Inscrivez-vous aux 120kms du cœur !

C’est parti pour les 120kms du Cœur !

Vous avez envie de revivre les mêmes moments d’émotion qu’à Joux-Plane mais en Belgique ?

Alors inscrivez-vous aux 120 kms du Cœur, ce dimanche 25/08 !

Pédalez le dimanche 25 août 2024 au profit du Télévie en suivant un parcours de 120 kms « à travers le Pays de Liege » +\- 1000 D+ concocté par nos amis du CCGM ( Cyclo-club Geer Meuse ) !

Nous partirons de Bassenge.

Découvrez ou redécouvrez les sensations de rouler en peloton sur des routes ouvertes par une voiture de direction et soutenus par des motards qui ferment les croisements !

Voiture assistance technique

Voiture ravito

Bus balai !

2 allures imposées : 25 et 22 de moyenne !

La philosophie de cet évent :

ON PART ENSEMBLE, ON ARRIVE ENSEMBLE !

Attention : la loi nous impose des pelotons de 150 coureurs maximum !

Ne tardez pas trop pour vous inscrire en envoyant un mail à : 120@rtl.be

Essayez un évent CYCLOS DU COEUR, c’est l’adopter !

Après la balade, nous aurons l’occasion de tous boire un verre ensemble pour nous remémorer nos meilleurs moments de partage.

Les Cyclos du Cœur à Joux Plane (Samoëns) : « Le Soir » a pris la roue…

La quatrième édition des Cyclos du Cœur, organisée dans le cadre du Télévie, avait lieu ce vendredi. Au total, 385 cyclistes amateurs ont gravi un col mythique du Tour de France.


Ce vendredi 7 juin a eu lieu la quatrième édition des « Cyclos du Cœur », une manifestation sportive organisée dans le cadre du Télévie (RTL). Le défi était de gravir un col mythique du Tour de France. La première édition fut initiée en 2019 au mont Ventoux par l’animateur de RTL Jean Michel Zecca, toujours debout sur les pédales ce vendredi pour animer le quatrième opus. Le défi de cette année a emmené 385 cyclistes amateurs à 1.700 mètres d’altitude dans un serpentin de virages : « le col de Joux Plane », classé HC catégorie par l’UCI au Tour de France. Le bien nommé est situé en Haute-Savoie. Sur la route des Grandes Alpes, il relie les beaux villages de Morzine et de Samoëns. D’une longueur de 11,6 km, il affiche une pente moyenne monstrueuse de 8,5 %. Ce vendredi, le parcours était long de 40 km pour 1.200 D+.

En Belgique, toutes les heures, huit personnes sont diagnostiquées du cancer. Les fonds récoltés par le Télévie via ce challenge (plus de 100.00 euros en 2023) et déjà 60.000 euros en 2024 sont intégralement versés à la recherche contre le cancer. C’est Marc Duthoo de RTL qui est le chef d’orchestre de cette manifestation qui demande une organisation titanesque. Ici, point de chronomètre à l’arrivée. Seulement de belles émotions parfumées de sueur. Une façon « si possible » de comparer les difficultés ressenties par les personnes atteintes d’un cancer et la difficulté engendrée par l’exercice sportif demandé.

Le parrain de cette année s’appelle Gilles Van de Spek. Atteint d’un cancer incurable, il a 36 ans. Gilles a créé une philosophie qui s’appelle le « Profitivisme ». Un courage et un respect absolu à l’écoute des patients atteints. Pour exemple encore l’artiste Florian Caucheteux atteint de trois cancers (47 ans) a versé 12.000 euros au Télévie via la vente de ses œuvres. Le Soir et ses valeurs humanistes voulaient comme l’année dernière s’associer physiquement à ce défi. C’est fait !

Votre serviteur et 384 autres ont tout donné pour essayer d’atténuer un peu la souffrance des autres et tenter d’éradiquer cette « saloperie » en contribuant financièrement et physiquement. Rien n’est encore gagné alors on continue de pédaler avec le Télévie. Le Soir a pris la roue de l’empathie… Respect à tous et toutes !

Crédits : Le Soir, Dominique Gobert

Chimay: 3 générations de cyclistes pour le Télévie

Souvenez-vous, en juin 2023, Émile Génicot, aux côtés de son fils Olivier, réussissait l’ascension du col mythique de l’Alpe d’Huez pour fêter à sa manière ses 80 printemps, et ce, au profit du Télévie.

Cette année, il remet ça, mais avec cette fois son petit-fils Léo en plus, pour gravir le 7 juin prochain, le col de Joux-Plane, le plus beau col de France d’après les cyclistes professionnels.

Joux-Plane, ce doux nom mélodieux cache en réalité une montée corsée, en témoignent ses 11,6 km à 8,5%. Situé entre Samoëns et Morzine dans le massif du Chablais en Haute Savoie, Joux-Plane jouit d’une belle réputation pour plusieurs raisons: son histoire, sa beauté et sa dureté. Son sommet culmine à 1691 mètres d’altitude et son dénivelé positif est de 1000 mètres

Au-delà de l’exigence de la montée, c’est un véritable distributeur de panoramas sur ses hauteurs. Les points de vue sur le Mont-Blanc sont sublimes. Pour parrainer Émile: https ://parrainage.televie.be/fundraisers/sebastien-genicot

Crédits : L’Avenir

La commission scientifique s’est réunie ce 27 mai

La commission Télévie se réunit aujourd’hui pour décider de l’allocation des fonds récoltés lors de cette édition 2024. Plus de 12 millions d’euros ont été recueillis pour soutenir la recherche contre le cancer. Découvrez les enjeux de cette commission et les projets de recherche qui pourraient bénéficier de cette somme.

Grâce à votre générosité, ce sont plus de 12 millions d’euros qui ont été récoltés pour faire avancer la recherche contre le cancer. Véronique Halloin, secrétaire générale du F.R.S.-FNRS, explique le rôle de la commission : « En fait, cette commission est présidée par Arsène Burny. Elle est composée de 25 membres, principalement internationaux. Ils ont reçu les demandes de financement qui nous ont été adressées. Ils ont eu à peu près six semaines pour travailler, pour les étudier. Et aujourd’hui, ils se réunissent pour aboutir à un classement« .

Concernant les dossiers reçus, Véronique Halloin précise : « On a reçu 170 demandes de financement. C’est 25 % de plus que l’année dernière. Ce qui est en soi une bonne nouvelle, parce que ce sont autant de nouvelles possibilités, de nouvelles voies d’investigation ou d’innovations« .

La secrétaire générale détaille les différents types de projets sollicitant un financement : des renouvellements de bourses de doctorat ou encore des projets de recherche interuniversitaires et interdisciplinaires.

« Un type de projet, par exemple, ce sont des personnes qui veulent travailler sur des cancers bien précis. Et là, ça concerne une douzaine de cas. On a aussi beaucoup de projets sur le cancer du sein triple négatif, dont on sait que les traitements sont moins bons que pour d’autres types de cancers. Puis, on a une autre catégorie de projets qui s’intéressent aux mécanismes de développement du cancer, parce que c’est essentiel« , détaille-t-elle.

Le Télévie va recevoir un chèque grâce à une téléréalité française

Nikola Lozina, le gagnant de ce programme, et ambassadeur digital du Télévie nous a choisi pour reverser ses gains.

Vendredi soir, « The Power » a élu son grand gagnant. Cette téléréalité française diffusée sur RTL Plug en Belgique avait deux candidats belges embarqués dans l’aventure.

Nikola Lozina et Shauna Dewit ont représenté la Belgique dans ce loup-garou géant. Tous les deux jouaient pour le Télévie. La jeune femme a été éliminée en demi-finale alors que Nikola Lozina a remporté la victoire.

Il remporte donc un chèque de 20.000 euros pour le Télévie. Il a déclaré : « Je me suis battu pour mon association et pour la Belgique. » Sur Instagram, il a ajouté qu’il s’était battu pour son oncle qui « était devant sa télé, là-haut, ce soir. Elle était pour toi celle-là. » Il s’agit de Marc Giambrone, qui était atteint d’un cancer du poumon et qui avait témoigné lors en 2018.

Comment «bien» vivre après un cancer

Répondre à la question est complexe. Le Télévie a choisi de partager les témoignages de Catherine d’Hainaut, victime d’un cancer de la langue en 1980, et d’Annabelle Martin, qui se remet depuis un peu plus d’un an d’un lymphome.

Catherine d’Hainaut a vécu un parcours de combattante. « Le 7 octobre 1980, le jour de mes 18 ans, j’ai subi une biopsie révélant une tumeur épithéliale spinocellulaire, un cancer de la langue au pronostic vital engagé », raconte l’intéressée. Sans intervention, il lui restait deux semaines à vivre.

Après moult traitements et opérations, Catherine s’en sort, mais encore aujourd’hui, elle se souvient de la douleur du cancer et elle subit encore les conséquences de son traitement et de ses 90 interventions chirurgicales. « Il me reste un tiers de langue (l’interview s’est faite par écrit, ndlr). Le nez, les pommettes, la mâchoire, la joue, la bouche… tout a été refait. Pas pour l’esthétique, simplement pour pouvoir atténuer les douleurs. » Car la radiothérapie – qui était alors bien plus agressive qu’aujourd’hui – continue, 42 ans après, de faire des dégâts. « Les voies respiratoires sont touchées, j’ai de fausses déglutitions, la thyroïde brûlée. »

Positive malgré tout

L’après-cancer, Catherine le vit parfois difficilement. « On ne guérit psychologiquement pas du cancer, on apprend à vivre avec », résumet-elle. « Après 43 ans de traitements en tout genre, on a rencontré plus de médecins et d’infirmiers que d’amis. »

Malgré tout ce qui lui est arrivé, Catherine respire la vie. Elle ne se considère pas comme une patiente depuis 43 ans. « J’ai aussi fait ma vie de femme », raconte celle qui se définit comme bavarde. « C’est peut-être étrange à dire, mais avoir vécu un cancer n’a pas forcément que des mauvais côtés. J’ai vécu des moments formidables, des anecdotes inoubliables. C’est dans les pires moments d’une vie que l’on se sent le plus vivant. »

« Vivre 43 ans avec autant de problèmes relève soit du courage, soit de l’inconscience, ou peut-être des deux », explique Catherine, célébrée pour son courage lors du défilé national du 21 juillet 2022. « La vie continue avec ses joies et ses peines. Je suis de nature positive donc je préfère retenir le meilleur. »

Une philosophie positive

Cette vision de la vie, où l’on profite de chaque instant, c’est ce qui rassemble les deux témoignages. Annabelle Martin a été diagnostiquée d’un lymphome en octobre 2022. Elle avait 26 ans. En mars 2023, après des cycles de chimiothérapie et une immunothérapie dans le même temps, ce qui l’envoie toutes les deux semaines à l’hôpital, l’équipe médicale lui annonce qu’elle est en rémission.

« Il est possible de positiver après la maladie, et même pendant », explique Annabelle Martin. « Les perspectives sont là, elles sont belles. La maladie n’est plus là, même si le confort de vie est très impacté. Ce qui m’aide à aller de l’avant, c’est de me dire que la santé est de retour, que je suis libre. »

Cette liberté dont parle Annabelle est à la fois physique et mentale. « Je suis plus libre aujourd’hui que lorsque j’étais malade. Je suis objectivement moins fatiguée. Mais je suis aussi plus libre mentalement qu’avant la maladie car j’ai traversé beaucoup d’épreuves qui m’ont permis de relativiser. La vie après cancer a donc un goût sucré, chose qu’il est difficile à imaginer avant d’avoir un cancer. L’idée que tout peut basculer d’un jour à l’autre donne une autre saveur à la vie. »

L’importance de la famille

Les deux femmes ont surtout pu compter sur leur entourage pour traverser leurs épreuves respectives. « Mes parents, ma sœur, mon petit copain ont été très importants pour moi. Ils m’ont aidée à me sentir mieux, à penser à autre chose, à faire autre chose. La lecture m’a également beaucoup aidée. Enfin, partager mon expérience sur les réseaux sociaux et discuter avec d’autres personnes m’a également beaucoup apporté. »

De son côté, Catherine mentionne l’énorme impact que la maladie a eu sur sa famille. « Ma fille a dû subir mes hospitalisations à répétition depuis qu’elle est petite. Mes parents se sont privés pour que je vive. » Ce qui réjouit Catherine, c’est d’avoir réussi à construire une vie malgré tous ces problèmes. « J’ai énormément de chance car ma maman est toujours présente. J’ai une fille dont je suis extrêmement fière. Et j’ai une petite fille qui est une vraie bouffée d’air frais. Bref, je suis heureuse. »

« La vie est belle »

Pourtant en rémission, Annabelle n’a pas peur du retour de la maladie. « Je sais que cela n’est pas représentatif du vécu des personnes après cancer, mais je n’y pense jamais. Je me suis dit pendant mes traitements que cela ne reviendrait pas. C’est un travail mental que j’ai entamé il y a un peu plus d’un an. Maintenant, je ne pense plus à la maladie, sauf quand j’ai un rendez-vous de suivi à l’hôpital, c’està-dire tous les trois mois. »

Aujourd’hui, Annabelle a repris le cours de sa vie, le sport, le travail. « Cela aurait pu avoir un impact négatif sur mon travail, mais mon employeur a été très compréhensif. J’ai pu rejoindre l’entreprise plus tard, et démarrer par un mi-temps. Je serai en 4/5e à partir d’avril. »

« La vie est belle », conclut, de son côté, Catherine. « J’ai eu beaucoup de chance d’être malade jeune, car j’ai appris le prix de la vie, et j’en ai mieux profité. J’ai goûté chaque minute aux joies quotidiennes, je n’ai pas peur de dire aux gens que je les aime. Si l’on réfléchit bien, il en faut peu pour être heureux. »

Crédits : Laurent Zanella

Une matinée à Huy pour parler du cancer 

Anabelle Decottignies, directrice de recherche FNRS et cheffe d’une équipe de recherche en génétique du cancer à l’Institut de Duve (UCLouvain), a été contactée par le collège de Huy. Le but ? Passer la matinée avec les élèves de secondaire et leur parler du cancer.  

Des professeurs et des élèves conquis 

Garder l’attention de 250 élèves, de deuxième et troisième année secondaire, pendant deux heures, est un sacré défi ! L’intervention d’Anabelle Decottignies était divisée en deux parties. La première, expliquer le jargon du cancer en mots simples : qu’est-ce qu’une cellule, qu’est-ce qu’un cancer, quels sont les facteurs qui augmentent les risques d’en avoir un, comment les traite-t-on, pourquoi les cancers pédiatriques sont moins bien soignés que les autres ? etc.  

Pour la deuxième partie de son intervention, Anabelle a formé une vingtaine de groupes, de 15 à 20 élèves. Le but était d’interroger les enfants sur des informations évoquées dans la présentation. La professeure du jour était ravie : « Globalement, les résultats étaient très bons ! Je leur ai également demandé de trouver un nouveau slogan pour le Télévie, qui serait percutant et qui inciterait à donner des fonds pour la recherche scientifique ». 

Une participation active  

En favorisant la participation, Anabelle a senti un réel engagement des élèves lorsqu’il fallait répondre aux questions : « C’était un sujet connu de presque toutes et tous, une dizaine d’entre elles et eux connaissaient un enfant ayant eu un cancer pédiatrique. Lorsque j’ai demandé combien connaissaient un adulte ayant eu un cancer, bien plus d’enfants ont levé la main ».  

Pour les faire se rendre compte de la réalité, place à un jeu de rôle. Quatre élèves ont été désignés pour se mettre dans la peau d’un chercheur ou d’une chercheuse et avaient le choix entre, d’un côté, trouver un remède pour soigner une jeune fille, ou d’un autre côté, trouver le remède qui soignerait la masse des élèves restants. Un débat intéressant en a découlé. 

La réalité, c’est que la recherche a besoin de beaucoup de patients atteints d’un certain cancer pour avancer, comme le dit Chris Verslype, hépatologue et oncologue digestif : « L’intérêt de l’industrie est majoritairement tourné vers la recherche scientifique pour les cancers les plus répandus et non vers les plus rares ».  

Parler du cancer 

Le troisième pilier du Télévie étant la communication, il était important de parler de ce sujet, faire comprendre aux élèves que ce n’est pas un tabou et que ce n’est pas non plus honteux d’avoir un cancer. Il faut en parler un maximum autour d’elles et eux pour sensibiliser leur entourage. Des moyens de prévention ont été abordés tels que la vaccination contre le cancer de l’utérus ou les visites de contrôles pour le cancer du sein.  

Le Collège Saint-Quirin de Huy a déjà demandé à Annabelle Decottignies de revenir l’année prochaine au vu du succès de cette première intervention ! 

Valentine Jonet

À quoi vont servir les 12 millions d’euros récoltés pour le Télévie ?

L’Opération Télévie 2024, qui s’est clôturée ce week-end, a permis de récolter plus de 12 millions d’euros. Grace aux généraux dons, un chercheur sur deux en cancérologie peut poursuivre ou entamer une recherche pour essayer de trouver des solutions, soigner et guérir les cancers. C’est au FNRS de déterminer les projets prioritaires.

« On a reçu 170 demandes de financement, de projets de recherche, qui vont être déposés, et qui sont en train d’être examinés par la communauté scientifique. Cette commission va se réunir le 27 mai et va classer ces projets en fonction de l’originalité, l’intérêt, la qualité », explique Véronique Halloin, secrétaire générale FNRS.

Tous les jours, de nouveaux défis que les chercheurs tentent de relever. C’est à eux que va une partie des dons. 

« D’abord, il va payer de jeunes chercheurs, qui vont faire des doctorats et à qui on va confier une question. Et on compte sur leurs forces vives et leur énergie, leur motivation pour mener à bien cette recherche », ajoute Akeila Bellahcène, directrice de recherche FNRS. 

Chaque année, la recherche progresse et on améliore la compréhension de certains mécanismes : « C’est très très important d’essayer de comprendre les mécanismes par lesquels les patients vont récidiver et donc vont développer des tumeurs qui résistent à notre arsenal thérapeutique », explique encore Akeila Bellahcène.

Crédits : RTL Info

Découvrez les Disques d’Or 2024 !

Depuis plus de 30 ans, l’émission mythique de bel RTL « Les Disques d’Or du Télévie » est un rendez-vous incontournable de l’année. Cette initiative récompense les donateurs les plus généreux en leur attribuant les disques d’or des plus grands artistes, des pièces uniques témoignant du succès remarquable de stars nationales et internationales. Pour cette 32ème édition , bel RTL a réuni des disques d’or mais aussi des disques de platine ainsi que des objets personnels dédicacés de vos artistes préférés pour une émission exceptionnelle !

Comme chaque année, l’irremplaçable Christian De Paepe anime cette émission événement qui est très certainement la plus belle émission de l’année en radio ! Rendez-vous le 20 avril de 9h à 13h en direct sur bel RTL, RTL tvi et RTL play.

« Je me réjouis de retrouver la famille du Télévie pour ce moment riche en émotions. Avec mes collègues et la complicité des auditeurs, nous allons tout faire pour booster le compteur. Je ne voulais surtout pas manquer ce rendez-vous! » – Christian De Paepe

Durant toute la matinée, 10 animateurs se succèderont à l’antenne pour présenter ces 10 objets de collection et faire monter les enchères le plus haut possible : 

– Pierre Garnier – Disque d’or pour son single « Ceux qu’on était »

Présenté par David Antoine 

– Francis Cabrel – Triple disque d’or pour son album « Hors saison »  

Présenté par Sophie Pendeville 

– Slimane – Disque de platine pour son album « Chroniques d’un Cupidon »

Présenté par Benjamin Maréchal 

– Notre Dame de Paris – Un cadre exclusif dédicacé par les artistes de la troupe historique de 1999

Présenté par Michaël Miraglia 

– Louane – Disque d’or pour son album « Sentiments »

Présenté par Sabrina Jacobs 

– Soprano – Disque d’or pour son album « Chasseur d’étoiles »

Présenté par Olivier Schoonejans   

– Renaud – Un cadre unique avec un bandana dédicacé à l’occasion de la tournée événement de Renaud « Dans mes cordes »

Présenté par Thomas de Bergeyck 

– Pierre de Maere – Disque d’or pour son single « Enfant de »

Présenté par Sandrine Dans 



– Céline Dion – Triple disque de platine pour son album « Falling into you »

Présenté par Sandrine Corman 



– Matt Pokora  – Une œuvre unique réalisée pour la tournée des 20 ans de carrière de Matt Pokora « Epicentre »

Présenté par Bérénice

Les Disques d’or du Télévie, c’est ce samedi 20 avril de 9h à 13h sur Bel RTL, www.belrtl.be, RTL-Tvi et www.televie.be.

Infos et inscriptions via disque@rtl.be ou 02/337.64.01

Les conditions générales des Disques d’Or du Télévie

Le Télévie en folie, c’était la folie !

La troupe du Télévie en folie a sillonné la Wallonie pendant trois semaines à votre rencontre ! De Charleroi, en passant par Marche-en-Famenne, pour finir à Malmedy, vous avez été presque 9 000 à assister au spectacle et à les soutenir pour la recherche contre le cancer.

Ce n’était pas un exercice facile, mais ils et elles l’ont fait ! Les animateurs, animatrices et journalistes de RTL sont montés sur les planches de trois grandes salles wallonnes pour amuser et faire rire le public venu en nombre pour les supporter.

L’origine du Télévie en folie

L’idée du Télévie en folie prend sa source lors d’une discussion entre Géraldine Gautier, responsable des évènements à RTL Belgium, et Olivier Leborgne, metteur en scène et humoriste, afin de renouveler la pièce de théâtre, ancien spectacle au profit du Télévie.

Cette année, pour la deuxième saison, l’équipe de RTL a vu les choses en grand. Après le succès de la première édition, la troupe est repartie pour une tournée qui mélange humour, émotions et musique. Ce n’est plus une date qui était prévue mais trois, à Charleroi, Marche-en-Famenne et Malmedy, avec 4 représentations, de quoi satisfaire le plus grand nombre.

Un sentiment de joie

L’émotion qui ressort le plus lorsque l’on pose la question aux animateurs, animatrices et journalistes à la sortie de la scène est la joie. À chaque date, peu importe le lieu, le public les soutenait et riait avec elles et eux.

« Faire rire un public, c’est l’une des sensations les plus folles qui existe » Caroline Fontenoy

Ils étaient onze à s’essayer à l’humour et à faire face au public : Sandrine Dans, Olivier Schoonejans, Sophie Pendeville, Sandrine Corman, Olivier Leborgne, Anne Ruwet, Thomas de Bergeyck, Emilie Dupuis, Luc Gilson, Caroline Fontenoy et Jacques van den Biggelaar.

Les premiers pas sur scène à Charleroi étaient stressants pour certains et certaines comme Emilie et Thomas qui appréhendaient ce premier passage. Un sentiment dominait à la sortie : le soulagement. « On se demandait si on était comiques, si ça allait bien se passer, mais avec les rires et l’énergie du public, ça nous a portés. Ce qui est génial, et on ne s’y attendait pas du tout, c’est que le public a ri des mimiques de visage et des silences », conclut le duo.

Le public ravi

À Charleroi, le Dôme était rempli et les spectatrices et spectateurs ravis. « C’est une belle soirée, un beau spectacle. J’ai aimé tous les sketchs. Avant, c’étaient des pièces de théâtre, mais c’est bien comme ça aussi, c’est chouette », « Je suis très contente d’être là, je trouve le début de soirée très sympa », « Une soirée super sympa, c’est vraiment très gai et en plus, c’est pour la bonne cause » peut-on entendre à l’entracte.

Un public qui a comblé Sandrine Corman et Sophie Pendeville : « C’était trop bien cette première, le public était en feu. C’était génial de partager un moment tous ensemble, comme ça, avec un public de folie ! ».

« Je suis mort, mais la récompense, ce sont les rires du public et ça, c’était extraordinaire ! » Olivier Schoonejans

Deuxième date, sold out à Marche-en-Famenne. Les artistes ont senti l’ambiance de folie qui régnait. « On commence vraiment à s’approprier les personnages donc c’est génial, en plus le public est très, très bien » confie Luc Gilson. Son homologue du journal télévisé ne tarit pas d’éloges non plus : « Le sketch devait durer quatre minutes, mais le public était tellement réactif, que ça en a duré dix. On s’est éclatés, on s’est bien amusés ! ».

Côté public, le sourire est sur les lèvres : « J’ai trouvé ce spectacle génial, c’est la première fois et, à mon avis, je reviendrai ! Je donne 10/10 ».

Le public de Malmedy était tout aussi participatif, les deux représentations du jour ont épuisé nos artistes qui se sont reposés après avoir fait la fête pour célébrer la fin de tournée !

Une organisation millimétrée

Le Télévie en folie est une véritable fourmilière, chaque week-end, des dizaines de personnes ainsi que leur matériel est à acheminer à bon port. Géraldine nous a partagé une anecdote : le néon du logo du Télévie en folie, qui est suspendu au fond de la scène, a cassé deux fois en trois week-ends ! Elle nous confie qu’il faut une organisation à toute épreuve pour le déplacer. La veille de la dernière représentation, au soir, les équipes étaient encore occupées à le réparer…

Au fur et à mesure des représentations, la confiance est montée et les pas sur scène étaient plus assurés. La tournée a pris fin, mais n’aurait pas eu ce succès sans toutes les personnes de l’ombre qui travaillent dessus : les techniciens, les coiffeuses et maquilleurs, la régisseuse, les bénévoles, etc.

Et alors, c’est quoi la suite ?

Olivier Leborgne revient sur ces trois dates en tant que metteur en scène et interprète et tient à féliciter toutes les personnes présentes. « C’était une formidable équipe, avec les animateurs, Mister Cover, Manon, les chanteurs, les danseurs de 2MAD, toute l’équipe technique, il y a vraiment beaucoup de monde qui met son énergie positive à faire que ce soit une grande fête, un grand partage avec le public. En plus, le public a réagi magnifiquement bien, tout ça pour le Télévie. On est partis pour une troisième édition ? » conclut-il en laissant planer un doute.

Valentine Jonet

Participez aux enchères des Champions !

Vous rêvez de porter le maillot dédicacé des Red Lions, Champions du Monde 2018, Champions d’Europe 2019 et Champions Olympiques en titre ? Grâce à notre partenaire Clicpublic.be, vous pouvez participer en ligne aux “Enchères des Champions » et espérer le remporter !

Si vous n’êtes pas fan de hockey, pas de panique, il y en a pour tous les goûts ! Vous trouverez une variété d’objets sportifs à ajouter à votre collection tels qu’un maillot dédicacé des Diables Rouges, les équipements des équipes d’Anderlecht et de Charleroi, le short du Champion du Monde de Boxe, Ryad Merhy, et une figurine dédicacée par la légende du cinéma d’action, Jean-Claude Van Damme. Une façon de satisfaire tous les férus de sport.

N’hésitez pas, c’est une opportunité unique d’acquérir des objets exclusifs ayant appartenus à des athlètes belges de renom. En plus, tous les bénéfices issus de la mise aux enchères de ces objets rejoindront la cagnotte du Télévie. Il vous reste 11 jours pour participer à cette belle et importante cause qu’est la recherche contre le cancer ! On compte sur vous !

Rendez-vous dès aujourd’hui sur www.clicpublic.be !

Le parrain d’honneur du Télévie 2024 est…

Depuis 35 ans, le Télévie incarne l’espoir, la solidarité et l’engagement dans la lutte contre le cancer. Cette année, nous célébrons avec fierté la 36ème édition de cet événement emblématique pour RTL Belgium. Cette édition anniversaire ne pouvait être que portée par un Parrain d’honneur qui a déjà marqué de sa générosité, l’histoire du Télévie et le cœur de notre public.  

C’est donc tout naturellement que Matt Pokora nous fait la joie d’être le Parrain d’honneur du Télévie 2024 aux côtés d’Agustin Galiana, Eddy de Pretto, Jasper Steverlinck, Mentissa, Mosimann, Mustii, et Santa. Cette décision est la preuve que l’artiste aux multiples talents et à l’engagement sans faille porte un attachement indéfectible et un soutien continu à la lutte contre le cancer. 

En 2019, lors de sa précédente participation, Matt Pokora a eu l’occasion de rencontrer Nolwenn, une adolescente courageuse de 15 ans en rémission d’un lymphome d’hodgkin. Leur rencontre a été un moment empreint d’émotions, symbole d’espoir et de force. Ils ont pu se retrouver lors d’un Contact On Stage en septembre dernier, un moment particulièrement émouvant, témoignant de la complicité, toujours intacte, 4 ans après leur rencontre. 

Avec le soutien continu de personnalités engagées comme Matt Pokora, ainsi que celui du public, des bénévoles, des chercheurs et de nos partenaires, nous sommes plus déterminés que jamais à tout donner pour faire, une nouvelle fois, avancer la recherche. En endossant, cette année, le rôle de parrain d’honneur, Matt Pokora nous apportera à nouveau son énergie et sa générosité afin d’inspirer et mobiliser un public toujours plus large, tout en continuant à incarner l’espoir pour ceux qui se battent contre le cancer.  
Vos plus petits dons financent les grandes idées de nos chercheurs

Soutenez le Télévie

les grandes idées de nos chercheurs

Vos plus petits dons financent

Menu