Deux chercheurs Télévie dans les « Nobels belges »

Le FNRS a distribué ce lundi, ses prix quinquennaux. Cédric Blanpain et Christos Sotiriou, deux chercheurs financés par le Télévie,  en font partie ! Au-delà du prestigieux titre, chacun a reçu la somme de 75.000 euros pour poursuivre ses recherches.

Deux chercheurs, deux domaines de recherches

Considéré comme l’une des références internationales dans le domaine des cellules souches, Cédric Blanpain fait partie des chercheurs les plus primés de sa génération. Son leitmotiv ? Toujours aller plus loin !

Chercheurs et médecin, Christos Sotiriou rêve de permettre aux femmes atteintes d’un cancer du sein de bénéficier d’un traitement personnalisé. Un objectif qu’il poursuit, dans son laboratoire en caractérisant les tumeurs du sein au niveau moléculaire.

Tous les deux travaillent actuellement, avec leurs équipes, sur des projets financés par le Télévie ! Les résultats de leurs recherches sont impressionnants, comme par exemple, cette découverte sur le cancer du sein que l’équipe de Cédric Blanpain a faite durant l’été dernier.

Les prix quinquennaux : parmi les plus prestigieux de Belgique

Les prix quinquennaux du FNRS récompensent des chercheurs exceptionnels de la Fédération Wallonie Bruxelles, à la renommée internationale et ayant chacun apporté des contributions remarquables dans leur domaine scientifique. Ces Prix sont attribués tous les cinq ans, et sont financés par des legs et donations.

Au nombre de cinq depuis 2000, ces Prix, parmi les plus prestigieux de Belgique, couvrent les grands domaines scientifiques :

  • Sciences exactes (fondamentales et appliquées)
  • Sciences humaines et sociales
  • Sciences biomédicales (fondamentales et cliniques)

Pour que la science progresse, le Télévie a besoin de vous! Pour aider à financer la recherche: www.televie.be

Faisons gagner la vie

Martine a la collection complète des produits Télévie !

Carte du petit-Spirou, autocollant rétro ou encore porte-clés vendu… en francs belges ! Ces objets qui vous rappellent de bons souvenirs, ce sont bien évidemment, les produits Télévie !

Une collection de produits hors du commun

Cette année, Martine, une grande amie du Télévie, nous a ouvert les portes de sa collection. Sa valeur est difficilement estimable puisqu’elle reprend presque tous les produits Télévie mis en vente depuis 1989 ! L’occasion pour Martine de revenir sur certains souvenirs…

« Mon préféré, c’est le porte-clés avec deux nounours blanc et rouge. Quand on les a reçus, je me suis dit Mon dieu ça n’a rien à voir avec le Télévie. J’étais certaine que ce produit n’allait pas marcher et je me suis trompée. Au final, les ventes ont été formidables », explique Martine.

Et des produits, elle en a vu défiler ! Certains ont plu, d’autres moins, mais pour Martine, il existe un produit incontournable : « L’essuie de cuisine est LE produit phare puisqu’il joint l’utile à l’agréable ».

Le Télévie, l’histoire de toute une vie

Cela fait 27 ans qu’une véritable histoire d’amour lie Martine à l’opération Télévie. « Au début, le Télévie a diffusé des reportages dans lesquels on voyait des enfants atteints de cancers. J’ai regardé mon bébé dans son berceau et je me suis dit Qu’est-ce que je ferais si c’était lui ? Depuis ce jour-là, le Télévie est entré dans ma vie ».

En 1991, Martine commence à vendre des produits Télévie. Une passion qu’elle transmet rapidement à sa fille.

Au total, Martine avec l’aide de son comité, et sa fille ont organisé des centaines de manifestations. Leur générosité et leur temps ont permis de récolter près de 300.000 euros pour le Télévie !

Vous aussi, n’hésitez plus… vendez des produits Télévie, et faites avancer la recherche!

Grâce au Télévie, un nouvel espoir dans la lutte contre le cancer du col de l’utérus !

Une découverte thérapeutique majeure dans la lutte contre le cancer du col de l’utérus vient de voir le jour. Elle permettrait aux femmes qui n’ont pas pu se faire vacciner contre le virus de diminuer leur chances de développer un cancer. Une découverte rendue possible grâce à vos dons au Télévie dont a bénéficié Michaël Herfs, jeune chercheur FNRS de 31 ans seulement!

Le papillomavirus à l’origine de certains cancer

Pour rappel, le cancer du col de l’utérus est causé par un virus : le papilloma virus. Un sujet abordé par Julie Taton lors du Télévie en avril dernier. Aujourd’hui, les jeunes filles peuvent se faire vacciner très tôt, vers 11 ou 12 ans. Mais pour les autres, celles qui ont déjà eu des rapports sexuels, c’est trop tard. Celles qui sont porteuses du virus peuvent développer un cancer et elles doivent vivre avec ça.

Une solution: la cryogénisation

Le jeune chercheur Michael Herfs, explique au micro de Samuel Ledoux: « La cryogénisation des cellules suspectes ou porteuses du virus consisterait tout simplement à mettre un gaz réfrigérant durant une dizaine de secondes dans un endroit bien particulier du col de l’utérus. On tue les cellules, c’est exactement le même procédé quand vous faites une cryoablation pour une verrue plantaire par exemple. Sauf que c’est dans un endroit bien particulier du col utérin. »

Cette technique se ferait chez le gynécologue ou après un accouchement et cela n’empêchera absolument pas la patiente d’avoir des enfants.

Une solution pour les femmes qui n’ont pas été vaccinées

« Toute personne n’ayant pas eu droit au vaccin, de 30-40 ou 50 ans,  pourraient effectivement recevoir ce type de procédé de manière à réduire leur risque de cancérisation », explique Michael Herfs.

A ce jour, 500 patientes ont déjà bénéficié de cette cryogénisation avec des résultats très encourageants. Rappelons que 800 femmes déclarent chaque année un cancer du col de l’utérus. Grâce à cette découverte, on peut espérer diviser ce nombre par 2.

Une découverte rendue possible par les dons versés au Télévie !

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Face au cancer du sein, Lou ne voit pas la vie en rose

A l’occasion du mois d’octobre rose, Lou qui a témoigné lors du Télévie 2015, revient sur son cancer du sein.

Une découverte inattendue

Lou, a découvert qu’elle était atteinte d’une tumeur au sein en février 2015. En mars, elle est opérée par le docteur Nogaret qui lui enlève cette petite zone précancéreuse. Même si l’intervention s’est bien passée, elle va devoir subir une mastectomie du sein gauche. La nouvelle est dure à encaisser, et pourtant Lou n’est pas au bout de ses surprises.

Son sein gauche va devoir lui être retiré mais c’est son sein droit qui à présent l’inquiète. « Rien d’anormal n’est perçu à mon sein droit mais j’ai pourtant une suspicion qui me met en garde » explique Lou. « Après plusieurs entretiens avec les médecins, je prends la décision de faire une mastectomie bilatérale ». Autrement dit, Lou décide de se faire enlever les deux seins. Une décision qu’elle ne regrette pas aujourd’hui puisqu’une fois l’opération faite et après biopsie, les médecins découvrent que le sein droit était effectivement touché.

Un enchainement de complications

Suite à cette double opération, Lou traverse encore des moments difficiles. Des suites d’une infection au sein gauche et d’un staphylocoque doré, elle doit prendre des antibiotiques très puissants et séjourner deux semaines à l’hôpital. Aujourd’hui, Lou doit attendre mi-décembre pour discuter de ses options de reconstruction mammaire aves les médecins. « Mon état est stable mais tout ce combat me rappelle à quel point il est important d’être à l’écoute de son corps », explique-t-elle. « J’ai encore un long chemin à franchir mais je veux y arriver ! »

Le cancer du sein a touché 10.531 femmes en 2012 (dernière année de recensement).  Si le cancer du sein est le plus fréquent chez les femmes, il est aussi le plus meurtrier. En 2012, 2388 femmes sont décédées d’un cancer du sein.

En Belgique, une femme sur deux ne se fait pas dépister. Et pourtant le dépistage est la meilleure arme contre le cancer. Le dépistage systématique – le mammotest – est recommandé, tous les deux ans, à toutes les femmes qui ont entre 50 et 69 ans. Toutes les femmes devraient toutefois surveiller régulièrement l’état de leurs seins, puisque 30% des cancers surviennent avant 50 ans et 20 % après 70 ans !

Pour soutenir Lou et toutes les autres femmes victimes du cancer du sein, continuons de faire avancer la recherche scientifique.

Pour soutenir la recherche, faites un don !

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La Belgique fait de la recherche de pointe!

L’ULB vient d’ouvrir un nouveau Centre de Recherche contre le cancer (U-CRC). Dix-neuf groupes de recherche sont réunis autour du même défi : comprendre le cancer pour mieux le combattre. Parmi ces groupes de recherche, certains sont financés par le Télévie.

Maladie du siècle, le cancer est complexe, et nécessite des compétences multiples pour tenter de le cerner : biologie cellulaire et moléculaire, génomique, épigénétique… « Ces nombreuses compétences, nous les avons ici au sein de l’université Libre de Bruxelles. Nous avons des équipes qui historiquement ont des atouts et certaines d’entre elles sont financées par le Télévie » explique Mr Fuks, le porte-parole du projet. L’équipe de Cédric Blanpain et Alexandra Van Keymeulen, qui a récemment fait une découverte tout à fait incroyable sur le cancer du sein, est un bon exemple de projet du U-CRC financé par le Télévie.

D’autres centres anti-cancer, comme le GIGA de l’ULG, existent déjà mais l’ouverture du centre de l’ULB se veut complémentaire et non pas concurrente. « Il y a une belle complémentarité  entre les différents centres.  La Belgique est petite, on se connait tous et on interagit grâce au Télévie qui met l’accent sur la recherche interdisciplinaire et interuniversitaire. Le cancer est une maladie complexe et vaste. Un centre ne peut pas être le plus compétent dans tous les domaines. On ne peut pas être bon en tout, on est donc complémentaires ».

Une complémentarité qui est le point fort de la recherche belge. Tant au niveau national qu’international, les forces de la Belgique sont reconnues. « On ne doit pas être trop modeste. La Belgique a une grande aura et une belle visibilité en recherche académique. Malgré ses modestes moyens, la Belgique fait de la recherche de pointe. On peut être fiers » explique Mr Fuks. « Les donateurs doivent savoir qu’ils participent à notre rayonnement international. On joue dans la cour des grands et on peut continuer dans cette voie ».

Merci à tous les donateurs qui, grâce à leur générosité, font progresser la recherche.

Pour devenir donateur, et participer à la lutte contre le cancer, rendez-vous la page don de notre site televie.be

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11.000 € grâce aux marionnettes du cœur

L’exposition les « Marionnettes du cœur » qui s’est tenue du 13 aout au 21 septembre dernier à la galerie Liehrmann de Liège s’est terminée en beauté puisque la vente des pantins de bois customisés ont permis de récolter 11.000 € au profit du Télévie.

Un résultat dont Dany Liehrmann, la galeriste à l’origine du projet, est très fière : « Je suis ravie d’avoir imaginé cette action car je savais que je pouvais compter sur la générosité et la disponibilité de mes artistes. Fallait-il encore que mes clients suivent… et c’est ce qui s’est passé. Merci à eux ! »

Au final, 37 marionnettes ont été vendues sur 42. Et toutes sont parties entre 200€ et 500€ en fonction du travail accompli et de la notoriété de l’artiste.

Un succès donc pour cette initiative liégeoise ! Et comme le fait remarquer la galeriste : « il n’y a pas d’art sans échange ». Une citation de Folon qui représente bien l’esprit du Télévie.

Merci à tous les participants !

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Chaque jour en Belgique, un enfant apprend qu’il est atteint d’un cancer

Le Saviez-vous ?

En 2012, dernière année de recensement, 373 cancers chez les enfants (0-14 ans) ont été enregistrés en Belgique. Autrement dit, 200 cancers chez les garçons et 173 cancers chez les filles.

112 de ces cancers étaient diagnostiqués comme leucémie.

Peut-on guérir les cancers des enfants?

OUI, en partie. Grâce, entre autre, au Télévie, la recherche continue de progresser.
En 1960, plus de 80% des enfants atteints de cancer mouraient. Seulement, 2 enfants atteints sur 10 pouvaient espérer une guérison. Aujourd’hui, 83% des enfants malades sont guéris. (Pour les enfants de 0 à 14 ans, survie observée à 5 ans, en Belgique, pour la période 2004-2012)
Un chiffre qui ne cesse de croitre grâce aux grands progrès de la chirurgie, de la radiothérapie, de la chimiothérapie et de la greffe de cellules souches.

Tous les 5 jours, un enfant meurt encore du cancer en Belgique.

Il faut encore progresser!

Le cancer reste, après les accidents, la cause la plus fréquente de décès chez l’enfant dans nos contrées.  La vie n’a pas de prix, mais la recherche a un coût. Les recherches d’aujourd’hui sont nos traitements de demain. Pour que la science continue d’avancer, nous avons besoin de vous.

Merci de soutenir le Télévie ! Pour faire un don: dons.televie.be.

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Ce 1er octobre, les 191 chercheurs Télévie font leur rentrée !

Ce 1er octobre marque le coup d’envoi d’une nouvelle année de recherche pour les chercheurs financés par le Télévie.

191 chercheurs, c’est 11 de plus de que l’année dernière et ça représente  au minimum 1500 heures par jour octroyées à la lutte contre le cancer !

Parmi les nouveaux projets retenus cette année, quelques thèmes importants méritent d’être soulignés :

– Les recherches sur les glioblastomes, ces redoutables cancers du cerveau, nécessitent la mobilisation de nombreux chercheurs.

– Les recherches sur les leucémies continuent pour améliorer encore les chances de guérison.

– Plusieurs projets novateurs sont consacrés à mieux comprendre pourquoi nos systèmes de défense ne sont pas assez efficaces contre les cancers avec un espoir concret d’application chez les patients dans un futur proche.

– De nombreux chercheurs vont travailler à mieux comprendre comment la faible oxygénation de certaines parties des cancers favorise leur croissance. Ici aussi, des traitements nouveaux sont espérés dans un proche avenir.

Ces travaux sont souvent rendus possibles parce que les chercheurs trouvent dans les tumorothèques des échantillons de tumeurs qu’ils peuvent alors utiliser. En acceptant la mise en tumorothèque d’un échantillon de tumeur ou de sang, les patients participent au progrès médical.

Parmi ces 191 chercheurs, 110 nouveaux viennent de rejoindre l’histoire du Télévie grâce aux 9.502.675 euros récoltés en 2015. Les autres travaillent pour le Télévie sur des projets qui ont commencé il y a une ou deux années.

Les recherches d’aujourd’hui sont nos traitements de demain !

Bonne rentrée à tous nos chercheurs !

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Anaïs reprend les cours et le basket

Elle n’est pas encore en « rémission » et pourtant, Anaïs dont nous apprécions avoir des nouvelles, se sent très bien.

Rappelons-nous qu’Anaïs avait reçu, en mai dernier, une transplantation de cellules souches pour combattre la leucémie. « J’ai encore de temps en temps de légers malaises, des maux de ventre ou de tête, mais par rapport à avant je ne peux pas me plaindre. Même si il reste une légère trace de leucémie, il ne faut pas se tracasser pour l’instant. Malgré tout, je ne suis pas en totale rémission », explique-t-elle.

Depuis une semaine, Anaïs a fait sa rentrée scolaire. Au programme : une demi-année de première bac à la Haute Ecole de Commerce de Liège. Une demi-année parce qu’avec ses traitements et sa convalescence, Anaïs ne doit pas forcer la mesure. Malgré tout le moral est au beau fixe : «   J’avais envie de faire ces études bien avant ma maladie, j’ai donc tout simplement voulu suivre ce cursus comme si rien ne s’était passé. Au final, j’ai beaucoup de travail mais c’est un plaisir de retrouver une vie plus normale, comme avant… Et surtout, je croise à nouveaux des jeunes de mon âge et ça, ça fait vraiment du bien ! »

Retrouver les bancs de classe, voilà un premier rêve accompli. L’autre, c’était de remonter sur un terrain de basket. Et maintenant, c’est chose faite ! « Je joue au basket, mais à mon rythme et bien loin de mon niveau d’avant. C’est très dur à admettre mentalement mais je suis très heureuse de revoir mon équipe plusieurs fois par semaine, car les filles m’ont énormément soutenues et continuent encore maintenant ».

Etant donné que sa greffe de cellules souches est encore très récente, Anaïs doit reprendre le basket calmement et ne pas forcer. Pas si facile que ça ! « Je fais de mon mieux et l’évolution est bonne, mais évidemment comme la plupart des jeunes de mon âge, je n’ai pas assez de patience et voudrai voir des résultats plus rapidement… »

Le cancer touche encore plus de 370 enfants par an en Belgique, la recherche doit continuer de progresser!

Courage Anaïs, on est tous avec toi !

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Une découverte incroyable 100% Télévie

Une découverte… qui est aussi une première mondiale ! Une équipe de chercheurs Télévie du laboratoire de recherche sur les métastases dirigée par le professeur Vincent Castronovo, travaille depuis trois ans sur une forme de cancer du sein très agressive : le triple négatif. Si il est si problématique, c’est parce qu’aucun traitement ciblé n’existe contre lui, mais aussi parce qu’il produit plus de métastase que les autres cancers du sein. En gros, il est plus agressif et plus rapide.

En cas de « triple négatif » le corps ne produit pas d’asporine, une protéine qui joue pourtant un rôle essentiel : celui de « mur protecteur » qui empêche les cellules cancéreuses de se propager.

Avec l’asporine, les traitements fonctionnent mieux. Mais dans le cas du cancer triple négatif, il n’y a pas d’asporine et donc pas de protection. Et si il n’y a pas d’asporine, c’est parce que les cellules cancéreuse l’en empêche en produisant de l’interleukine-1 bêta.

Cette interleukine-1 bêta est produite par les cellules cancéreuses et empêche les cellules normales de produire l’asporine. Les cellules triples négatives peuvent donc avancer sans problème dans leur marche macabre, envahir le sein et se disséminer à distance pour former des métastases qui finalement, trop souvent, tueront la patiente.

La solution est donc de bloquer l’interkeuline- 1 bêta pour que l’asporine puisse créer son « mur protecteur ». Un médicament qui pourrait bloquer l’interleukine 1-Béta pourrait donc  théoriquement stopper le cancer. Coups de chance ce médicament existe déjà ! Pas contre le cancer du sein… mais contre les maladies inflammatoires rhumatismales ! Du coup, il existe, il est en vente. Sa toxicité est approuvée, de nombreux tests ne sont donc plus à faire !

Ces recherches ont pu aboutir grâce au support du TELEVIE ! Et si la recherche progresse, c’est grâce à vous !

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Stéphane… un bon bol d’air entre deux traitements !

Et oui, ce sont les vacances pour tout le monde !

Stéphane et sa maman, en accord avec les médecins, ont pris quelques jours de vacances, direction : le Portugal. « On avait besoin de respirer un peu », raconte Natalia la maman de Stéphane.

Stéphane, que nous avons rencontré lors du Télévie en avril dernier, est encore très fragile à cause de ses traitements et a dû prendre quelques précautions particulières. Malgré tout, il n’est pas à l’abri des dangers que représente l’environnement qui l’entoure. « En arrivant au Portugal, c’était un peu difficile. Stéphane a probablement attrapé  un virus, on a donc dû faire deux contrôles ici. Nous avons eu les résultats hier et tout va beaucoup mieux ! ».

Rappelons-nous que Stéphane, atteint d’une leucémie lymphoblastique aigüe, avait dû arrêter ses traitements en juin dernier parce qu’il avait trop d’effets secondaires. Après quelques semaines de trêve, il avait repris ses traitements début juillet.

A son retour de vacances, Stéphane va à nouveau être hospitalisé quatre jours pour recommencer une chimiothérapie. « Ces jours-là me font très peur. Mais Stéphane est courageux » explique sa maman.

A 14 ans, Stéphane a traversé des épreuves que peu de personnes peuvent imaginer. On est tous avec toi, Stéphane!

Pour vaincre définitivement cette maladie, il faut faire progresser la recherche. Le Télévie compte sur vous.

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Jérémy : « Je profite de la vie »

« On sort du tunnel, c’est le point final d’un long combat » explique Emmanuela la maman de Jérémy. Aujourd’hui, après six ans de lutte contre son cancer des os, Jérémy voit enfin le bout du tunnel. Jérémy, que nous avons rencontré lors du Télévie en 2014 a aujourd’hui 19 ans et son histoire a de quoi surprendre.

A 13 ans, Jérémy se fracture le fémur suite à une chute tout à fait banale. Les médecins lui font une radio de la jambe et lui détectent une tumeur sortie de l’os du fémur. C’est un cancer des os, un ostéosarcome. Plusieurs chimiothérapies et une allogreffe suivie d’une longue revalidation seront nécessaires pour tenter de vaincre la maladie. Un an et demi plus tard, les médecins constatent une récidive de son ostéosarcome. Une seule chance de s’en sortir, Jérémy doit subir une amputation de sa jambe.

Aujourd’hui après 4 ans de rémission, Jérémy peut enlever son port-à-cath : une étape très symbolique ! Le port-à-cath est un dispositif qui permet une voie veineuse centrale pour faciliter l’acheminement des traitements longue durée, comme la chimiothérapie. Quand on l’enlève, c’est comme être à nouveau libre ! « C’est chouette de l’enlever, mais c’était aussi une partie de moi durant toutes ces années de combat » explique Jérémy. « Aujourd’hui, je sais que je n’oublierai jamais ce qui m’est arrivé, mais je réalise surtout que la vie peut basculer à tout instant. On ne sait jamais de quoi demain est fait, donc je profite de la vie ! »

Jérémy a fêté ses quatre ans de rémission en compagnie de Georges Huercano avait qui il s’était lié d’amitié lors du Télévie. Ensemble, ils ont profité du soleil autours d’un bon diner !

Pour que Jérémy et tous les autres qui sont confrontés à la maladie continuent d’y croire… une voie pour progresser, c’est comprendre. Et pour comprendre, un seul moyen : la recherche !

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