« Boeing Boeing » la nouvelle pièce du Télévie

Une comédie française adaptée au cinéma

L’histoire : Robert (interprété par Michael Miraglia) architecte et habile Don Juan, s’est constitué un petit harem de trois hôtesses de l’air (Sandrine Corman, Maria Del Rio et Sophie Pendeville)  à qui il a promis le mariage, et qui naviguent toutes les trois sous les couleurs de compagnies aériennes différentes.
Au prix d’une gestion sourcilleuse de son emploi du temps, et avec la complicité de sa bonne (Sandrine Dans), drôlement bourrue, Robert parvient à les faire défiler dans son appartement sans qu’elles ne se rencontrent.
Mais voilà que sous le regard abasourdi de Bernard (Olivier Leborgne) son ami d’enfance, les horaires se dérèglent et les revirements de situation s’enchaînent alors à la vitesse d’un 747 !
Ce vaudeville en 3 actes figure dans le livre des records comme la pièce française la plus représentée à l’étranger. Depuis sa première représentation le 12 décembre 1960, la pièce a en effet été jouée sans interruption des milliers de fois ! Elle a également fait l’objet d’une adaptation au cinéma en 1965, avec Tony Curtis et Jerry Lewis dans les rôles principaux.

Une première pour Sophie Pendeville, Maria Del Rio et Olivier Leborgne

Une belle équipe de six animateurs vous embarqueront dans son vol en direction du rire.
Dans les loges des filles, on retrouvera deux habituées : Sandrine Dans et Sandrine Corman. Elles sont pour la première fois réunies dans une pièce du Télévie.
Maria Del Rio et Sophie Pendeville feront leur entrée sur les planches du Télévie. Elles sont surexcitées à l’idée de faire partie de la troupe.
Michael Miraglia et Olivier Leborgne se partageront les deux rôles masculins.  Une première pour Olivier qui a l’habitude de faire du théâtre.
« C’est une deuxième pour moi, j’ai hâte de commencer les répétions. C’est une merveilleuse aventure humaine ! » raconte Michael Miraglia dans la vidéo sur la page Facebook pour annoncer le casting.
La mise en scène sera assurée, comme toutes les autres pièces du Télévie, par Jean-Paul Andret.
La pièce sera jouée dans toute la Wallonie et à Bruxelles de janvier à mars 2018 et les tickets seront mis en vente à la fin du mois d’octobre …
Pour l’heure, place aux répétitions, qui commenceront le mois prochain.

Guéri de sa leucémie, Benjamin va vivre un an au Canada

L’histoire de Benjamin n’a rien de banal

En octobre 2009, Benjamin, 9 ans, voit sa santé se détiorer subitement. On croit d’abord à une grippe ; mais, le résultat d’une prise de sang, l’envoie aux urgences.
« Après une semaine, la nouvelle tombe ; c’est une leucémie lymphoblastique à chromosome de Philadelphie. C’est très rare et avec un très mauvais pronostic. Le ciel nous tombe dessus » se rappelle sa maman, Marie Françoise.
« Pour guérir, on m’a expliqué que j’allais subir une chimiothérapie et  une greffe de moëlle. J’ai vite compris que j’allais rester longtemps à l’hôpital », confie Benjamin.
Afin de réaliser cette greffe,  tous les membres de la famille ont fait une prise de sang. Et c’est Arthur, le petit frère de Benjamin qui était le plus compatible.
En janvier, Benjamin reçoit donc les cellules souches d’Arthur via son Porth-a-Cath.
Les mois qui suivent sont un long combat contre cette maladie qu’il compte bien mettre KO. Des semaines d’hospitalisation, d’attente, d’inquiétude.

Benjamin réalise son rêve

En rémission depuis 6 ans et aujourd’hui âgé de 17 ans, Benjamin est guéri.
« Bien que la maladie ait été un évènement majeur de ma vie, elle appartient à mon passé » dit Benjamin. Et le passé, il compte bien tirer un trait dessus en réalisant un de ses rêves.
Depuis quelques mois, il a décidé de partir refaire sa rhéto au Canada, sur l’ile du Prince Edward. Parti avec le Rotary, il a été accueilli dans une super famille.
Voyager est une véritable victoire contre la maladie pour lui « Ça va me permettre de faire plein de belles découvertes et de rencontres. Je pense que ça va encore plus m’ouvrir l’esprit » explique-t-il.
Il a fallu s’organiser pour ce grand voyage car une personne en rémission d’un cancer doit faire des bilans réguliers pour vérifier son état de santé. « Faire des prises de sang au Canada, c’est très cher. On a tout mis en œuvre pour qu’il puisse partir. Les médecins étaient favorables », explique sa maman.
Le Télévie souhaite tout le meilleur pour cette nouvelle aventure qui commence pour Benjamin.
Pour que de belles histoires comme celle de Benjamin continuent, le Télévie a besoin de vous ; faites un don.

 

Des chercheurs Télévie ont trouvé un moyen d’améliorer le diagnostic du cancer du sein

Vers un traitement personnalisé du cancer du sein

Le cancer du sein est le cancer le plus fréquent chez les femmes en Belgique avec plus de 10.000 cas diagnostiqués chaque année. Une femme sur neuf en sera atteinte au cours de sa vie dans notre pays. Bien que les progrès majeurs dans le domaine des thérapies aient amélioré la survie des patientes, cette maladie demeure la principale cause de décès par cancer chez les femmes, en Belgique tout comme dans le reste du monde.
Un défi majeur de l’oncologie moderne réside dans l’amélioration du diagnostic dans le but de trouver le traitement optimal. « En effet, l’agressivité et l’efficacité d’un même traitement peuvent varier considérablement d’un patient à l’autre. Ceci est dû aux différences individuelles dans le profil moléculaire des tumeurs. Ces différences peuvent être utilisées pour prédire si un patient répondra mieux à une thérapie donnée et aide les médecins à choisir le meilleur traitement pour leur patient« . souligne l’ULB. Cette « médecine personnalisée » est une nouvelle façon de diagnostiquer et de traiter les patients atteints de cancer qui devrait sauver de nombreuses vies.
« En première ligne on va utiliser de la chimiothérapie et on sait qu’il y a des effets secondaires importants. Toutes les patientes ne vont pas répondre de manière optimale à ce type de traitement. Donc on se doit d’identifier et de pouvoir prédire quelles sont les patientes qui vont répondre au mieux à un traitement de chimiothérapie« , a expliqué François Fuks au micro de Céline Gransard.
Les équipes du Pr. François Fuks (directeur du Laboratoire d’Epigénétique du Cancer à l’ULB) et le Dr. Christos Sotiriou (directeur du Laboratoire de Recherche Translationnelle du Cancer du Sein de l’Institut Jules Bordet) ont découvert une signature, qui améliore le diagnostic en quantifiant les cellules immunitaires dans les tumeurs. Cette signature améliore le diagnostic de nombreux autres cancers, y compris le mélanome et le cancer du poumon.
Ces résultats ont été brevetés, puis publiés ce 17 juillet 2017 dans la revue Journal of Clinical Investigation.
Un test visant à prédire l’efficacité de la chimiothérapie pour le cancer du sein sera bientôt développé par la société liégoise Diagenode. « Ce test est essentielle, car la majorité des patientes reçoivent ce traitement par défaut. Cela signifie que de nombreuses patientes ne reçoivent sans doute pas le traitement optimal immédiatement après le diagnostic et un temps précieux est perdu, ce qui diminue les chances de survie« , explique l’ULB.
A terme, le projet devrait permettre de transposer la recherche académique vers l’application clinique, pour une meilleure prise en charge des patientes atteintes d’un cancer du sein.
Bravo à nos chercheurs !
Pour que la science continue de progresser, nous avons besoin de vous ! Pour faire un don : dons.televie.be.

Avancée majeure dans la compréhension des leucémies : les virus livrent leurs secrets

Des chercheurs Télévie percent le secret des rétrovirus

Une équipe belge de recherche dirigée par le Dr Anne Van den Broeke (Institut Jules Bordet, ULB et GIGA, Université de Liège), en collaboration avec l’Hôpital universitaire Necker à Paris et une équipe canadienne de l’Université du Saskatchewan, vient de mener une étude qui peut être citée comme un bel exemple de recherche interdisciplinaire. Elle combine trois disciplines : la cancérologie, la virologie et la génomique animale et humaine.
Au départ, l’équipe a étudié des données d’animaux développant des leucémies induites par des virus. « Suite à cette découverte, nous avons été voir des échantillons de leucémie chez l’homme, donc des leucémies humaines, qui sont induites par des virus similaires« , explique Anne Van den Broeke, « En regardant ces échantillons, nous avons remarqué qu’en fait, les mécanismes étaient très similaires, d’où l’importance pour cette leucémie humaine, et éventuellement le traitement de ces leucémies« .
La découverte du rôle des facteurs antisens viraux représente un grand pas dans la compréhension des mécanismes qui sous-tendent le développement tumoral. Elle ouvre la voie au développement de thérapies ciblées pour un type de leucémie particulièrement agressif.  La leucémie virale touche plus de 20 millions de personnes dans le monde.

Meilleur suivi des patients

Grâce à ces recherches, une nouvelle méthode est aussi mise au point. Elle assure un meilleur suivi des patients et peut même détecter les rechutes. « La méthode permet de mieux évaluer la réponse au traitement, de prédire une rechute précoce, même quand le patient est en phase de rémission clinique, et au bout du compte d’aider les cliniciens dans leurs décisions thérapeutiques », poursuit Anne Van den Broeke.

Un traitement lourd

Anticiper, et ainsi diminuer les coûts, d’un traitement qui reste lourd. « Pour le traitement, je pense qu’il faut rester modeste et dire que ça peut prendre des années avant de trouver les moyens justement d’aller bloquer ce que nous avons montré. Maintenant, pour le suivi des patients, c’est différent. Là, je pense que la méthode est directement applicable cliniquement« , dit encore Anne Van den Broeke.
Soutenus sur le plan financier par les Amis de l’Institut Bordet et le Télévie, les chercheurs belges travaillent sur ce projet depuis trois ans. « L’aide financière est essentielle pour nous. Grace aux Télévie, c’est 3 chercheurs sur 4 qui travaillent quotidiennement sur cette étude« , explique Anne Van den Broeke.
Des dons indispensables pour encore faire reculer la maladie.
Faisons gagner la vie !

Nos 70 coureurs ont relevé le défi des 20km de Bruxelles

Une belle somme pour l’édition 2017

Le rendez-vous est fixé devant la fontaine du Cinquantenaire à 9h15. Les coureurs arrivent petit à petit, impatients de commencer la course. C’est le moment de partage entre nos sportifs, que ce soit les chercheurs FRNS avec les directeurs RTL, ou les employés RTL avec les journalistes. Chacun y va de son anecdote; les uns racontent qu’ils se sont entraînés intensivement, les autres qu’ils courent pour la première fois.
Toute l’équipe pose pour une photo de groupe, devant les Arcades du Cinquantenaire, et hop c’est parti pour le départ des 20km.
L'équipe RTL Belgium pose devant les Arcades du Cinquantenaire
Malgré la chaleur, nos coureurs au grand cœur ont relevé le défi  qu’ils s’étaient donné : courir 20km et défendre la vie en se faisant parrainer par leur entourage. Au total, 6.515 € ont été récoltés grâce à la nouvelle plateforme de parrainage.
« Cette somme va au-delà de nos espérances. L’année passée, nous étions à  3.000 euros ; cette année, grâce à la mobilisation de nos coureurs,  on a clairement doublé les dons » explique Géraldine Gautier, organisatrice des 20km pour RTL.
« Chacune de mes courses, je les fais en pensant à ceux qui ne peuvent pas ou plus courir à cause de la maladie. Et donc, je cours pour eux et pour l’espoir de voir un jour le cancer disparaître » raconte Jérôme Fabry, réalisateur à RTL.

Les coureurs se serrent les coudes!

Tout au long du parcours, ils ont été encouragés par les équipes RTL avec des drapeaux Télévie. Mais c’est surtout l’entraide entre les membres de l’équipe qui a poussé certains à venir à bout de ces 20km «  J’ai vécu cette aventure comme une expérience humaine, au travers de la grande cause du Télévie,  mais aussi grâce à mon collègue Christophe qui m’as encouragé quand je voulais abandonner. Je n’y serais jamais arrivé sans son aide » raconte Sébastien Topart, employé RTL.
Parmi nos valeureux coureurs, il y avait Babette Jandrain, la petite sœur de l’animatrice Fanny Jandrain. Cette jeune femme de 28 ans a motivé toute une équipe de sportifs de la région de Charleroi pour venir se surpasser dans la capitale. Ils ont réussi à récolter 1095 euros pour le Télévie. « Courir les 20km, pour faire l’expérience du dépassement de soi ou pour améliorer son score, est une chose, mais les courir tout en contribuant à la recherche contre le cancer est une satisfaction ultime. Comment on s’inscrit pour l’année prochaine ? ».
Samuel Ledoux, premier arrivé de notre équipe est 461 au classement général en 1h21. La première femme de notre équipe est Carine Snauwaert, a réalisé le parcours en 1h54.

Merci à tous!

Un grand bravo à tous les coureurs qui ont donné le meilleur d’eux-mêmes et ont permis de récolter cette superbe somme au profit du Télévie.
Merci à tous les bénévoles qui sont venus soutenir les couleurs du Télévie malgré la chaleur. Et surtout un grand merci pour vos dons.
Rendez-vous le 27 mai prochain pour l’édition 2018. Et si l’aventure vous tente, n’hésitez pas à déposer votre candidature à info@televie.be. On vous attend.

Une équipe Télévie motivée pour les 20km de Bruxelles

Courir pour la bonne cause

Pour cette nouvelle édition des 20km de Bruxelles, les équipes de RTL ont mis les bouchées doubles. Il y avait 30 participants l’année dernière; cette année, 70 sportifs courront aux couleurs du Télévie.
Ils ont deux nobles défis : terminer le parcours complet des 20km, mais aussi récolter un maximum d’argent grâce à la plateforme de parrainage.
Parmi les participants, on retrouve des employés RTL, des directeurs de département, des animateurs, des techniciens mais aussi des chercheurs  FNRS et bénévoles.

Tous vont courir avec un seul objectif en tête : faire gagner la vie !

« Ils viennent d’horizons différents. Certaines personnes extérieures de la société nous ont également contactés. Et c’est exactement cela que permet le sport ; fédérer tout le monde avec un but commun et surtout une belle cause  » explique Géraldine Gautier, organisatrice des 20km pour RTL.
L’équipe se compose de  21 femmes et 40 hommes.  Ils vont endosser un t-shirt blanc avec un grand cœur Télévie dans le dos. Vous ne pourrez pas les rater.
Chacun a sa motivation personnelle pour courir au nom du Télévie :
« Pour moi, courir est un grand bonheur. Quand je cours, plus que jamais, je me sens vivre. Je réalise toujours et encore à quel point vivre et être en bonne santé est une chance. C’est la raison pour laquelle, cette année, j’ai décidé de courir pour le Télévie, pour que les malades ne le soient plus et qu’une fois guéris, ils puissent eux aussi continuer à jouir de la vie » explique Nicolas Dewaelheyns journaliste pour la presse écrite.
Christopher Barzal, directeur du service de presse à RTL participe pour la première fois au 20km : « Je le fais au nom de toutes celles et  ceux qui, un jour, pourraient être amenés à devoir faire face à la maladie. Pour qu’ils n’aient jamais à se sentir seuls dans le combat qu’ils doivent mener. »
« Courir pour la forme c’est bien, courir avec l’espoir de gagner de l’argent au profit d’une cause aussi noble que la recherche contre le cancer, c’est encore mieux ! » raconte l’animateur Michael Miraglia qui s’entraine quotidiennement depuis 2 semaines.
Les préparations physiques se poursuivent sans relâche depuis quelques semaines pour nos sportifs.  Mais pour relever ce défi,  ils ont besoin de vous !
Comment ? Parrainez le coureur de votre choix en faisant un don sur sa page de collecte.
Ils espèrent réunir au minimum 10.000 €. À l’heure d’écrire ces lignes, ils en étaient à 4.470 €, soit environ 50 % de leur objectif
Ils comptent sur vous !

Vos dons financeront 106 nouveaux projets

La commission du Télévie se concerte

Il est 9h30. La salle du conseil au FNRS s’apprête à accueillir 18 scientifiques de renommée internationale. Leur mission : garantir que chaque euro récolté est attribué aux meilleurs projets de recherche.
Durant toute la journée, les membres de la commission scientifique du FNRS font les comptes.  Doctorants ou post doctorants, poursuite de projets déjà financés par le Télévie l’année passée… les dossiers défilent. Certains sont discutés, d’autres sont retenus à l’unanimité des experts !
« On n’est pas toujours d’accord. Parfois, il y a de très bons projets qui ne sont pas si bons que ça pour certains membres de la commission. On discute, on négocie, on essaye de comprendre les arguments de chacun« , témoigne Marc Vidal, généticien à la Harvard Medical School.
Les membres de la commission doivent se pencher sur la compétence des chercheurs, la qualité du projet, son originalité et, surtout, sa faisabilité. « Il faut que l’originalité de ce projet, qui est évidemment un élément essentiel, puisse permettre de déboucher, dans l’hypothèse où ça marche, sur un résultat concret. La faisabilité de celui-ci est cruciale« , explique Yvan de Launoit, oncologue à l’Institut Pasteur de Lille.
« C’est un moment où il ne faut pas se tromper. Il ne faut pas gaspiller l’argent qui a été laborieusement récolté. Et il ne faut pas non plus donner de l’argent à des projets qui n’en valent pas la peine« , déclare Arsène Burny, le président de la Commission Scientifique du Télévie.
Au terme de discussions intenses, la commission scientifique a retenu 106 projets de recherche sur les 170  introduits par des scientifiques des universités de la Fédération Wallonie Bruxelles et du Grand-Duché de Luxembourg.  Elle a ainsi accordé un mandat à 119 chercheurs (pour rappel : ils étaient 110 en 2016).
Dès le mois d’octobre, ces 119 chercheurs rejoindront les doctorants ou post doctorants qui poursuivent leurs recherches financées grâce aux budgets du Télévie 2016.
Les thèmes de recherche privilégiés par la Commission scientifique du Télévie se concentrent sur :
  • De nouvelles voies pour le traitement des cancers du cerveau
  • L’analyse des réactions du corps face aux cancers afin d’optimaliser l’efficacité de l’immunothérapie.
Les bénévoles et donateurs ont saisi toute l’importance du financement de la recherche fondamentale, la seule arme qui permet de lutter contre le cancer.
Les 119 chercheurs Télévie sont honorés de cette confiance et s’investissent, eux aussi sans relâche, pour faire gagner la Vie.

Cette année, grâce à vous, le Télévie a récolté la somme de 11.027.650

Vous avez été nombreux à nous suivre en direct ce samedi 22 avril pour une soirée remplie de musique, de surprises, de témoignages émouvants, et de traditionnelles remises de chèques.
Depuis son lancement en 1989, le Télévie a récolté plus de 173.568.482 €, une somme qui finance 40% de la recherche en cancérologie en Wallonie et à Bruxelles. Cet argent permet à la Belgique d’être à la pointe mondiale de la recherche contre le cancer.
Voilà pourquoi nous vous remercions du fond du cœur pour vos dons et votre soutien tout au long de l’année. Sans vous, le Télévie ne pourrait tout simplement pas exister. Alors, tout simplement, merci.

Virginie Efira, marraine du Télévie 2017 !

Mon père, ce héros

Depuis qu’elle est petite, Virginie Efira a un lien particulier avec la maladie. Son papa, médecin oncologue et hématologue, se bat tous les jours pour sauver des vies. « Je suis très fière de mon père. Il a toujours travaillé dans le secteur public. J’ai découvert sur internet qu’il avait reçu des prix pour l’accueil des réfugiés et leurs soins. Il est d’une grande discrétion à ce sujet » dit l’actrice.
Une fierté partagée puisque André Efira admire sa fille pour ses talents d’actrice, une profession qu’il trouve beaucoup plus difficile que la sienne. « Quand un enfant dit « je veux faire du cinéma », au début vous avez un regard un peu moqueur car beaucoup y arrive. Au fur et à mesure que le temps passe, et mon regard se transforme en étonnement et en émerveillement devant tout ce qu’elle arrive à accomplir. Je serais incapable de faire comme elle ;  avoir cette aisance, ce recul et suffisamment de contrôle que pour s’offrir aux regards des autres, en restant soi-même, en n’ayant pas trop d’anxiété et la grosse tête…Chapeau ! »
Papa à l’écoute, il répondait toujours à ses questions de petite fille, à la fois apeurée et fascinée par son métier. « C’était un père très présent mais il faisait souvent des gardes le soir tard. Et je ne sais pas pourquoi mais je demandais souvent si des gens étaient morts pendant la journée à l’hôpital. Ça paraît un peu bizarre mais cela fait partie des échanges que l’on avait. Je pense que cela  démontrait que je m’intéressais à ce qu’il faisait y compris dans ses aspects un peu difficile ».
Aujourd’hui, ils sont très proches malgré la distance géographique qui les séparent : « Il y a une grande complicité entre nous. On peut être très loin de quelqu’un et être pourtant très proche en pensées. Donc on se téléphone souvent, on se voit régulièrement. Pas suffisamment souvent à mon goût mais je trouve que les moments où on se voit ont une qualité de rapprochement très important » raconte le médecin.

La maladie, une cause familiale

Malheureusement, à l’âge de 5 ans, Virginie perd sa tante, nommée Ariane, à la suite d’une leucémie aiguë ! Après le décès de leur fille, les parents d’Ariane, et grands-parents de Virginie Efira, désiraient faire de ce drame familial quelque chose de positif et d’altruiste. Ils ont donc créé Fonds Ariane, une action qui finance la recherche contre la leucémie. Aujourd’hui, ils organisent de nombreuses manifestations auxquelles Virginie apporte son soutien, en hommage à sa tante. « Depuis toute petite, je suis confrontée à la maladie et à ce qu’on en fait de valeureux. J’ai accompagné mes grands-parents dans diverses manifestations. J’ai gardé les souvenirs d’un drame, d’une disparition mais aussi d’une leçon : comment transformer la douleur en énergie pour qu’elle soit utile ».

L’important, c’est les autres

Ancienne animatrice de RTL TVI, Virginie Efira a déjà participé plusieurs fois au Télévie que ce soit dans les centres de promesses ou sur le plateau de la soirée de clôture. « On me l’avait proposée l’année dernière mais j’avais refusé car j’étais en promotion du film « Un homme à la hauteur » avec Jean Dujardin au même moment. Je me suis dit que c’était bizarre d’apparaitre médiatiquement pour parler boulot puis de défendre un message qui n’a aucune vocation commerciale » confesse-t-elle.
Aujourd’hui, pour Virginie Efira, être la marraine du Télévie est une évidence, et ce n’est  pas un engagement pris à la légère : la recherche contre le cancer lui tient particulièrement à cœur.
Personnalité publique, l’actrice souhaite que ses actions aient un sens. Elle tournera des sujets pour la grande soirée et sera également  présentes sur les ventes enchères avec un cadeau tout particulier.
Pour le Télévie, elle aimerait que le message soit porté et entendu à grande échelle : « Grâce à ma présence, il y aura peut-être plus de visibilité en termes de médias Télé, presse ou radios. Et du coup peut être plus de dons.  Je veux juste donner une voix supplémentaire à une grande cause ».
Cependant, Virginie Efira rappelle : « Je pense qu’il y a déjà des gens beaucoup plus impliqué que moi. Et c’est eux qu’il faut remercier. Je vais remplir le rôle de marraine humblement et symboliquement. Ce n’est pas  le rôle d’un long métrage mais mon rôle à moi ».
En plus d’animer et de promouvoir la soirée de clôture, l’actrice nous prépare une petite surprise ! Peut-être accompagnée de son ami Julien Doré … Rejoignez-nous le 22 avril pour le savoir.
A lire, l’article « Virginie Efira et son papa réunis pour le Télévie » sur le site du Ciné Télé Revue.

Le Télévie 2017, c’est parti !

Une soirée riche en émotions dans laquelle journalistes, animateurs, chercheurs, témoins et chanteurs apportent un regard nouveau sur le cancer et sur les différentes manières de le combattre.
On va bouger cette année pour le Télévie

1. La grande journée du Télévie

Les disques d’or (9h00-13h00)
La traditionnelle vente aura lieu en direct sur Bel RTL mais aussi sur RTL TVI.
Christian De Paepe  anime l’émission avec Bérénice dans le rôle de commissaire-priseur pour adjuger les ventes.  Cerise sur le gâteau, 11 animateurs de Bel RTL & RTL TVI se succèderont pour présenter les 11 disques d’or mis aux enchères.
Alice On The Roof, Beyoncé, Julien Doré, Kenji Girac, Ed Sheeran, M Pokora, Coldplay, … et bien d’autres encore. Chaque disque sera attribué au plus généreux donateur.
Centre de promesses en direct sur RTL TVI (13h40-18h00)
Comme chaque année, le Centre de promesses du Télévie se déplace pour aller à la rencontre des nombreux bénévoles. Cette année, c’est à La Louvière et plus précisément à Louvexpo qu’il prendra ses quartiers.
Durant tout l’après-midi, plus de 300 comités de bénévoles viendront  remettre leurs chèques. Ce sera l’occasion de mettre l’investissement de ces généreux bénévoles à l’honneur.
Le folklore Louviérois sera également mis à l’honneur  avec la présence de Géants, du Grand orchestre Lunaire, de Funambules, et d’échassiers.
Nouveauté cette année : Le marathon de la danse avec Caroline Fontenoy et Jean-Louis Lahaye. Ils relèvent un défi des plus sportifs : ils vont se lancer dans un marathon de 10 heures de danse. Ce marathon commence à 14h00 au centre de promesses et se terminera vers minuit sur le plateau de la grande soirée.
Ils seront rejoints par des bénévoles, chercheurs ainsi que par les animateurs et invités de l’émission. Ils permettront d’ajouter au compteur du Télévie l’argent récolté par l’action parrainage ainsi que le chèque d’un partenaire.
Au cœur du Télévie (18H00-19h00)
En direct de Louvexpo, Audrey Leunens et Luc Gilson, reviendront sur les événements marquants du Télévie cette année au côté de chercheurs, médecins et témoins.
Notamment la remise des Blouses Blanches, où 180 chercheurs du F.N.R.S ont pu l’année dernière, et grâce aux fonds récoltés par le Télévie, poursuivre leurs recherches dans la lutte contre le cancer.
Des malades nous feront part de leurs témoignages sensibles et poignants. Patrick Bruel prendra, lui, des nouvelles de la petite Kelly qu’il avait rencontrée il y a quelques temps.

2. La grande soirée (19h40-minuit)

Des artistes d’exception viennent enflammer le podium du Grand Studio Télévie : Julien Doré, Slimane, Vincent Niclo, Julie Zenatti, Chimène Badi, Salvator Adamo, Frédéric François, Sandra Kim, Ozark Henry.
Tout au long de la soirée, le défi marathon de la danse continue avec de belles surprises en préparation. Et pour faire grimper le compteur du Télévie, il est possible de parrainer dès aujourd’hui les deux danseurs du jour tout au long de leurs entraînements via leur page de parrainage.
Les chercheurs Télévie se battent quotidiennement pour trouver de meilleurs traitements contre le cancer. Le plateau de la soirée accueille des témoins de la maladie, venus pour partager leur vécu.
Michel de Maegd et l’acteur José Garcia sont allés à sa rencontre, de Marie-Hélène, 10 ans, atteinte d’une leucémie myéloblastique aigüe. Un joli portrait plein d’émotion d’une courageuse petite guerrière.
Le chanteur Frédéric François se rend à l’hôpital d’Utrecht là où Ambroz, un chanteur d’opéra, a été opéré éveillé d’un glioblastome au cerveau par le professeur Pierre Robe (neurochirurgien).
La marraine du Télévie 2017, Virginie Efira, est la fille d’un hémato-oncologue du CHU Brugmann, professeur André Efira.  Il va lui présenter l’un de ses patients, Antoine, 30 ans, qui a été soigné pour un lymphome. Ce sera l’occasion de présenter tous les intervenants de l’équipe médicale qui l’ont accompagné durant son traitement.
La 29ième édition du Télévie vous promet des nouveautés, des découvertes et des surprises !

Damien-Paul Gal offre une sculpture pour les enchères du Télévie

Damien-Paul Gal est un artiste plasticien-performer d’origine bretonne. Adepte de la récupération et de l’écologie, il recycle de nombreuses matières pour réaliser ses œuvres. Cette année encore, il a créé une sculpture de mouton, spécialement pour les enchères du Télévie. L’équipe l’a rencontré afin de mieux comprendre sa démarche…

Pourquoi avoir choisi de devenir artiste ?

« J’ai choisi de devenir artiste parce que le milieu médical, militaire, l’ingénierie,…ne m’attiraient pas. Avoir des connaissances dans différents domaines, c’est très intéressant, cela permet d’avoir des outils pour la vie mais je savais très bien que j’avais en moi un côté artistique. Je viens d’un milieu assez
aisé mais j’ai tout perdu parce que j’ai choisi de me diriger vers l’art. La seule aide précieuse que j’ai, c’est moi et mes relations, que j’ai acquises au fil des ans ».

Pourquoi le Télévie ?

« Chaque année, je collabore avec plusieurs associations. Je sais ce que c’est de ne pas posséder grand-chose alors j’essaie de donner du mieux que je peux avec mes propres compétences. La cause qui me touche particulèrement est celle des enfants défavorisés. Je m’investis dans le Télévie pour financer la recherche et aider les petits et les grands à vaincre la maladie ».

Pourquoi cette œuvre ?

« C’est une œuvre que j’avais déjà préparé. C’était un prototype que je souhaitais produire en série. C’est vraiment une œuvre unique et j’ai pris 6 mois pour la créer. Par cette sculpture, je voulais faire comprendre que nous ne sommes pas des moutons. Ma première étape a été de peindre le mouton de résine en blanc. Ensuite, je l’ai recouvert en rouge, parce que le rouge c’est le Télévie, c’est la couleur du cœur et j’ai inscrit le slogan « Faisons Gagner La Vie ». J’ai ajouté une petite boucle d’oreille, comme une menotte parce que, bien que nous ne soyons pas des moutons, nous restons conditionné à la société. En plus, j’utilise un petit collier de la marque Louis Vuitton pour y graver « Dans quel monde Vuitton », un jeu de mot que j’utilise pour dénoncer la société de consommation ».

Qu’attendez-vous de la mise aux enchères de cette œuvre ?

« Le but, c’est de vendre cette pièce unique en résine au plus offrant. Tout dépend du bon cœur des gens. J’espère qu’elle rapportera un maximum d’argent au Télévie ».
L’œuvre de Damien-Paul Gal vous plaît et vous souhaitez vous investir pour la bonne cause ? Alors n’attendez plus et faites une enchère pour acquérir ce mouton aux couleurs du Télévie.

Allo RTL et Base lance une action pour le Télévie !

Une action de recyclage

Depuis le 27 mars et jusqu’au 21 avril, Allo RTL et Base se mobilisent pour la recherche contre le cancer. L’action est simple : vous ramenez votre ancien smartphone ou tablette dans un BASE Shop, où leur valeur sera estimée grâce à un outil en ligne. Le montant indiqué sera entièrement reversée au Télévie.  Les appareils seront ensuite récupérés par une société partenaire, qui les recyclera et leur donnera un second souffle. Le montant intégral de la récolte de fonds sera connu et remis sous forme de chèque lors de la grande soirée du Télévie le samedi 22 avril prochain.
Cette action ne s’adresse pas uniquement aux clients Base ou Allo RTL, mais à tout le monde, sans engagement. Elle vise tant les smartphones que les téléphones portables ou les tablettes. Cependant, il faut que ceux-ci soient en bon état, qu’ils fonctionnent toujours et, idéalement, que la batterie soit chargée.
Nous vous attendons avec vos vieux téléphones dans le BASE Shop le plus proche de chez vous. Ce sera l’occasion de faire une bonne action tout en donnant une nouvelle vie à votre appareil !
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