temps. J’espère continuer encore de nombreuses années, tout en préparant déjà la relève ».

Vinciane : « J’ai déjà plein d’autres choses en tête. En plus, on vendra des produits Télévie lors d’autres activités. »

Sofiane : « Pour l’avenir, nous voulons continuer à organiser un événement, mais vu le manque d’engouement pour notre tournoi, nous ignorons encore sous quelle forme cela se fera. »

Patrick : « Avant qu’elle soit terminée, on prépare déjà la suivante. Il faut demander des autorisations longtemps à l’avance, remplir des dossiers en ligne. Cela prend du temps. Cela ne s’arrête jamais. »

Dominique Henrotte

Le Télévie News 11 est sorti et est disponible sur notre site televie.be

À table ! Le tome 3 du livre de recettes du Télévie est servi !

Pour le Télévie, de nouvelles personnalités se sont lancées un défi drôlement savoureux : concocter des petits plats faciles et gourmands sous l’œil vigilant de nos chefs préférés !

« À Table », le nouveau livre de recettes du Télévie est exclusivement en vente dès maintenant dans toutes les librairies CLUB et sur notre site televie.be dès le 3 janvier, au prix de 20 euros.

Soutenez le Télévie tout en vous régalant !

Achetez un sapin chez Ring Twice pour faire un don au Télévie

Les fêtes approchent et l’envie intenable de mettre son sapin de Noël est là ! Cette année encore, Ring Twice soutient la recherche contre le cancer en proposant la livraison à domicile de sapins Nordmann 100% belges. À chaque sapin commandé, 5 euros sont reversés au Télévie. Un beau geste pour la fin d’année et une belle façon de faire un don et de nous soutenir.

Comment passer commande ? 
C’est très simple, on vous montre le chemin par ici !

Où et quand ? 
Les livraisons sont possibles dans les 19 communes de Bruxelles et dans les provinces du Brabant-Wallon, Brabant-Flamand, d’Anvers et de la Flandre-Orientale, dès ce samedi 2 décembre jusqu’au dimanche 17 décembre 2023. 

Facilitez-vous la vie tout en contribuant à la recherche contre le cancer !

Un voyage de 1400km à vélo pour le Télévie

Eric Nicaise est un professeur de langue au grand cœur. Il vient de terminer son 5e grand périple à vélo en reliant Saint-Jacques-de-Compostelle et tout cela pour la bonne cause du Télévie. 

Après 1 400 kilomètres et 27 jours de route, Eric était content de retrouver ses proches, même s’il assure ne jamais avoir été solitaire. « Le voyage seul peut avoir des avantages en ce sens que vous pouvez aller vers les gens et que les gens viennent vers vous. On se vide l’esprit, on se reconnecte à la nature pendant un mois. On se déconnecte des réseaux sociaux, des informations et de tout ce qui nous entoure qui sont parfois trop négatifs.« 

Cet habitant de Marcinelle a récolté 28 000 euros pour la recherche contre le cancer, une cause qui lui tient particulièrement à cœur. Il y a 10 ans, sa femme Bénédicte est décédée de cette maladie. 

« La recherche a énormément progressé. C’est un peu ce qui me motive. Cette motivation me donne une dimension supplémentaire pour le voyage. Quand ça devient dur physiquement, je me rappelle de tout ça« , confie-t-il à notre micro.

Le rêve d’Eric serait à présent de parcourir la Nouvelle-Zélande et d’écrire un livre pour partager son voyage.

Pourquoi je donne au Télévie ?

Pour aider la recherche, bien sûr, mais pas que. Si nous sommes si nombreux à donner de l’argent et/ou du temps, c’est parce que, 35 ans après sa première édition, le Télévie fait partie de notre quotidien.

« En 2008, raconte Corinne, j’ai eu l’occasion d’assister à un concert donné par Jean-Charles De Keyser pour le Télévie. La présentation était faite par le Professeur Arsène Burny, et une de ses phrases m’a marquée. Il a dit qu’en 1989, au début du Télévie, un enfant frappé par la leucémie n’avait qu’une chance sur deux de survivre, alors que vingt ans plus tard, grâce à la recherche, le taux de guérison dépassait déjà 80% ! Pour moi, jeune maman, ce n’était pas qu’une statistique : je ressentais toute la différence que ça pouvait faire au sein d’une famille… Depuis lors, je ne me demande même plus si je dois donner au Télévie : c’est une évidence ! » Une évidence que Myriam, Jean-Paul ou Evelyne résument à leur manière : « Je donne car il est indispensable de soutenir la recherche », « La recherche est notre seule alliée contre le cancer ! » ou « Je donne au Télévie, car les progrès de la recherche prouvent le bien-fondé de cet appel aux dons ».

Comme un cadeau

Le cancer, en effet, est omniprésent. Qui ne connaît pas, dans sa famille, ou parmi ses amis, ses collègues, ses voisins, quelqu’un qui en est atteint ? « Ma maman a été touchée par deux cancers, et aujourd’hui elle n’est plus parmi nous… » confie Christelle, du Comité de Braine-leComte. Patrick, des Œuvres policières ixelloises, se souvient que « Deux de nos collègues sont décédés d’un cancer, et, quand le fils d’un troisième a été touché par la leucémie, nous nous sommes dit qu’il fallait faire quelque chose ! » Et Christie, de l’Amicale Télévie de Lessines, constate : « Une personne de notre groupe est actuellement en rémission, alors que les médecins lui avaient donné trois mois d’espérance de vie. La voir accueillir chaque jour comme un cadeau, ça nous encourage à nous démener pour la recherche… au point d’organiser une activité par mois ! »

Résiliart

Et puis, il y a ceux qui donnent parce qu’ils sont personnellement concernés, comme le peintre Florian Caucheteux, dit Florkey. « Une tumeur au cerveau m’a obligé à renoncer momentanément à l’enseignement – je suis professeur d’art à Saint-Luc – et aux expos. Mais, comme je ne voulais pas que ma vie se limite à la maladie et aux traitements, je me suis lancé un défi : produire 100 tableaux en 100 jours, chaque tableau étant vendu 100 euros au profit du Télévie, sur un site spécial que j’ai appelé Résiliart* – pour art et résilience. Des amis artistes n’ont pas tardé à me rejoindre et, tous ensemble, nous avons pu remettre au Télévie, en 2022, un chèque de 12.100 euros ! » Pour « gonfler la cagnotte » en 2023, il a doublé son site d’une véritable exposition, organisée au centre culturel de Theux avec 20 autres artistes. « J’ai encore plein d’idées pour ramener un maximum d’argent au Télévie avec mon art et celui des autres, affirme Florkey. Comme ça, au moins, ma maladie sert à quelque chose… Et je suis prêt à accueillir avec enthousiasme toute nouvelle proposition de traitement. La vie est trop importante pour dire non ! »

Produits Télévie

La force du Télévie, c’est aussi la proximité. Proximité de la recherche, d’abord. « Ça se passe en Belgique, tout près de chez nous, souligne Christelle, on sait à quels chercheurs va l’argent, on a des preuves ! » Proximité des comités, ensuite. « Tout le monde est lié, d’une manière ou d’une autre, à quelqu’un qui se dévoue dans un comité, rappelle Corinne. Moi, c’est mon oncle : à plus de 70 ans, il passe des journées entières, par tous les temps, à la porte des magasins, pour vendre des produits Télévie. Alors, bien sûr, je lui en achète : un parapluie, des essuies de cuisine… Tant qu’à acheter, autant donner pour le Télévie ! » Proximité des activités, enfin. « Livraison de petits déjeuners à domicile, dîner cabaret, balade canine avec vente de gaufres – plus de 4000, la dernière fois… Toutes ces activités reviennent régulièrement, précise Christie, et les gens de la région les attendent avec impatience. Pour moi, si le Télévie a tant de succès, c’est parce qu’au plaisir de donner s’ajoute celui de faire des rencontres, de partager, de s’amuser ensemble… C’est une opération gagnant-gagnant ! »

Affaire de famille

D’autant que, souvent, les activités se font en famille. « Je travaille avec mon épouse et mon fils de 15 ans, souligne Patrick. Lors du concert de jazz que nous avons organisé récemment, je m’occupais des tickets, mon fils du vestiaire et mon épouse du bar ! » Et qu’à force d’entendre parler du Télévie, les personnes qui cherchent à se rendre utiles, comme Christelle, pensent tout naturellement au Télévie. « Ma maman m’a éduquée dans le bénévolat depuis mon adolescence, raconte Christelle. Quand je me suis rendu compte qu’il n’y avait plus de comité Télévie à Braine, j’ai été trouver l’ancien président, Hervé Thibaut, et nous sommes repartis de zéro. Mais les Brainois n’ont pas tardé à revenir : aujourd’hui, j’ai l’impression d’être constamment entourée de fans du Télévie ! »

Toujours plus loin

Le Télévie procure en outre aux donateurs le plaisir de rencontrer des personnalités comme les animateurs de RTL – « Je pense que beaucoup de gens adorent Ludovic Daxhelet, Christian De Paepe ou Bérénice, remarque Christie, et qu’ils n’hésitent pas à donner rien que pour les croiser ‘en vrai’ », mais aussi des chercheurs comme Arsène Burny, qui n’a pas influencé que Corinne. « Il explique les succès de la recherche avec tant de conviction, conclut Christelle, qu’en l’entendant on n’a qu’une envie : donner toujours plus pour aller toujours plus loin… »

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