Relevez le défi des 20 km de Bruxelles… aux couleurs du Télévie !

Chaque année, les 20 km de Bruxelles rassemblent des milliers de personnes prêtes à se dépasser au cœur de la capitale. En 2025, nous vous proposons de transformer ce moment sportif en un geste fort de solidarité : rejoignez l’équipe Télévie et courez pour faire avancer la recherche contre le cancer.

Courir pour soi… et pour les autres

Participer aux 20 km, c’est déjà un beau défi personnel. Mais courir avec le Télévie, c’est lui donner un sens encore plus grand.
Chaque foulée devient un message d’espoir. Chaque kilomètre contribue à financer des chercheurs qui, chaque jour, travaillent pour sauver des vies.

Que vous soyez coureur débutant, joggeur du dimanche ou marathonien aguerri, votre place est parmi nous. L’esprit Télévie, c’est avant tout une équipe qui se soutient, se motive et avance ensemble.

Une expérience unique au cœur de Bruxelles

Imaginez : les rues emblématiques de Bruxelles, la foule qui applaudit, l’énergie de milliers de participants… et vous, au milieu de tout ça, avec un dossard Télévie sur le cœur. Notre équipe se distingue par sa bonne humeur !

 Comment vous inscrire ?

1. Remplissez le formulaire d’inscription avant le 1er février 2026 

2. Créez votre page de collecte, seul·e ou en équipe, afin de mobiliser votre entourage et soutenir encore un peu plus la recherche

Et rendez-vous le dimanche 31 mai 2026 sur la ligne de départ pour continuer à #Toutdonner  

Cancers génétiques : ce que vous devez savoir

À l’occasion de la Journée Nationale contre les cancers génétiques, il est essentiel de mettre en lumière une composante cruciale, mais souvent mal comprise : les cancers génétiques et héréditaires. Contrairement à la croyance populaire, la majorité des cancers ne sont pas transmis, mais pour les 5 à 10 % qui le sont, la connaissance et le dépistage précoce sont des atouts vitaux.

Qu’est-ce qu’un cancer génétique ?

Un cancer est dit génétique lorsqu’il est favorisé par une anomalie, ou mutation, dans les gènes. Il est important de distinguer deux origines principales :

  1. Le cancer héréditaire (5 à 10 % des cas) : La mutation est héritée d’un parent et est présente dans toutes les cellules du corps dès la naissance. Elle augmente considérablement le risque de développer certains types de cancers, souvent à un âge plus jeune.
  2. Le cancer acquis ou sporadique (la grande majorité des cas) : La mutation se produit au cours de la vie à cause de facteurs externes (tabac, radiations, alimentation, virus) ou simplement par hasard lors du vieillissement et de la division cellulaire.

Les gènes : des sentinelles essentielles

Les gènes qui, lorsqu’ils sont mutés, sont le plus souvent impliqués dans les formes héréditaires sont :

  • BRCA1 et BRCA2 : Ces gènes sont les plus célèbres, car ils augmentent fortement le risque de cancers du sein et de l’ovaire, mais aussi parfois de la prostate et du pancréas.
  • Les gènes du Syndrome de Lynch (MLH1, MSH2, etc.) : Ils sont responsables d’une prédisposition aux cancers colorectaux et de l’utérus, notamment.
  • APC : Impliqué dans la polypose adénomateuse familiale, qui cause un risque très élevé de cancer colorectal.
  • TP53 : Associé au Syndrome de Li-Fraumeni, qui prédispose à plusieurs types de cancers dès l’enfance.

Attention : Être porteur d’une mutation ne garantit pas l’apparition d’un cancer. Cela signifie simplement que le risque est significativement plus élevé que dans la population générale.

🔬 L’oncogénétique : la clé de la prévention

L’identification d’une prédisposition génétique commence par l’analyse des antécédents familiaux. Si plusieurs cas de cancers du même type apparaissent dans la même lignée ou à un jeune âge, une consultation d’oncogénétique peut être proposée.

Le processus de dépistage génétique

  1. Consultation spécialisée : Un oncogénéticien ou un conseiller en génétique analyse l’arbre généalogique familial et évalue la probabilité d’une mutation.
  2. Test génétique : Si le risque est jugé significatif, un test génétique (généralement une simple prise de sang) est proposé pour identifier la présence d’une mutation. Ce processus est long et se fait avec un consentement éclairé.

Agir : surveillance et prévention personnalisées

Lorsqu’une mutation génétique est identifiée, le patient n’est pas laissé seul face au risque. Au contraire, cette information permet de mettre en place des stratégies de prise en charge personnalisées, qui augmentent considérablement les chances de guérison :

  • Surveillance renforcée : Dépistage plus fréquent et plus précoce que pour la population générale (ex : IRM mammaires régulières, coloscopies précoces, dépistage spécifique pour d’autres organes).
  • Prévention proactive : Dans certains cas de très haut risque, des gestes préventifs peuvent être envisagés (comme une chirurgie prophylactique, par exemple l’ablation préventive des seins ou des ovaires).

À retenir : La connaissance de votre risque génétique est un outil puissant. Elle permet de transformer l’inquiétude en action concrète et de donner une longueur d’avance sur la maladie.

Les cas de cancer du foie pourraient doubler d’ici 2050 : est-ce possible d’éviter ce cancer mortel ?

Les cas de cancer du foie pourraient doubler d’ici 2050 en Belgique. Ce cancer est le troisième le plus meurtrier. La plupart du temps, il découle d’une maladie chronique du foie comme la cirrhose. Et cette maladie chronique résulte d’une consommation d’alcool excessive ou d’obésité. Est-ce possible d’éviter ce cancer particulièrement mortel ?

En Belgique en 2024, on dénombre 1.000 cas de cancer du foie. C’est quatre fois plus qu’en 2004. Et les perspectives ne sont pas optimistes. D’ici 2050, les cas de cancer du foie pourraient doubler, avec plus d’un million et demi de cas par an dans le monde.

Ces cancers sont intimement liés à notre hygiène de vie au quotidien. Le cancer du foie concerne principalement des hommes de plus de 50 ans.

Dans 90 % des cas, il découle d’une maladie chronique, comme la cirrhose. Elle fragilise l’organe et favorise le développement d’une tumeur. Pour prévenir le cancer du foie, il faut limiter la consommation d’alcool, manger sainement et éviter l’obésité.

« On sait que dans plus de 50 % des cas, on peut éviter le développement d’un cancer du foie si on a une hygiène alimentaire, une hygiène de vie qui est meilleure en termes de consommation d’alcool, en termes de perte de poids et de prise en charge de l’obésité », confirme Astrid Marot, gastro-entérologue au CHU UCL de Namur.

Selon l’Observatoire mondial du cancer, à l’échelle de la planète en 2050 le nombre de nouveaux cas grimpera à 1,52 million par an, soit un quasi-doublement, tandis que 1,37 million de personnes en mourront. Le cancer du foie est particulièrement virulent et mortel. Il n’y a que 25 à 30 % de survie dans les 5 ans après le diagnostic.

Crédits : RTL Info

Le cancer du poumon est « l’un des plus mortels », par quoi est-il provoqué ? Le tabagisme n’est pas l’unique cause

Le cancer du poumon est le deuxième plus fréquent. Selon le registre belge du cancer, il est en recul chez les hommes mais en augmentation chez les femmes. Les spécialistes appellent à un dépistage plus systématique. Quelles sont les causes de cette maladie ?

« Le tabac est responsable de 8 cas de cancer du poumon sur 10 », rappelle la Dre Véronique Le Ray, directrice médicale et porte-parole de la Fondation contre le Cancer. Elle explique que les deux autres cas sont « la faute à pas de chance ». Avant de préciser : « Pas de chance, c’est en partie la pollution aérienne et d’autre part, des facteurs héréditaires ou des facteurs génétiques. Des mutations qui se font et qui engendrent un cancer. »

Le cancer du poumon est aujourd’hui le deuxième plus fréquent en Belgique, tous sexes confondus. Mais c’est aussi l’un des plus meurtriers. « Il n’y a que trois personnes sur dix qui continuent à vivre avec un cancer du poumon, cinq ans après le diagnostic », souligne la Dre Le Ray.

Une progression marquée chez les femmes

Alors qu’il est en recul chez les hommes, le cancer du poumon connaît une augmentation chez les femmes. Une tendance confirmée par les données du registre belge du cancer, qui pointent une hausse régulière au cours des vingt dernières années.

Renaud Louis, directeur du service de pneumologie au CHU de Liège, explique : « Les cancers que l’on voit aujourd’hui chez les femmes sont les conséquences d’un tabagisme qui a été initié il y a une trentaine d’années. »

Si la majorité des cas sont liés au tabac, un patient sur cinq atteint de cancer du poumon n’a jamais fumé. Et ces cas concernent de plus en plus souvent des femmes. « La part des cancers pulmonaires chez les non-fumeurs reste faible, autour de 5 %, mais elle est souvent liée à des mutations génétiques », avance Renaud Louis.

Un appel au dépistage

Face à ces constats, les médecins plaident pour un dépistage plus précoce du cancer du poumon, à l’image de celui organisé pour le cancer colorectal, qui est gratuit dès l’âge de 50 ans. Une détection plus précoce pourrait augmenter les chances de survie, qui, bien que faibles, sont en progression : +13,5 % en Belgique ces dernières années.

Crédits : RTL Info

Mort de Thierry Ardisson : le cancer du foie tue en silence

Thierry Ardisson, célèbre animateur et producteur français, est décédé à l’âge de 76 ans des suites d’un cancer du foie. Cette disparition remet en lumière un type de cancer encore méconnu du grand public, souvent silencieux mais redoutable. Le cancer du foie est une pathologie grave, qui touche un organe essentiel à notre organisme. Le foie joue un rôle central dans la digestion, la détoxification du sang et le métabolisme. Lorsqu’un cancer s’y développe, les conséquences peuvent être lourdes, d’autant plus qu’il reste souvent asymptomatique à un stade précoce.

Qu’est-ce que le cancer du foie ?

Le cancer du foie se caractérise par la croissance anarchique de cellules dans le tissu hépatique. Il peut être :

  • Primaire : c’est-à-dire qu’il prend naissance directement dans le foie. Le type le plus fréquent est le carcinome hépatocellulaire (CHC), qui touche les cellules principales du foie, appelées hépatocytes.
  • Secondaire (ou métastatique) : dans ce cas, le cancer provient d’un autre organe (comme le côlon, le sein ou les poumons) et s’est propagé au foie. Le foie est un site fréquent de métastases en raison de son rôle dans la filtration du sang.

Quels sont les facteurs de risque ?

Plusieurs facteurs augmentent le risque de développer un cancer du foie, notamment :

  • Les hépatites B et C chroniques, qui provoquent une inflammation persistante du foie.
  • La cirrhose, souvent liée à une consommation excessive d’alcool, mais aussi à la stéatose hépatique non alcoolique (foie gras).
  • Le diabète, l’obésité et le syndrome métabolique.
  • Une exposition à certaines toxines, comme l’aflatoxine (présente dans des aliments mal conservés dans certaines régions du monde).

Quels sont les symptômes ?

Le cancer du foie peut rester silencieux pendant longtemps. Lorsque des symptômes apparaissent, ils peuvent inclure :

  • Une fatigue inhabituelle
  • Une perte de poids inexpliquée
  • Des douleurs dans la partie droite de l’abdomen
  • Une sensation de masse sous les côtes
  • Un jaunissement de la peau et des yeux (jaunisse)
  • Des nausées ou une perte d’appétit

Ces signes ne sont pas spécifiques au cancer du foie, mais ils doivent alerter, surtout chez les personnes à risque.

Comment est-il diagnostiqué ?

Le diagnostic repose généralement sur plusieurs examens :

  • Des prises de sang, notamment la mesure de l’alpha-fœtoprotéine (AFP), un marqueur tumoral.
  • L’échographie du foie, puis des examens d’imagerie plus poussés comme le scanner (CT) ou l’IRM.
  • Une biopsie du foie, si nécessaire, pour analyser les cellules au microscope.

Quels sont les traitements possibles ?

Les options de traitement dépendent du type de cancer, de sa taille, de son extension, de l’état du foie et de la santé générale du patient. On peut envisager :

  • La chirurgie, pour retirer la tumeur si elle est localisée.
  • La greffe de foie, dans certains cas précis.
  • Les traitements locorégionaux, comme la radiofréquence ou la chimioembolisation (injection de médicament directement dans la tumeur).
  • Les thérapies ciblées et l’immunothérapie, pour bloquer les mécanismes spécifiques de la tumeur ou stimuler le système immunitaire.
  • La chimiothérapie, utilisée dans certains cas avancés.

Peut-on prévenir le cancer du foie ?

Oui, plusieurs mesures permettent de réduire les risques :

  • Vaccination contre l’hépatite B
  • Dépistage et traitement des hépatites B et C
  • Réduction de la consommation d’alcool
  • Alimentation équilibrée et activité physique régulière
  • Surveillance régulière chez les personnes à risque, notamment les personnes atteintes de cirrhose

En conclusion, le cancer du foie est une maladie grave, mais mieux connue aujourd’hui. Les progrès de la médecine permettent des traitements de plus en plus ciblés et efficaces. Le dépistage précoce et la prévention sont essentiels pour améliorer le pronostic. Informer, sensibiliser et accompagner les patients sont des étapes clés dans la lutte contre cette maladie.

Plus de 138 propositions de recherches déposées à la commission Télévie: à quoi serviront les 13 millions d’euros récoltés grâce à vos dons ?

La commission Télévie étudie ce lundi les projets que les chercheurs espèrent financer grâce à vos dons. Grâce à votre générosité, plus de 13 millions d’euros ont été récoltés pour soutenir la recherche contre le cancer.

Environ un million d’euros de dons en plus par rapport à 2024. Cela ouvre la voie à la possibilité de financer des projets supplémentaires, voire encore plus ambitieux. L’année dernière, 90 projets de recherche ont pu être lancés. En 2025, la commission scientifique du Télévie a reçu plus de 138 propositions.

Est-ce que vous pouvez nous expliquer quels sont les différents types de projets sur la table ? 

Marc Vidal, professeur à l’université d’Harvard et président de la commission scientifique Télévie : Les projets s’adaptent aux besoins de ce domaine. Évidemment, il faut essayer de détecter le plus vite possible, de manière précoce, comprendre les systèmes moléculaires qui font en sorte qu’une cellule devienne cancéreuse, et puis quand on a tout ça, agir. Et là, on parle de thérapie, d’immunothérapie, on en parle beaucoup pour l’instant, thérapie ciblée, problème des résistances à ces molécules, et puis aussi, dans une moindre mesure, mais quand même de manière significative, le bien-être du patient et de la patiente. Donc, on a des projets sur les quatre éléments. 

Parmi ces 138 dossiers que vous étudiez en ce moment, comment vous faites pour les différencier ? Quels sont les critères de sélection ? 

MV : Si on multiplie par l’argent qui est demandé par chacun de ces 138 dossiers, malheureusement ou heureusement, en fait, parce que ça veut dire qu’on a de la qualité ici dans la recherche scientifique, on a besoin de plus d’argent que ce qui nous est octroyé par l’opération Télévie. On remercie évidemment tout le monde. C’était fantastique cette année-ci, mais il faut faire un choix. Il faut en éliminer. Il faut en garder, et on travaille sur l’optimal. On travaille sur la probabilité que quelque chose marche et soit intéressant pour le domaine de la cancérologie. 

La commission rendra un rapport en fin de journée ce lundi, qui sera étudié par le conseil d’administration du FNRS. Celui-ci rendra son feu vert définitif pour les différents projets sélectionnés début juillet, puis ces projets de recherche pourront enfin être lancés début octobre.

Accompagnez Ludo et son cuistax lors de sa 5ème édition !

Accompagnez Ludo et son cuistax pour une aventure incroyable lors de sa 5ème édition à travers la Belgique ! Cette année, à certaines de nos arrivées, profitez de notre accueil chaleureux notamment avec le groupe Two Dots !

Prêts à nous rejoindre ?

Pour suivre son trajet c’est ici

Ludo vous lance un défi audacieux : embarquez avec lui dans cette aventure trépidante depuis la côte belge jusqu’à Liège Expo ! Bien sûr, il aura besoin de votre énergie pour pédaler, mais surtout de votre soutien infaillible et de vos contributions généreuses pour le Télévie.  

Rejoignez nous sur ce parcours en cuistax où chaque coup de pédale compte, où chaque encouragement booste notre détermination et où chaque don contribue à vaincre la maladie. Ensemble, faisons de cette édition une réussite inoubliable 💗 

Envie de plus d’émotions ? Soyez les invités privilégiés de Ludo er entrez sur le plateau avec lui, sur le cuistax ! Participer à notre tombola et acheter vos tickets : Tombola

Pour l’aider dans ce défi fou, vous pouvez :

le parrainer : https://parrainage.televie.be/project/le-cuistax-televie

remplir sa cagnotte en venant à notre rencontre

ou simplement le soutenir et l’encourager sur le bord de la route. Une animation musicale, une bouteille d’eau, des inscriptions à la craie sur la route, une banderole ou juste votre voix, l’aideront à repousser ses limites !

Si vous êtes un comité bénévole de la région, n’hésitez pas à contacter Florence pour marquer votre intérêt et emplacement sur le parcours : activités@televie.be

Du 2 au 10 mai, préparez-vous à vivre une aventure solidaire à travers les grandes villes de Belgique pour soutenir la recherche contre le cancer avec le Télévie ! Chaque matin, croissants et pains au chocolat vous attendront au départ, et chaque arrivée sera célébrée en musique avec un concert énergique du groupe Two Dots. On compte sur vous 😉

JOUR 1 – Samedi 3 mai 2025
La Panne – Blankenberge (Belgium Pier)

Le défi commence avec une aventure pleine d’énergie entre La Panne et Blankenberge ! Venez soutenir Ludo en lui donnant un coup de pouce pour démarrer cette première journée. À Blankenberge, la fête continue avec un concert du groupe Two Dots, pour faire vibrer la ville et encourager la générosité.

JOUR 2 – Dimanche 4 mai 2025
Tournai – Ath (Place de la libération)

Après une première journée bien lancée, cap sur Tournai – Ath ! Le parcours et la soirée promettent d’être dynamiques avec le groupe et surtout, votre présence ! 

JOUR 3Lundi 5 mai 2025
Mons – Nivelles (Place Lambert Schiffelers)

Troisième jour de notre défi Cuistax, et nous partons de Mons pour rejoindre Nivelles. Chaque coup de pédale nous rapproche un peu plus de notre objectif : récolter des fonds pour la recherche contre le cancer. 

JOUR 4Mardi 6 mai 2025
Andenne – Rochefort

Étape essentielle entre Andenne et Rochefort, où la solidarité règne. Le défi Cuistax se poursuit sur de magnifiques routes avec des paysages impressionnants.

JOUR 5 – Mercredi 7 mai 2025
Rochefort – Libramont (Parc Paysager)

Rochefort à Libramont, voilà le programme du jour ! Notre cuistax file à travers la belle province de Luxembourg ! On compte sur vous !

JOUR 6 – Jeudi 8 mai 2025
Bertrix – Bastogne (Place général Patton)

Rochefort à Libramont, voilà le programme du jour ! Notre cuistax file à travers la belle province de Luxembourg ! On compte sur vous !

JOUR 7 – Vendredi 9 mai 2025
Spa – Liège Expo

L’avant-dernière étape vous emmène à Spa et Liège, deux villes emblématiques de Belgique. Préparez-vous à faire la fête ! 

JOUR 8 – Samedi 10 mai 2025
Aywaille – Liège Expo

Dernière ligne droite ! Venez nous aider à franchir la ligne d’arrivée sur la scène de la soirée de clôture du Télévie ! Une arrivée symbolique, portée par l’enthousiasme de tous les participants et la générosité des donateurs.

Pour encourager Ludo avec un don :

Une marraine engagée, des histoires fortes et un retour attendu à Liège: ce qu’il faut savoir à propos de la soirée de clôture du Télévie

La chanteuse Clara Luciani sera la marraine de la 37e édition du Télévie, dont la soirée de clôture se tiendra le 10 mai 2025 à Liège. Une édition marquée par le retour à l’essentiel : les patients, les chercheurs et la solidarité.

C’est désormais officiel : Clara Luciani sera la marraine du Télévie 2025. Connue pour ses chansons engagées et sa sensibilité, l’artiste française a accepté ce rôle avec une grande émotion. « J’ai la chance et l’honneur d’être la marraine du Télévie cette année. C’est ensemble qu’on fera avancer la recherche et on va tout donner pour le Télévie« .

Très tôt dans sa vie, Clara a été confrontée à la maladie : « J’ai toujours eu, autour de moi, des proches touchés par le cancer. J’ai ressenti ce terrible sentiment d’impuissance face à leur combat. Aujourd’hui, pour la première fois, j’ai l’impression de pouvoir agir concrètement pour la recherche, et c’est un immense honneur qu’on ait pensé à moi pour ce rôle ».

Maman depuis peu, Clara Luciani évoque aussi une dimension plus intime de son engagement : « Depuis que je suis maman, il m’est encore plus difficile de voir des enfants souffrir. C’est une injustice insupportable. J’imagine ce que doivent ressentir les parents, et cela me donne encore plus envie d’agir ».

Elle accompagnera l’événement tout au long de la soirée du 10 mai, en soutenant les témoins sur le plateau et en offrant plusieurs performances musicales. Elle clôturera également l’annonce du montant final des dons récoltés.

Une mobilisation continue depuis 36 ans

La soirée de clôture marquera un moment fort : le grand retour du Télévie à Liège, 25 ans après la dernière édition organisée dans la Cité ardente. L’événement aura lieu à Liège Expo, et RTL promet une soirée sous le signe de « l’émotion, de la simplicité et de l’authenticité », en mettant à l’honneur les patients, les chercheurs et les enfants, dont la petite Kiara, égérie de cette édition.

« On a dormi ici! »: plus de 300.000 euros récoltés lors des 24h Vélo du Télévie à Liège

Dans le cadre de la recherche contre le cancer, plusieurs sportifs participent actuellement aux 24 Heures Vélo au profit du Télévie à Liège. Cette activité est organisée pour la dixième fois par l’Université de Liège et le CHU.

Présente à Liège pour suivre l’événement au plus près, notre journaliste fait le point sur les 24 heures vélo. « L’opération se termine à 15 heures, il ne reste donc que deux heures pour tous les participants et ils sont vraiment déterminés à récolter un maximum de fonds pour la lutte contre le cancer« .

Pour tenir durant 24 heures, certains étudiants adoptent des techniques bien spécifiques. C’est notamment le cas de Lola : « Ça fait 24 heures qu’on est ici, on a dormi ici, et toutes les quinze minutes, on change, comme ça, on reste à fond les ballons tout le temps« , explique l’étudiante.

Mais qu’en est-il des dons ? Pour y répondre, Michaël Herfs, coordinateur du Télévie au CHU : « Ça se passe extrêmement bien, tout passe maintenant par une plateforme en ligne, et nous sommes à plus de 3 500 dons« .

Quant au montant récolté jusqu’à présent, il dépasse celui de l’année passée, comme le précise Michaël Herfs : « L’année dernière, on a récolté 220 000 euros, ce qui était déjà exceptionnel. Il y a quelques heures, nous avons franchi la barre des 300 000 euros, et nous pouvons espérer encore plus« .

Crédits : RTL Info

Une nouvelle technologie pourrait révolutionner le traitement du cancer du sein

Une innovation scientifique pourrait bien transformer le diagnostic et le traitement du cancer du sein. Des chercheurs de l’université d’Aberdeen, en collaboration avec le NHS Grampian, ont mis au point un scanner magnétique à ultra-bas niveau capable de détecter des tumeurs jusqu’ici indétectables.

Le Field Cycling Imager (FCI), premier et unique en son genre, constitue une avancée majeure par rapport à l’imagerie par résonance magnétique (IRM). Contrairement à cette dernière, il ne nécessite pas l’utilisation d’agents de contraste intraveineux, ce qui réduit les risques d’effets secondaires, notamment les lésions rénales et les réactions allergiques.

Lors des tests menés sur des patientes atteintes d’un cancer du sein, le FCI a permis de distinguer avec une précision inégalée les tumeurs des tissus sains. Cette avancée pourrait réduire le nombre d’opérations nécessaires après une tumorectomie.

Environ 15 % des femmes doivent actuellement subir une seconde intervention chirurgicale, car les bords de la tumeur ne sont pas entièrement retirés lors de la première opération. Le scanner FCI pourrait permettre une délimitation plus précise, évitant ainsi ces interventions supplémentaires.

Le Dr Lionel Broche, chercheur principal de l’étude et spécialiste en physique biomédicale, souligne : « Nous avons découvert que les images générées par la FCI peuvent caractériser les tumeurs du sein avec plus de précision. Cela signifie qu’elles pourraient améliorer le plan de traitement des patientes en perfectionnant les procédures de biopsie et en réduisant les interventions chirurgicales répétées. L’impact potentiel sur les patientes est donc extraordinaire. »

Une technologie issue d’un héritage scientifique prestigieux

Ce projet novateur s’inscrit dans la tradition d’excellence de l’université d’Aberdeen en matière d’imagerie médicale. Il y a près de 50 ans, cette même université avait déjà marqué l’histoire en mettant au point le premier scanner IRM du corps entier. Le Field Cycling Imager en est une évolution : il permet de moduler l’intensité du champ magnétique durant l’examen, offrant ainsi plusieurs types d’informations sur les tissus en une seule analyse.

Le Dr Gerald Lip, radiologue consultant au NHS Grampian et récemment nommé président de la British Society of Breast Radiology, estime que cette innovation pourrait transformer la prise en charge des patientes : « Nous traitons chaque année entre 400 et 500 femmes atteintes d’un cancer du sein au sein du NHS Grampian. Le potentiel de cette technologie pour réduire la nécessité pour les femmes de revenir pour une opération supplémentaire est énorme, ce qui leur est bénéfique et permet de réduire les temps d’attente et les ressources des salles d’opération. »

Un avenir prometteur

Les résultats obtenus avec le tissu mammaire s’ajoutent à des succès précédents, notamment dans l’identification de lésions cérébrales liées aux AVC. Les chercheurs estiment que les applications cliniques du Field Cycling Imager sont encore loin d’avoir révélé tout leur potentiel.

« Il s’agit d’une innovation vraiment passionnante et comme nous continuons à améliorer la technologie de l’IRM à cyclage rapide, le potentiel des applications cliniques est illimité », conclut le Dr Broche.

Les découvertes de cette étude ont été publiées dans Nature Communications Medicine, renforçant l’espoir que cette nouvelle technologie puisse bientôt révolutionner la manière dont le cancer du sein est diagnostiqué et traité.

Parler du cancer aux enfants avec les mots justes

Enseignante en primaire, Florence Valentin s’est remise d’un cancer de l’ovaire. Depuis, elle passe dans toutes les classes de son école pour expliquer ce qu’est le cancer à l’aide du kit pédagogique du Télévie.

Solaire et enjouée, Florence Valentin est enseignante de 1ère primaire à l’école Saint-Antoine de Bouvy (La Louvière) depuis 2015. En juillet 2018, alors âgée de 26 ans, elle commence les vacances en repeignant sa classe. Pensant faire une allergie à la peinture en raison d’un gonflement anormal du ventre, elle décide, bien qu’elle ne consulte jamais de médecin, d’y aller cette fois-ci. L’échographie d’urgence prescrite lui sauvera la vie : Florence Valentin a un cancer de l’ovaire au stade 3A.

La prise en charge est immédiate et extrêmement intensive. Son cancer, un dysgerminome ovarien, est une forme rare pour laquelle les chances de survie sont meilleures. « Le traitement a très bien fonctionné. J’ai été opérée mi-juillet et une dernière fois mi-décembre. Ce furent six mois d’enfer total et de souffrances, avec beaucoup d’effets secondaires. Mais après, je n’avais “que” le suivi », relate-t-elle.

Une histoire à raconter

Dès 2019, dans les périodes de répit, elle décide de venir dans les classes raconter son histoire. « J’ai un lien très fort avec cette école. Et puis les enfants se demandaient pourquoi je n’étais pas là. Beaucoup d’adultes ont tendance à ne pas dire qu’il s’agit d’un cancer. Les enfants ont besoin de rester naïfs, bien sûr. Mais quand on ne dit pas les choses, ils s’inquiètent, s’imaginent des scénarios, restent seuls avec leurs questions et leurs émotions. Il est sain d’en parler. Que ce ne soit pas un tabou.

D’autant qu’aujourd’hui, il y a un cancer dans presque chaque famille. Avec mon vécu, je crois que je sais utiliser les mots justes pour expliquer ce qu’est le cancer. Et puis j’ai aussi découvert, à ce moment-là, le kit pédagogique du Télévie, qui est super bien fait. Il est disponible en ligne gratuitement et il décrit formidablement bien la vie avec cette maladie. Dans ce kit, il y a une histoire, celle de Lulu, une enfant qui a un cancer. Je me reconnaissais tellement dans cette histoire », raconte Florence Valentin.

Un flot de questions

Avec les tout-petits, elle ne raconte pas l’histoire, mais présente l’affiche du Télévie qui est dans toutes les classes. À partir de la 3ème maternelle, elle lit l’histoire de Lulu dans sa version « mini » et distribue les coloriages. Avec les plus grands, c’est la version « maxi » qui propose des activités et exercices du kit.

« Au final, Lulu est un fil rouge entre tous les âges. Tous connaissent l’histoire de Lulu », épingle la jeune femme.

Rodée et investie, Florence Valentin arrive en classe pour ces séances avec son pull et sa gourde Télévie. Et tout part de là. Les enfants veulent comprendre : qu’est-ce que le Télévie ? C’est une opération pour récolter de l’argent afin de lutter contre le cancer. Et le cancer, c’est quoi ? Est-ce qu’on en meurt forcément ? Est-ce que c’est contagieux ? Est-ce qu’on a beaucoup de piqûres ? Est-ce qu’on a mal quand on perd ses cheveux ? Mon chien a le cancer, est-ce qu’il va perdre tous ses poils ?

« Les enfants sont sans filtre. La réflexion est là et la discussion est ouverte. Ils ont une intelligence stupéfiante. On les sous-estime vraiment, alors qu’ils perçoivent énormément de choses et qu’ils comprennent », pointe l’enseignante.

Un partage de valeurs

« Je leur raconte l’histoire Lulu a un cancer… Et alors ? de Maureen Dor. Dans ce récit, c’est une enfant qui parle. Avec des mots d’enfant. Et je fais le lien avec mon histoire. Puis ils posent leurs questions parce que je suis aussi là comme témoin. Et on en vient à ce qu’on peut faire pour aider les gens qui ont le cancer : récolter de l’argent, acheter des objets du Télévie pour financer la recherche, être attentif à l’isolement social des personnes malades, leur demander comment elles vont, souligner qu’elles ont besoin de leurs amis et amies.

Tout cela charrie plein de valeurs : l’empathie, l’entraide, la générosité, la solidarité, l’altruisme. Ce sont les citoyens et citoyennes de demain. Si tous et toutes peuvent avoir ces valeurs-là, c’est tout gagné », souligne Florence Valentin.

Un exemple rassurant

L’école Saint-Antoine est d’autant plus sensible que trois enfants ont été tout récemment touchés par le cancer. Giulian, 8 ans, est décédé le 19 décembre 2023. Olivia, en maternelle, est guérie. Et Kiara, 9 ans, aussi. Elle qui, en plus de son combat contre la leucémie, a réussi à récolter plus de 3 tonnes de pièces rouges pour le Télévie 2024.

« Le plus beau des cadeaux, c’est la phrase de Kiara : quand elle a découvert son cancer, ses parents m’ont dit que grâce à vos interventions, Kiara savait ce que c’était. Elle leur a dit “C’est facile, je vais guérir comme Mme Florence.”

Si ça peut donner de l’espoir, mon expérience est utile. C’est la manière que j’ai trouvée pour avancer, pour “justifier” ce qui m’est arrivé », avoue Florence Valentin, qui nous demande de l’excuser parce qu’elle est intarissable. Mais cela tombe bien, puisque parler du cancer est l’un des leviers d’action.

Madeleine Cense

L’IA, une nouvelle alliée dans la lutte contre le cancer

Dans plusieurs disciplines, telles que l’imagerie médicale, l’intelligence artificielle fait parfois déjà partie du quotidien. Et de plus en plus, elle s’invite aussi dans la recherche en cancérologie. Avec, à la clé, des diagnostics plus rapides, mais aussi des traitements plus précis et personnalisés.

Joan Somja est pathologiste au CHU de Liège. Toute la journée, elle observe minutieusement des cellules prélevées chez des patients lors de biopsies, et cherche à déterminer si ces dernières sont cancéreuses ou susceptibles de le devenir. Et alors que cette pratique passe depuis longtemps par un microscope, elle se fait aussi désormais par le biais d’un ordinateur assisté par des algorithmes d’intelligence artificielle. L’IA en médecine est actuellement une révolution en marche, s’enthousiasme la praticienne. De nombreux praticiens l’utilisent très souvent, et il s’agit véritablement d’un outil universel.

Impossible ces derniers temps de passer à côté de l’IA, tant ses usages explosent dans tous les corps de métiers. Et pourtant, si cette technologie semble être apparue au milieu des années 2010, elle est en réalité née au milieu des années 1960, avec la création des neurones artificiels. Ces derniers sont inspirés de la capacité de notre cerveau à reconnaître de nouvelles choses à partir de ce qu’il a déjà vu. Une compétence très utile, alors que la quantité de données médicales augmente très rapidement.

Les cellules que l’on observe sont déposées sur des lames, que l’on regarde au microscope à très fort grossissement, dévoile la pathologiste. Pour être exploitées par un algorithme, il faut donc qu’elles soient scannées à très haute résolution. Cela peut facilement atteindre jusqu’à deux gigaoctets de données par lame, et on peut en recevoir plus d’une vingtaine par patient.

Mais pour la scientifique, le jeu en vaut largement la chandelle. Dans le cas du cancer de la prostate, par exemple, avant même que l’on ne regarde les images par nous-mêmes, l’algorithme va guider notre attention vers les zones à risques, explique la Pre Somja. On obtient alors une sorte de carte, avec en rouge les cellules que l’IA estime cancéreuses, en orange les zones pré-cancéreuses, etc. Cela nous fait gagner un temps extrêmement précieux, et cela se traduit par un diagnostic plus rapide pour le patient.

Si ces algorithmes sont si performants, c’est grâce aux dizaines de milliers d’images patiemment accumulées au fil des années, puis classées, stockées dans des bases de données, et finalement décrites en détail par des scientifiques du monde entier. Le principe est simple : une fois qu’ils ont analysé ces milliers d’images, les algorithmes d’IA sont désormais capables d’émettre un diagnostic sur des images qu’ils n’ont jamais vues. En fonction des bases de données qui ont servi à leur entraînement, certains algorithmes peuvent également déterminer certaines caractéristiques liées au cancer, afin de nous aider à déterminer son agressivité par exemple, et d’établir un pronostic, ajoute la clinicienne.

Cette capacité fait actuellement l’objet de nombreuses recherches, en raison de la capacité des algorithmes à déceler des choses invisibles aux yeux des pathologistes. Dans certains cas, l’IA va reconnaître des configurations de cellules qu’elle estime être associées à un moins bon pronostic, sans que l’on en comprenne la raison, révèle la Pre Somja. Cela peut être lié aux interactions entre les cellules, à l’environnement immunitaire… En travaillant sur ces résultats, cela va nous permettre aussi de faire des recherches qui vont améliorer notre compréhension des cancers.

Croiser les données

Spécialiste du cancer du sein, le Pr Christos Sotiriou, Directeur de recherches FNRS et Directeur du laboratoire de recherche en cancérologie Jules Bordet, partage totalement l’enthousiasme de Joan Somja pour l’utilisation de l’IA. Personne ne peut contester la rapidité des IA à établir, à partir d’une simple image de biopsie, la présence ou non d’un cancer, estime-t-il.

Un gain en rapidité, donc, mais également en précision. Il existe jusqu’à cinq types de cancer du sein, qui répondent à des traitements différents, révèle le chercheur. Et même dans le cas des cancers dits triple négatif, qui ont malheureusement un pronostic assez défavorable, il existe cinq sous-types différents, avec une expression génique particulière. Aujourd’hui, ces sous-types ne peuvent être détectés que grâce à l’analyse moléculaire des cellules, ce qui prend du temps. Mais nos recherches sont en train de montrer qu’un algorithme est capable, en analysant simplement une image de biopsie, de déterminer au moins 3 sous-types de cancer triple négatif !

Une découverte importante, qui a des conséquences directes pour les patientes. L’identification de ces sous-types est primordiale, car leur réponse à l’hormonothérapie et à la chimiothérapie est différente, dévoile-t-il. Or, l’analyse d’une image prend une heure quand près de 2 semaines sont nécessaires pour obtenir une signature génique. C’est donc un gain de temps important pour les patientes, et cela permet d’éviter des traitements qui seraient inutiles, avec tous les effets secondaires que cela implique.

Et en recherche, le laboratoire du Pr Sotiriou compte bien utiliser la formidable capacité de l’IA à analyser et combiner des données à la fois visuelles, mais aussi génétiques. Nous travaillons actuellement sur les cancers qui ont métastasé, afin de mieux comprendre ce qui différencie, au niveau moléculaire, les cellules métastasées des cellules de la tumeur primitive, explique-t-il. Nous avons déjà réalisé une étude au niveau de l’expression génique et constaté des différences…

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